Date d'inscription : 25/03/2017 Messages : 60 Multicomptes : Pas pour le Moment. Dollars : 360 Avatar : Jason Momoa. Age : 37 ans. Surnom : Kiki. Nom de code : O'Clock. Localisation : NY. Pouvoir : Chronokinésie. Métier : Voleur. Race : InHumain.
Sujet: Home Sweet Home. [Gabrielle Chapman] Jeu 30 Mar - 10:25
Home Sweet Home.
Gabrielle Chapman
Le travail, c'est la vie. La vie, c'est le travail. Tout tourne autour du travail et lorsque le sien, c'est celui de défaire certaines personnes de leurs possessions, on peut dire qu'on est un véritable connard... ou un robin des bois des temps modernes quand on redistribue aux pauvres. Dommage, Hakaiki, ce n’est pas le genre à partager ses dollars, il est plutôt radin dans son genre. Alors laissez tombez les mendiants, il donnera rien, il travail trop dure pour donner aux nécessiteux. Surtout qu'aujourd'hui, le boulot c'est pas facile. Son visage est connu des autorités qui sont en train de le chercher. Il arrive plus ou moins bien à s'en sortir, sa connaissance de la ville aidant... mais aussi son pouvoir qui lui permet d'avoir une petite longueur d'avance quand ils retrouvent sa trace. Arrive à stopper le temps ou tout du moins le ralentir grandement, ça n’aide pas mal quand quelqu'un tente de lui tirer dessus ! C'est également pratique quand il peut l'accélérer... histoire de passer entre les voitures au bon moment, alors que les autres se prennent une voiture bien plus rapide pendant deux secondes. Oui, il l'utilise à bon escient et surtout tente de le perfectionner, parce que maintenant qu'il est fugitif, il n’a pas vraiment de temps pour lui.
Chercher du travail... Il allait souvent au Black D pour en trouver, souvent c'était dans ses cordes, parfois un peu moins, mais là, ce n’était pas trop compliqué comme truc. Ça ne l'exposait pas des masses et pourtant, il devait toujours s'affichait un minimum. Soupirant, le monstre de muscle marchait dans la rue, des lunettes sur les yeux, un chapeau assez imposant sur sa tête histoire de passer pas du tout inaperçu et il suit sa cible de loin. Pratique de faire une tête de plus dans la foule hein ? On y voit mieux et le voilà déambulant dans la rue, suivant cette dite personne. Comment s’appelait-elle déjà ? Chapman ? Oui, c’était son nom de famille, mais le prénom ne lui revenait pas. Il avait eu que quelques maigres informations sur elle. Juste assez pour lui dire où il pourrait la retrouver, à quoi elle ressemblait et ce dont ils avaient besoin. Rien de bien passionnant. Ils voulaient juste… connaitre ses habitudes sur plusieurs jours. Il n’appréciait que très peu son boulot à elle. Le Parti Collectif, autant dire qu’elle était de l’autre côté du miroir, qu’elle œuvrait à contrôler les gens tel que lui. Il ne savait pas pourquoi ses commanditaires avaient besoin d’informations sur elle, mais depuis quatre jours, il suivait la jeune femme.
