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 There's a spark in your centre that's piercing me in. | Kastle.

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Frank Castle

Frank Castle
Red Thunderbolt - STAFF

Date d'inscription : 13/03/2016
Messages : 338
Multicomptes : bucket & cassondro.
Dollars : 506
Avatar : Jon Bernthal.
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Age : Trente-neuf ans.
Nom de code : The Punisher.
Métier : Vigilante, ancien militaire.
Race : Humain.
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MessageSujet: There's a spark in your centre that's piercing me in. | Kastle.   There's a spark in your centre that's piercing me in. | Kastle. EmptyDim 17 Juil - 19:44

There's a spark in your centre that's piercing me in.

Karen
&
Frank
Vingt Janvier 2016. Le soleil brillait, les oiseaux chantaient mais ce n'était pas de ça dont il se préoccupait. Il n'en avait même rien à foutre. Le ciel aurait pu éclater et verser des amas de pluie torrentiels qu'il n'aurait pas remarqué une putain de différence. Si une bonne âme s'était décidé à l'analyser, le diagnostic aurait sonné comme étant, cet homme est dans sa propre bulle. Monde façonné dans lequel il se réfugiait lorsque l'extérieur se faisait trop délirant. Trop grouillant. Trop présent. Sauf que ça n'aurait été qu'un ramassis de conneries qu'un psychologue bon marché à trente dollars de l'heure aurait pu déduire grâce à ses merveilleux cours et le trophée, oh non, le diplôme qu'il exhibait fièrement dans sa salle d'attente. Frank connaissait l'animal, ils avaient à tout prix voulu l'évaluer après ce qu'il s'était passé. La guerre, sa famille. Ces dernières années nécessitaient le double en suivi, des centaines de billets que l'état aurait déversé pour l'un de ses gentils petits chiots. Mais il n'était pas un chiot. Et il n'avait besoin d'aucune séance à être assis sur tabouret puisqu'il ne présentait aucun trouble, pas même celui de stress post-traumatique qu'on avait absolument tenu à lui coller. Ce n'était qu'une étiquette que tout bon soldat devait adopter, après avoir vu et subi les horreurs de champs de bataille que n'importe qui aurait aimé éviter. Exceptés eux. Trop braves, trop courageux. Surtout trop cons. Il avait aimé son métier, si tel pouvait-il être appelé, mais désormais plus rien n'était pareil et son esprit vaquait à différentes occupations. Préoccupations. Ses doigts glissèrent sur le papier qu'on lui avait fraîchement donné, glissés à la sortie du métro les journaux étaient toujours appréciés et surtout, plus instructifs que la télé. Malgré le même bourrage de crâne continu du gouvernement, les mensonges fournis à la population et commission de réels faits. Le titre qui attira son regard, pourtant, ne semblait pas avoir été taillé de quelque façon qu'il soit. Il goûtait le vrai et ce fut en parcourant les quelques lignes d'encre noire que Castle s'immobilisa, sourcils froncés tout en sirotant une gorgée de café.

Explosion au New-York Bulletin. Le nombre de morts et de blessés ne l'intéressait pas, scrutant attentivement les quelques horribles photos à la qualité médiocre qui avaient été placés ici et là en cette une ainsi que dans les pages contenant les informations complémentaires quant à cette terrible histoire. Ordinairement, il n'aurait pas passé plus de quelques minutes à lire les crimes commis sous la pression du mépris envers la société. Ce n'était pas des nouvelles, le monde souffrirait éternellement d'attaques comme celles-ci allant à l'encontre des idées établies par le gouvernement. Liberté de pensée à condition de savoir s'éloigner du moule, plaisir de délivrer l'information lorsqu'elle n'était pas préfabriquée. Ses liens avec ce tabloïd étaient loin d'être étroits ainsi son attention subite et son intérêt envers l'actualité ne provenaient pas d'une réelle affection. Pas pour le journal dans sa globalité du moins. Il n'attendait que de voir une tête parmi les dépouilles afin de concrétiser le sentiment étouffant qui lui tordait lentement les entrailles. Ce n'était pas la peur, ni la douleur. Surtout la culpabilité de l'avoir laissé errer dans une nature trop sauvage qui n'attendait que de bouffer les seules douceurs de cette ère fade. Karen en faisait partie. Et bien que ce songe ne soit déplacé, il ne permettait à quiconque de lever la main sur elle, la heurter voire la tuer. Elle n'était pas sienne, pas comme sa femme ou sa fille l'avaient été. Elle ne méritait simplement pas de subir les conséquences d'actes idiots, proférées par les malfrats qu'il s'était juré de stopper.