Discrètement, il regardait, détaillait sa vie à l’extérieur de son travail, ne cherchant pas à aller plus loin que les imposantes portes du Parti Collectif. Il se doutait bien que vu son statut d’Avocate, ses employeurs cherchaient des informations sur une des affaires qu’elle devait traiter, mais pour le moment, il n’avait rien de croustillant à leur offrir, c’était dommage. « Elle ne fait vraiment rien de très palpitant celle-là… » Avoua t’il alors qu’elle prenait à présent la direction de sa demeure. Soupirant, il fourra un bon quart de son hotdog dans sa bouche. Il prenait des forces avant qu’il ne puisse plus vraiment manger. Il en avait pris un deuxième, à emporter bien entendu enfin… Prendre était assez relatif, car il était passé à côté du vendeur et avait subtilisé la commande du type qui avait payé. Un petit ralentissement du temps et hop, le voilà qui file avec de quoi manger. Ce fut rapide, subtil et tout le monde n’y vit que du feu. Son portable se mit à vibrer, c’était son commanditaire. Répondant, il lui demanda sans vraiment être aimable d’aller récupérer les données d’un certain dossier sur son ordinateur personnel. « Ce n’était pas dans le contrat mon gars. J’veux bien être une sorte de détective du crime, mais j’suis certainement pas votre larbin qui entre chez les gens comme ça. » Il grognait presque, il n’aimait pas qu’on change les conditions d’un contrat de la sorte. Mais c’était monnaie courante chez eux… Les Hors la Loi. « Ou alors vous rallongez grave la mise de départ. »
Le téléphone coupa après qu’on lui ai annoncé qu’ils allaient y réfléchir. Qu’ils y réfléchissent ! Mais sa curiosité était piquée à vif à présent… La jeune femme était à présent devant sa porte et Caïn profita de la situation pour entrer. Ralentissant le temps comme s’il ne s’écoulait plus, passant dans l’angle mort de la demoiselle pour entrer alors que la porte était grande ouverte. Il allait pouvoir enfin détailler les lieux un peu mieux à présent et surtout chercher ce dossier. Il doutait qu’il puisse être dans son ordinateur personnel, ici. Ca ne semblait pas être très bien sécurisé de ce qu’il voyait. Il fila directement dans une autre pièce, attendant le bon moment pour passer à l’action.
Date d'inscription : 22/01/2016 Messages : 239 Multicomptes : Felicia & Poor & Peter Fl Dollars : 1616 Avatar : Alexandra Daddario Age : 25 ans Surnom : Gaby Localisation : New York Métier : Avocate & Conseillère Juridique du PC Race : Humains Pourrais-tu être l'homme de ma vie ?
Sujet: Re: Home Sweet Home. [Gabrielle Chapman] Jeu 30 Mar - 15:13
Home Sweet Home.
Gabrielle & Hakaiki
Il y avait comme une étrange sensation qui rôdait dans ton dos depuis quelques jours, une sensation toujours présente, mais encore plus que d'habitude. Tu ne saurais dire pourquoi, peut être que tu étais juste fatiguée, à moins que ce ne soit encore le choc récent que Miles t'avait fait subir. Il t'avait montré ce qu'il était devenu, tu avais du mal à y croire, mais il ne l'avait pas choisi, clairement. Le fait que toi aussi tu puisses devenir comme lui te faisait froid dans le dos, mais pour le moment ce n'était pas le cas, et tu espérais que ça ne le soit jamais. Tu n'es pas comme toutes ces jeunes femmes qui réveraient de posséder certaines capacités, comme lire dans les pensées, détecter les mensonges ou des choses dans ce genre pour trouver l'homme idéal ou au contraire en faire baver au sexe opposé. Tout ce qui sortait d'une certaine normalité ne te plaisait pas tellement à vrai dire. Tu n'avais jamais apprécié cela et depuis la bataille de New York avec cette invasion extraterrestre, celle où tu avais perdu ton frère, et ce qu'il était, tu vouais une sorte de haine à ces personnes capables du meilleure, parfois, rarement, mais surtout du pire. Ton frère avait une victime collatérale de cette attaque, parce que les soit disant super-héros avaient sauvés le monde, mais ils avaient fait de nombreuses victimes innocentes. Mais c'est vrai qu'est ce qu'une poignée de personne devant les milliards d'humains du monde entier ? Rien, et c'était ce qui ne te plaisait pas. Ton frère était revenu d'entre les morts, différents, mais il t'était revenu, apaisant un peu cette haine. Même s'il n'était plus vraiment ton frère, au fond de ton coeur tu ne pouvais pas le détester. Et puis, plus récemment, c'était ton père qui t'avait fait part de ces changements. Tu avais encore du mal à l'accepter, mais tu ne pouvais pas détester ton père, n'est ce pas ? Non, tu ne le pouvais pas, c'était bien au dessus de tes forces. C'est ainsi que ce soir, tu rentrais chez toi, comme chaque soir. Tu n'habites pas très loin du boulot, alors tu t'y rends à pieds avec toujours cette sensation d'être suivi. Tu sais que c'est peut être le cas, tu es une personne potentiellement dangereuse pour d'autres, de part ton rôle au parti collectif. Mais depuis quelques jours, cette sensation était bien plus grande que les autres jours. Tu n'y faisais pas attention, et c'était peut être là ton erreur justement. Tu étais à présent devant ta porte et tu rentrais à l'intérieur, coupant l'alarme par la même occasion. Tu ne voulais pas faire venir la police pour un simple oubli, ils risqueraient de ne plus venir lors d'une vraie menace. Tu ne faisais donc pas plus que ça attention à l'individu qui était entré en même temps que toi. Tu te rendais dans ta cuisine pour te faire chauffer ton ultime tasse de café de la journée; c'était celui que tu préférais, celui qui te disait que la journée était finie, enfin.
Fiche codée par NyxBanana
Hakaiki O. Taari Vilain Indépendant
Date d'inscription : 25/03/2017 Messages : 60 Multicomptes : Pas pour le Moment. Dollars : 360 Avatar : Jason Momoa. Age : 37 ans. Surnom : Kiki. Nom de code : O'Clock. Localisation : NY. Pouvoir : Chronokinésie. Métier : Voleur. Race : InHumain.
Sujet: Re: Home Sweet Home. [Gabrielle Chapman] Jeu 30 Mar - 15:42
Home Sweet Home.
Gabrielle Chapman
C’était plutôt sympathique comme coin. La jeune femme avait un charmant petit appartement décoré avec un certain goût. Peut-être pas ceux d’Hakaiki, mais ça rendait les murs bien plus agréables à regarder. Quand on sortait de prison, on trouve de toute façon tout plus joli que trois murs et une porte avec des barreaux. La chambre de la jeune femme était plutôt attrayante et tandis qu’il l’entendait préparer on ne sait quoi dans la cuisine, Hakaiki s’occupait de ses affaires… ou plutôt celles de la demoiselle. Farfouillant tranquillement dans ses affaires, prenant soin de replacer toutes les choses qu’il déplaçait à chaque fois au même endroit. Un bon voleur doit être dans le détail, la mise en scène. Il ne doit rien laisser paraitre, rien laisser trainer et toujours vérifier que tout allait pour le mieux pour ses arrières. Ouvrant lentement la penderie, il y mit le bout de son nez, remarquant que la garde-robe de la jeune femme n’était pas aussi fournie qu’il ne l’aurait pensé. Comme quoi, les apparences sont souvent trompeuses. Il n’y avait malheureusement rien de très affriolant pour mettre de belles images dans l’esprit du voleur, ni rien qui pourrait lui servir dans son entreprise, mais à quoi bon chercher ici hein. Alors qu’il allait sortir, son portable commencer à vibrer et sonna une fois, un seul avant qu’il ne décroche en urgence.
Le bruit avait certainement dû être entendu par la demoiselle à côté, mais il fut obnubilé par ce qu’il entendit à l’autre bout du fil. Ses honoraires ne lui serait pas payé car il n’avait pas accepté la demande précédente du petit groupe d’inconnus. « Vous êtes sérieux ? » S’écriant il au téléphone. Oui, à mort la discrétion, il n’avait pas peur de se faire surprendre de toute manière, sa mission s’achevait ici non ? Il n’appréciait pas cela, vraiment, vraiment pas. « Vous allez entendre parler de moi et en mal les gars. » Il raccroche son téléphone et soupir. Il entend des bruissements de pas à l’extérieur de la chambre ouverte. C’était foutu maintenant, plus besoin de bosser sur ce coup-là. Fuir ? Non, il n’avait qu’à sortir par la porte, comme tout le monde, mais il n’avait pas envie d’en rester là. Oh, certainement pas non. « Je sens que je vais le regretter. » Oui, il allait encore faire une connerie, mais son pouvoir le poussait à faire des choses pas forcements réfléchit, pourtant ce dernier lui offrait la possibilité de gagner du temps pour plus de réflexion. Comme quoi… Il aimait jouer avec le jeu maintenant… Alors qu’avant il n’aurait même pas répondu à son téléphone pour rester discrêt. Il oubliait les basiques avec sa Chronokinésie et c’était mal.