Ne décelant pas ce qu'il recherchait, Frank roula le périodique qu'il enfouit dans la poche arrière de son jean sans repenser une seconde aux actions qu'il s'était décidé d'effectuer. Rapide, méthodique, son but n'était non pas de comprendre ce qui était arrivé au bâtiment où Page travaillait mais de savoir si elle était encore en vie. Entrer dans la liste des données des admissions récentes dans divers hôpitaux pour commencer, s'attardant autant sur les décès que sur les accidentés. Sauf qu'il n'y avait rien. Bon ou mauvais signe selon la chance dont elle avait été affublée, il lâcha un soupir frustré avant de prendre des devants décisifs. Il aurait préféré disparaître complètement de sa vie, ne plus avoir à croiser Red et son petit acolyte joufflu qui n'opérait que dans l'ombre de ses activités. Sauf que son chemin faucherait tôt ou tard celui de Daredevil et par conséquent, celui de Karen qui devait avoir un attrait pour les ennuis. C'était à cause de cette fatalité, aigre constatation qu'il ne saurait détourner, qu'il se trouvait à présent sur le palier de la jeune femme. Toujours le même trou à rat mais eh, qui était-il pour juger cet immeuble défraîchi alors qu'il résidait, survivait, dans un cabanon au fin fond des bois. Ce ne fut qu'après une répétition de poings serrés et desserrés qu'il se lança enfin et toqua à la porte, fixant le bois qu'il avait aux dernières nouvelles enfoncé pour lui éviter d'être criblée de balles.

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MessageSujet: Re: There's a spark in your centre that's piercing me in. | Kastle.   There's a spark in your centre that's piercing me in. | Kastle. EmptyLun 25 Juil - 2:57



   
   there's a spark in your center that's piercing me in
    Frank & Karen

L

es mains crispées sur le volant, le regard perdu dans le vide, Karen tentait de se remémorer les derniers événements. Elle commençait à croire que le destin s'acharnait sur elle, que la faucheuse se jouait de sa vie. Entre les kidnappings, prises d'otages, et attaques à mains armées, elle commençait à être rodée à ce sujet; mais une explosion, voir la vie des gens partir si rapidement, soudainement, c'est quelque chose à laquelle elle n'était pas prête, et qu'elle aurait préféré ne jamais affronter. Ce jour là dans le fond elle avait eu de la chance, chose qu'elle goûtait un peu trop souvent, et qui perdait peu à peu de sa saveur. Au fur et à mesure des événements, Karen se sentait de moins en moins vivante, elle se laissait à penser par moment n'être qu'un t'as d'os et de chair errant dans les rues de Hell's Kitchen, sans but précis, que celui de survivre inlassablement aux attaques de la vie. Seule dans sa voiture, la jeune femme se repassait en boucle ces images. Cela devait être une journée comme les autres, une journée de travail, rien de plus. Comme à son habitude, elle était allée s'acheter un café, un arabica, c'était devenu une drogue, une chose primordiale. Sans café Karen ne pouvait travailler convenablement, ou faire preuve d'amabilité. Ses talons claquaient frénétiquement sur le bitume, elle était en retard, il y avait eu du monde au café, un coup de chance peut être. Un carrefour à traverser, un angle où tourner, et la jeune journaliste avait le bâtiment du New York Bulletin en vue, ainsi qu'une de ses collègues qui l'attendait patiemment devant. Elle leva sa main libre pour la saluer, mais à peine eut-elle le temps de secouer brièvement cette dernière, qu'une explosion souffla la rue, projetant Karen huit mètres en arrière, son corps allant lourdement s'écraser contre la façade d'un petit bâtiment. Le chaos qui l'entourait l'avait rendu confuse de longues minutes, elle ne savait plus où aller, et avait mit du temps à réaliser ce qui venait de se produire.

Un klaxon soudain la ramena à la réalité, sa tête venait de heurter le volant, dans un mouvement d'abandon totale. Tout cela devenait beaucoup trop difficile à supporter. Un néon plus loin dans la rue attira son attention, une petite enseigne illuminait le coin. Karen jeta un bref coup d'oeil à sa montre, il était neuf heure passée, bientôt dix, et elle n'avait rien avalé de la journée, même pas son café. Beaucoup trop chamboulée, elle avait fuit en voyant les secours débarqués, et avait roulé un long moment avant de trouver un coin ou se morfondre à l'abri des regards. Elle quitta finalement sa voiture, habitacle où elle se sentait à l'abri de tout, idée stupide. Lentement, elle se dirigeait vers ce petit commerce, son estomac criait famine, mais un autre besoin, beaucoup plus sombre, se faisait également ressentir. Arrivée à l'intérieur, elle se dirigeait dans un premier temps vers le rayon des plats rapides, ou du moins, cuisine pour fainéants; seulement en voyant tous ces étalages rien ne lui donnait envie, bien au contraire. Tant pis, il y avait un bon petit restaurant qui faisait des plats à emporter non loin de son appartement, cela ferait l'affaire. Avant de quitter la boutique, Karen avait fait un détour par le rayon alcool, et étrangement toutes ces bouteilles lui donnaient terriblement envie. Commençait alors un combat entre sa conscience et ses pulsions. Ce dernier dura quelques minutes, avant que la blonde ne jette son dévolu sur une bouteille de whisky, bon marché certes, mais qui suffirait à l'apaiser.

De retour dans sa voiture, son regard était fixé, comme attiré par ce sac marron qui contenait le liquide qui lui permettrait d'oublier un moment les horreurs de la vie. Juste une gorgée. A peine eut-elle terminée de penser que ses mains étaient déjà autour la bouteille, à dévisser le bouchon avec une telle hargne, qu'une honte passagère la traversa, dissipé bien rapidement par cette sensation de brûlure dans la gorge, descendant le long de cette dernière, avant de provoquer un léger sentiment d'euphorie une fois son trajet terminé. Il était temps de rentrer. Encore une. Arrivée en bas de son immeuble la bouteille était déjà bien entamée. Elle fit un détour par le restaurant thaïlandais pour commander de nombreux plats, son estomac commençait à avoir sérieusement du mal à suivre la cadence. Elle leur indiqua son immeuble et le numéro de son appartement à 200 mètres, ils avaient eut l'amabilité d'accepter de la livrer d'ici une demi-heure. Figée dans le hall de son immeuble, elle fixait les divers tags ou autres saletés qui jonchaient le sol. Il serait temps de partir ma belle ! Un sourire se dessinait sur ses lèvres, tandis que d'un geste maladroit elle tentait de remettre une mèche derrière son oreille. Ses pieds commençaient à la faire souffrir, elle avait trotté, conduit toute la journée. Après une énième gorgée de whisky elle rangea la bouteille dans son sac, retira ses petits escarpins et entreprit l'ascension des trois étages qui la séparaient de son appartement. Le sac accroché à une épaule, les clés ainsi que sa paire de chaussures en main, elle montait lentement mais sûrement ces marches, qui devenaient un calvaire au fur et à mesure que les secondes s'écoulaient.