Soupirant une nouvelle fois, il étendit sa sphère du temps, ralentissant au maximum le temps dans l’appartement, au-dessus et en dessous avant de passer la porte. Il y découvrit une Gabrielle qui s’approchait de la chambre et passa à côté d’elle comme si de rien n’était. Il passa par la cuisine ou un mug de café était fin prêt et tout chaud et il le prit avant d’aller chercher un peu d’alcool pour rendre son café un peu plus corsé. Difficile à trouver, mais il avait le temps de chercher, la pauvre femme était comme bloquée… même si elle avançait lentement, très lentement. Elle avait vu le grand barbu passé devant elle, mais que pouvait elle y faire hein, son esprit n’était pas tout aussi lent ? Ce n’était qu’une image très rapide qui était passée devant elle, comme s’il se déplaçait à grande vitesse. S’installant sur une chaise, la tasse fumante dans la main, il résorba son pouvoir. « Nous avons à discuter mademoiselle Chapman. » Oui, il allait droit au but l’Inhumain. « Délicieux votre café. » Souriant, il n’avait pas l’air bien méchant comme ça, mais ça devait surprendre un étranger chez soi comme ça, avec des pouvoirs. « Ne prenez pas peur hein. Mais faut que je vous avoue quelque chose. » Il prit un air assez sérieux. « Vous n’avez vraiment pas de belles lingeries dans votre dressing ? » Ça pose de sacrée base ça.
Date d'inscription : 22/01/2016 Messages : 239 Multicomptes : Felicia & Poor & Peter Fl Dollars : 1616 Avatar : Alexandra Daddario Age : 25 ans Surnom : Gaby Localisation : New York Métier : Avocate & Conseillère Juridique du PC Race : Humains Pourrais-tu être l'homme de ma vie ?
Sujet: Re: Home Sweet Home. [Gabrielle Chapman] Jeu 30 Mar - 16:09
Home Sweet Home.
Gabrielle & Hakaiki
Tu te préparais ton ultime dose de café pour finir la journée tranquillement, devant la télévision, ou en train de lire un livre, ou juste devant ton ordinateur pour regarder la vie de tes amis à travers les réseaux sociaux. Mais c'était sans compter sur cette sensation qui te prenait à la gorge, celle qui te faisait penser que quelqu'un te suivait. Tu jetais un coup d'oeil par la fenêtre lorsqu'un coup de téléphone se fit entendre. Ce n'était pas le tien, tu n'avais pas une sonnerie aussi ringarde, la tienne était bien plus stylée, du moins dans tes goûts à toi en tout cas. Un seul coup puis une voix se fit entendre, masculine. Tu te demandais qui était là. Une chose est sûre, tu allais prendre le revolver qui était astucieusement caché dans ta chambre puisque le voleur semblait être à l'intérieur de celle-ci. Tu ne savais pas ce qu'il pouvait dire à la personne qu'il avait à l'autre bout du fil, tu n'étais pas assez proche pour le comprendre mais pour un voleur, il n'était guère discret, genre vraiment pas discret du tout, comme si son but était différent de celui des voleurs habituels. Tu montais donc dans la chambre pour voir qui pouvait être là, tu avais pris ta bombe au poivre dans ton sac, même si tu n'étais pas convaincue de pouvoir réellement l'utiliser mais on ne sait jamais. C'est alors qu'une masse humaine passe à côté de toi à une vitesse élevée, à moins que ce ne soit l'inverse, toi qui était devenue très lente et lui qui allait à une vitesse normale. Peu importe, le temps que tu réussisses à arriver dans ta chambre, il n'y était plus. Tu jetais un oeil à tes affaires, mais il ne semblait pas avoir eu le temps de fouiller ou alors il avait été très méticuleux et avait tout remis en place. Tu sortais ton revolver de sa cachette, vérifiant le chargeur. Il y avait ce qu'il fallait si jamais tu avais à t'en servir. Tu sais ce que tu peux faire, et ne pas faire en cas de cambriolage, tu es avocate après tout alors tu allais tenter de voir s'il était toujours là, parce que mine de rien, tu n'avais pas encore vue son visage, il était passé devant toi bien trop rapidement. Tu descendais donc avec ton revolver dans les mains, alors que tu ne savais pas s'il allait être encore là. Mais si, il buvait ton café bien tranquillement, te disant qu'il avait quelques choses à te dire. Ton regard était pourtant sans équivoque, tu n'appréciais pas sa présence, encore moins le fait qu'il puisse boire dans ta tasse favorite. Puis, il parla de tes sous-vêtements.
" Vous voulez vraiment que je vous mette une balle entre les deux yeux ? Qui êtes vous ? Qu'est ce que vous voulez ? "
Directe, tu n'avais pas envie de jouer avec lui comme lui semblait vouloir jouer avec toi. Si jamais tu devais le tuer, tu savais qui faire venir pour faire disparaitre le corps, au cas où même si tu préférais largement ne pas avoir à utiliser ce stratagème. Ton arme le visait lui, mais il ne semblait pas s'en faire, sans doute parce qu'il faisait partie de ces personnes que tu n'appréciais pas même si depuis quelques temps, tu savais lâcher un peu de lest vis à vis de ceux-ci. La réponse du type sera en tout cas déterminante, s'il veut avoir un semblant de conversation. Il était en tout cas bien mal parti pour que la discussion soit paisible.
Fiche codée par NyxBanana
Hakaiki O. Taari Vilain Indépendant
Date d'inscription : 25/03/2017 Messages : 60 Multicomptes : Pas pour le Moment. Dollars : 360 Avatar : Jason Momoa. Age : 37 ans. Surnom : Kiki. Nom de code : O'Clock. Localisation : NY. Pouvoir : Chronokinésie. Métier : Voleur. Race : InHumain.
Sujet: Re: Home Sweet Home. [Gabrielle Chapman] Ven 31 Mar - 13:56
Home Sweet Home.
Gabrielle Chapman
Il tentait quelque chose. Ce n’était pas bien censé, ce n’était pas bien intelligent, mais ça changeait de ses habitudes, de sa zone de confort et pour cela, ça en devenait intéressant et excitant par la même occasion pour le hors la loi. Oui, il était entré dans l’appartement d’une personne qui ne voulait très certainement pas de sa présence en ces lieux… Mais pouvait on appeler cela une infraction ? Parce que mine de rien, ça n’en était pas une, il n’était pas rentré par une fenêtre ou n’avait pas crocheté une serrure, voir encore moins déconnecté le système de sécurité. Il était entré en même temps que la jeune femme… en usant de son pouvoir certes, mais c’était tellement plus drôle de cette façon. Son commanditaire semblait être un gros con qui n’aimait pas être contrarié. Dommage pour lui, Hakaiki était un connard d’une puissance bien plus importante que lui et vu qu’il ne voulait pas le payer pour ses trois jours de surveillances, il allait comprendre qu’on ne roulait pas le gentil homme qu’il était. Il avait donc pris une décision assez délicate et qui allait être surement lourde en conséquence pour lui.