Une fois à son étage, elle s'immobilisa, les yeux fermés pour tenter de retrouver un semblant d'équilibre et éviter une chute stupide. Du moins éviter de devenir encore plus stupide qu'elle ne l'était déjà à ce moment-là. Karen rouvrit finalement les yeux au bout de quelques secondes, et remarqua cette silhouette au loin, se tenant devant sa porte. Elle s'approcha d'un puis deux pas avant de se stopper aussitôt en découvrant l'identité de cette silhouette. Surprise, choquée, elle lâcha prise, et ses clés accompagnées de sa paire d'escarpins s'écrasèrent lourdement au sol. « Frank … ? » Un ton incertain, comme si tout ça n'était qu'un rêve, le fruit de sa consommation insensée d'alcool, comme si son subconscient avait envie de lui jouer des tours. Mais il était bel et bien là, devant sa porte. Aussitôt, des flashbacks des mois précédents submergèrent la jeune femme, elle se retrouva noyée sous les souvenirs, les divers sentiments éprouvés, traversés. Notamment cette dernière nuit, dans la forêt, les dernières paroles qu'elle avait prononcé à son égard, « Si vous faites ça je déclare forfait, c'est terminé, vous êtes mort pour moi. » Un mensonge. Elle n'avait jamais réussit à le considérer comme tel malgré le fait qu'il ait franchi la limite ce soir-là, bien au contraire, surtout depuis qu'elle l'avait aperçu sur le toit après avoir été prise en otage par des ninjas sortis d'on ne sait où. Ses pensées se dirigeaient constamment vers lui lorsque les journaux rapportaient ses dernières actions, ou bien des morts suspectes qui s'apparentaient à ses méthodes. Ce trop plein d'émotions lui donnait envie d'avaler une énième gorgée de whisky, mais cette fois-ci son esprit avait enfin prit le dessus, comme si revoir Frank Castle l'avait ramené à la réalité. Pour s'assurer de masquer son délit, elle resserra un peu plus le sac contre elle, avant de baisser la tête, laissant un sourire gêné se dessiner brièvement sur ses lèvres. « Je dois être ridicule à voir. » Karen redressa finalement la tête, le fixant, le visage toujours légèrement peint par la surprise. Après tout, pourquoi était-il ici sur son palier, face à elle ? Quelle raison l'avait poussé à se montrer, après plusieurs mois d'absence ? Malgré son état, la jeune femme remarqua ce papier, non ce journal dépasser de la poche de son pantalon, elle fronça les sourcils avant de réussir à déchiffrer le nom inscrit en lettres capitales, et de se souvenir du pourquoi du comment, de ce qui l'avait poussé à se mettre dans cet état. La surprise ne fut que plus grande, et instinctivement, sa main vint se poser contre sa bouche avant de remettre une de ses mèches en place. « Le New York Bulletin ... vous êtes là pour ça … vous ... vous êtes inquiété pour moi … » Ce n'était même pas une question, étrangement Karen était sûre de ses mots, et cela la touchait, peu être un peu trop, ses émotions étant décuplés à cause de l'alcool.

WILDBIRD

 
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Peter Parker

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MessageSujet: Re: There's a spark in your centre that's piercing me in. | Kastle.   There's a spark in your centre that's piercing me in. | Kastle. EmptyDim 14 Aoû - 17:02


Les conséquences du Registration Act
Victime n°17 - Frank Castle

La journée a commencé calmement. Et j'espèrais que ça pourrait durer pendant au moins vingt-quatre heures. Pendant lesquelles je me pencherais sur autre chose que combattre le crime, sauver des vies et tout le tralala habituel. J'pensais même pas bosser sur mes cours, simplement ne rien faire pendant quelques instants. Oui ça étonne, venant d'un hyperactif comme moi, toujours à courir à droite et à gauche sans jamais faire de pause. Même quand je ne travail pas sur mon boulot de nuit, j'ai pas l'habitude de m'arrêter. Y'a tellement de trucs à faire, constamment, que ça me semble être du temps perdu. Seulement en ce moment, les pauses sont nécessaires. J'suis pas vraiment au top de la forme, je sais pas si c'est un coup de barre général, mais j'arrive pas à tenir le rythme habituel. Donc voilà, j'étais heureux de passer une journée tranquille, sans soucis à part celui de récupérer à boire dans le frigo de temps en temps. Evidemment, j'ai appris avec le temps que la vie ne fonctionne absolument pas comme ça. Que malheureusement, pour mériter quelque chose de bien, il faut d'abord passer par le désagréable. J'sais pas si c'est du karma, ou quoi que ce soit d'autre, mais c'est franchement chiant à vivre.