Bien installé sur un fauteuil dans le salon, tasse de café optimisée à l’alcool dans sa main, il vit la jeune femme aux yeux bleus le viser avec son arme. Ça ne semblait pas vraiment le déranger. Pourquoi ? Oh… Si elle voulait tirer, elle l’aurait fait depuis le début, mais il n’était pas trop menaçant, pas pour le moment en tout cas. Il se contenta de la regarder avec un sourire amusé, comme si cette nouvelle situation était… agréable. « Allons… Ne pointez pas cette arme sur moi, je n’aime pas ces objets. » Non, il était profondément anti armes à feux. C’était… une façon de donner la mort trop simplement, trop facilement. Lui-même avait déjà tué une personne. Non pas pour un casse, un vol, mais bel et bien pour survivre à une situation critique. Il l’avait fait à main nue, il avait eu le temps de le voir mourir entre ses doigts et avant prit conscience de l’importance de la vie. Oui, il n’avait aucunes éthiques dans certains domaines, mais il chérissait la vie et il ne voulait pas la mort d’autrui. Autant les enfermer dans une cage, c’est plus agréable. Mademoiselle Chapman voulait des réponses, mais ne baissait pas son arme. Utilisant de nouveau son pouvoir, il la ralentit le plus possible et alla récupérer son arme à feu dans ses mains.
Ses mouvements étaient bien plus lents, trop lent pour qu’elle puisse appuyer sur la gâchette. Il prit l’arme, retira le chargeur, puis la première balle armée et posa le tout sur la table avant de s’assoir à la même place que précédemment. Reprenant une gorgée de son café. Il lui rendit sa vitesse. « Voilà qui est mieux. Maintenant nous pouvons discuter calmement autour d’un bon café. » Souriant, il l’invita à s’installer en face de lui. « Mon nom n’est pas la chose la plus importante voyez-vous. » Oui, il y avait quelque chose de plus impressionnant à annoncer. « Mon ancien employeur m’avait demandé de vous suivre pendant quelques temps. Je ne sais pas ce qu’il recherchait en particulier chez vous, mais bon, c’est la crise, il faut de l’argent et donc du boulot. » Il ingurgita une nouvelle gorgée de café. « Vraiment… Comment vous faites votre café ? Ça déchire. » Oui bon, il aimait faire durer dans la longueur l’Hakaiki. « M’enfin, ce fumier voulait également que je vole sur votre pc un dossier portant le nom de EXT-231, je ne sais pas ce que c’est, je ne veux pas savoir, mais je pense que mon employeur anonyme est intéressé par l’une de vos affaires. » Il posa la tasse vide. « Alors faites attention à vous d’accord ? Un flingue c’est mignon … Mais bon, une personne bien moins attentionnée que moi n’aurait pas hésité à vous voler. » Oui, il se faisait pour le chevalier servant la. Ça ne lui allait vraiment pas.
Date d'inscription : 22/01/2016 Messages : 239 Multicomptes : Felicia & Poor & Peter Fl Dollars : 1616 Avatar : Alexandra Daddario Age : 25 ans Surnom : Gaby Localisation : New York Métier : Avocate & Conseillère Juridique du PC Race : Humains Pourrais-tu être l'homme de ma vie ?
Sujet: Re: Home Sweet Home. [Gabrielle Chapman] Jeu 13 Avr - 17:00
Home Sweet Home.
Gabrielle & Hakaiki
Tu n'aimes pas cette situation, c'est le genre de situation que tu détestes par dessus tout. Ce type était chez toi sans que tu ne lui demandes rien du tout et il était en train de boire le café que tu t'étais préparée pour toi, pour finir tranquillement la journée devant la télévision, en pleurs devant un film triste ou quelques choses dans ce genre là. Mais il était là, et il te dérangeait au plus haut point, surtout qu'il semblait assez têtu, plus que toi même et ce n'est pas quelques choses de banal quand même. Tu pointais donc ton arme dans sa direction, parce que tu n'allais pas hésité à t'en servir si jamais il se montrait menaçant plus que de raisons. Pour le moment, il ne l'était pas plus que ça, c'est vrai, mais il avait violé ton intimité, il était là chez toi sans que tu ne le veuilles. Tu ne savais pas comment il avait fait pour rentrer sans trace d'effraction mais il était là, et ça ne te plaisait pas. Tu le lui faisais comprendre, mais cela semblait l'amuser plus qu'autres choses, alors que tu n'as jamais été aussi sérieuse. Il ne voulait pas que tu pointes cette arme sur lui, il n'aimait pas cela mais ce ne serait pas ces quelques paroles qui allait te faire faiblir dans ton obstination, il t'en faudrait plus pour que tu baisses le canon de cette arme prête à lui tirer dessus quitte à abimer un de tes meubles. Mais sans que tu ne t'en rendes compte ton arme disparue de tes mains pour se retrouver sur ta table en plusieurs parties. Et lui, il était là tout sourire en train de boire ton café. Tu ne savais pas comment il avait fait ça exactement, mais de toute évidence, il était plus qu'humains. Peut être qu'il pouvait arrêter le temps, ou quelques choses comme ça pour t'enlever l'arme de tes mains. Au moins, il semblait avoir dit vrai à ce propos, il ne te l'avait pas prise pour te pointer toi avec. Tu n'étais pas plus rassurée pour le moment. Il était costaud alors il pouvait quand même te faire mal s'il le désirait mais ça ne semblait pas être le cas, au contraire, il était en train de parler, de beaucoup trop parler alors que tu avais encore du mal à comprendre comment il avait fait pour t'enlever cette arme des mains. Bref, tu l'écoutais cependant, il te parlait de ce qu'il était venu faire ici, il te suivait depuis plusieurs jours et son ancien employeur à en croire ces mots s'intéressait à une de tes affaires assez sérieusement pour qu'il soit ici présent chez toi. Bien entendu, tu étais restée debout devant lui, tu ne voulais pas lui accorder une quelconque confiance, même si de toute évidence, il ne te fera pas de mal, mais il en a déjà fait rien que par sa présence ici. Il te parla donc du dossier EXT-231. Tu ne nommes jamais distinctement tes dossiers, ils ont toujours des noms commençant par INT ou EXT, suivi d'un numéro. Tu cherchais donc dans ta mémoire ce dossier donc extérieur au parti collectif qui concernait sans doute de près ou de loin son ex-employeur. Ton regard se faisait ravageur sur sa personne. Il essayait de se faire passer pour le bon dans l'histoire, alors que ce n'était pas le cas. Il avait tenté de te voler et suite visiblement à un désaccord financier, il n'avait pas fini son travail. Tu n'arrivais pas à y croire, c'était quand même fou.
" Parce que vous n'étiez pas là pour me voler peut être ? Si vous ne vous étiez pas embrouillé avec votre employeur vous seriez en train de voler ce fichier dans ne vous faites pas passer pour le gentil dans l'histoire. Je suis avocate, donc je sais ce que j'ai à faire pour porter plainte contre vous. J'ai suffisamment de preuves pour vous mettre en prison le temps de quelques années. Il est certains que je ne vais pas vous révélez le contenu de cette affaire confidentielle, mais merci de me prévenir, je sais que j'ai de nombreux dossiers sensibles sur le feu. Alors si vous ne voulez pas finir en prison, votre nom serait quelques choses que j'apprécierais de savoir, et puis aussi des informations sur votre employeur, ou votre ex-employeur, ça m'aiderait grandement à analyser cette menace, parce qu'il y a de grandes chances que je la connaisse déjà. "
Des menaces ? Non, pas vraiment, mais si tu essayes de faire abstraction de l'arme qu'il a désossé sans que tu ne puisses le voir, tu aimerais bien en savoir plus à son sujet et au sujet de cet employeur mystérieux pour que tu puisses pouvoir faire tes propres recherches de ton côté. Et puis qui sait, peut être que tu pourrais suffisamment lui mettre la pression pour qu'il te rende de menu service dans l'avenir, ça pourrait toujours servir, n'est ce pas ?