Alors on m'appelle en pleine rêverie. D'abord je met du temps à comprendre, en essayant de répondre sur le portable de Peter Parker. C'est là que je reçois une grande partie de mes appels, entre super-héros on ne se passe pas tant que ça les 06 secrets. Vous ne voyez jamais Thor répondre sur son smartphone en plein combat. Aujourd'hui pourtant, c'est le portable de Spider-Man qui sonne. On m'annonce rapidement ce qu'il se passe, et ça va pas être très fun. Frank Castle a été aperçu dans la ville par un flic malin. Malin puisqu'il n'a pas essayé de l'arrêter lui même, mais a préféré contacter immédiatement des gens plus capables. Pour que finalement Ares me prévienne. C'est sympa, pour ma première intervention avec le groupe, je me retrouve face au Punisher. C'est pas que j'ai peur de lui, loin de là, j'suis Spidey, mais on a pas toujours été des ennemis. Evidemment, c'est moins pire que si on me disait d'aller chopper Captain, mais je comprends Castle. En soit, il essaie de faire ce qu'il croit être bien. Seulement c'est pas le moment de philosopher. Ni de continuer à glander. J'vais devoir me bouger pour arrêter un type dangereux, et c'est tout ce qui compte actuellement.

Faut prendre les choses du bon côté, au moins je vais pouvoir tester mon nouveau costume dans des conditions réelles. Depuis que Tony me l'a refilé, j'ai essentiellement tapé sur du sous-fifre, le Punisher sera un adversaire plus remarquable. Je me balance donc entre les immeubles, dans l'armure offerte par le patron, en essayant d'atteindre le lieu le plus rapidement possible. Rien que de voler dans les airs est plus agréable avec la tenue, l'électronique au service du mouvement, permettant d'utiliser moins de force pour valdinguer. Le GPS devant les yeux c'est tout aussi génial. Dire que j'ai passé toute mon adolescence à retenir la géographie complète de New-York pour intervenir rapidement. Alors que j'aurais pu fabriquer un gadget plus efficace en moins d'une heure. Finalement en quelques instants je me retrouve sur le lieu qui m'intéresse. L'immeuble est en vue, une tactique reste à imaginer. Le détecteur de chaleur m'indique qu'il y a deux personnes sur le palier, encore un truc pratique ça. L'une semble concorder avec Castle. Il a de la compagnie, donc, Ares n'avait pas prévenu. J'ai l'avantage de la surprise, la nuit dans les rues, Frank doit certainement s'attendre à me croiser ou à tomber sur un autre super-héros, mais là aucune chance. Pas besoin de réfléchir plus que ça dans ce type de situation, je fonce dans le tas... Pourquoi je prétends, c'est de toute façon ce que je fini toujours par faire, c'est rapide et efficace comme approche !

Me voici donc dans les airs, traversant rapidement la fenêtre avant de me lancer vers Castle et tenter de lui coller un premier coup de pied. Histoire d'ouvrir la danse. Certains diront que c'est fourbe comme approche, mais on est pas des enfants de cœur, c'est un vrai combat. Lui n'aurait pas hésité non plus à prendre avantage de la surprise.
- J'suis tellement heureux de pouvoir dire ça, prépare toi Frank, t'imagines même pas J'utilise aussi mon deuxième avantage. A quel point le vigilante ne peut pas supporter la façon que j'ai de causer continuellement. Punisher, vous êtes en état d'arrestation.

C'est seulement maintenant, une fois que j'ai terminé mon petit numéro, que je remarque le détail flagrant. Karen Page. Eeeeuh. D'accord. Je sais pas ce que c'est chez elle qui attire les situations comme celle ci, mais c'est presque aussi fort que chez moi. Elle travaillait pour Matt' il n'y a pas si longtemps, c'est donc assez logique qu'elle connaisse Castle. Ça n'explique cependant pas pourquoi ils sont ici ensembles. Est-ce qu'elle cache plus qu'il n'y paraît ? Aucune idée, mais après cette deuxième rencontre, va falloir que je m'en assure.
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