La météorite bleue [Mini-Intrigue / Groupe 3]

LA MÉTÉORITE BLEUE

“mini-intrigue #5 ; groupe 3

Une force surnaturelle vous appelle. Vous, détenteur de don particulier, que vous soyez un confrériste, un x-men ou un mutant indépendant. Mais, il n'y a pas que votre race qui ressent cet appel. Les êtres des autres univers ont également leur cœur qui bat au même rythme que cette mystérieuse énergie. Tout a commencé par la chute de cette petite météorite à Central Park, il y a trois jours. Elle est passée inaperçue aux yeux de la majorité des citoyens, mais pas aux vôtres. Voilà plusieurs jours que ça vous obsède et que finalement vous renoncez à vouloir comprendre. Ceux qui ont déjà deviné l'origine de cette énergie sont dotés de plus grands pouvoirs que vous.

La nuit vous enrobe doucement alors que vous progressez dans Central Park. C'est sur un coup de tête que vous avez décidez de lancer vos recherches à ce moment de la journée. Vous ne savez pas où cherchez afin de dénicher cette pierre d'un autre monde, mais être présent ici à cette heure ne vous fait pas peur. Ce que vous ne savez pas, c'est qu'il y a de nombreux autres courageux new-yorkais qui ont bravés la nuit sans Lune et la fraîcheur qu'elle insuffle. Plusieurs centaines pour être exact. En pénétrant plus profondément dans Central Park, vous débouchez sur un cirque ambulant qui n'était pas là hier, ça vous en avez la certitude. Les lumières, les manèges, les stands de peluches et les rires ne sont pas ce qui vous intéresse, mais étrangement, l'énergie semble provenir de ce lieu. Voilà qui complique vos recherches. Si par mégarde la météorite est passée inaperçu aux yeux des forains qui ont érigés le cirque, se pourrait-il qu'elle soit sous celui-ci ? Ou bien, peut-être la pierre cosmique a-t-elle été découverte avec autant de gens dans les parages ? Il n'y a qu'une façon de le découvrir.

Participants: Jean-Akira Ivankov, Aidan Pàdraig, Clea Strange et Peter File

/!\ IMPORTANT /!\ Pour cette mini-intrigue, toutes actions relatives à la météorite auront des conséquences sur le joueur, ces dernières étant gérées par Marvelous. En cas de besoin, merci de demander une intervention.

Règles de la mini-intrigue

Il n'y a pas d'ordre de passage et aucun nombre de mots imposé, mais faites attention de ne pas mettre vos camarades de jeu sur le carreau en faisant bande à part ou en répondant en avalanche sur une courte durée.
Sentez-vous libre d'utiliser les dés à votre guise pour les décisions importantes. Si durant le sujet vous souhaitez l'intervention de Marvelous, vous pouvez faire une demande ici et on viendra s'occuper de vous au plus vite.
Un topic flood rien que pour vous a aussi été créé afin de discuter entre vous du sujet si nécessaire.

N'oubliez pas que le déroulement de ce sujet dépend de vos actions, n'ayez pas peur de prendre des initiatives et rappelez-vous que ces événements auront des conséquences sur vos personnages... et peut-être plus encore. La météorite bleue [Mini-Intrigue / Groupe 3] 2332692358

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STARDUST CRUSADERSClea, Ivankov, Peter, Aidan

Tom n'était pas le genre d'homme qui se laissait obséder par des petites choses.

Ho, il avait bien quelques... obsessions morbides, bien évidemment, mais ce genre de trucs, il n'y avait que deux personnes qui les connaissaient, et il ne risquait pas vraiment d'en parler avec ses camarades de bureaux, aussi. Et bien évidemment, il possédait quelques loisirs : observer sa mygale domestique dévorer sa nourriture, par exemple, ou regarder le mouvement des nuages, ou même contempler quelques couteaux, effectuant quelques gestuelles pour imiter une attaque au couteau, et... hum, ça aussi, il n'en parlait pas.

Enfin, tout ça pour dire : Tom ne se soucie que de ce qui le regarde. C'était un fait, et c'est bien pour cela que cette petite météorite bleue était un mystère total.

Cette dernière, après tout, ne semblait pas être grand chose aux premiers abords. Une simple (si le terme pouvait bien s'appliquer) météorite s'écrase sur Central Park, sans causer un quelconque cataclysme horrible. Il y' avait assité alors qu'il se consacrait à son observation des nuages, alors qu'il se sentait particulièrement ennuyé.

Et pourtant, la vision de cette traînée bleue lui fut franchement étrange, c'était un sentiment qu'il ne pouvait pas résumer, mais notre homme finit par devenir très curieux, surtout parce que ses voisins ne semblaient point avoir aperçue la chute céleste. Il lut le journal, il consulta la télévision, il alluma la radio pour plus d'informations mais personne ne semblit intéressé avec l'objet.

Ou, tout du moins, sa chute était considérée comme peu importante. L'affaire d'expert, une chose qui n'appartenait pas au monde du New-Yorkais normal. Trop banal pour attirer un super-héros, trop compliqué pour que ça excite bien le New-Yorkais ordinaire. Et notre homme lui-même finit par abandonner après un moment : rien ne semblait y sortir, et c'était l'affaire du gouvernement, ou d'entités qui échappaient à sa compréhension.

Il avait abandonné l'affaire.

Et c'est pour ça qu'il était dans Central Park, en une nuit agréable. Il ne savait pas pourquoi il s'y était décidé maintenant, mais il sentait que la pierre de l'espace l'appelait, simplement. Comme si jamais son propre gêne-X était attiré par l'énergie étrange de la roche, comme un métal avec un aimant.

Tom partit de façon que l'on pourrait qualifier de "peu préparé", avec sa tenue de travail (il avait plusieurs modèles, déjà), quelques pièces, quelques stylos, des couteaux dissimulés et autres objets. Il admit bien qu'un suit n'était probablement pas l'affaire idéale pour s'infiltrer dans Central Park, mais son pouvoir était de transformer la matière en une bombe. Il n'avait pas besoin d'armes quand il bénéficie du champ de bataille lui-même !

Pénétrer dans Central Park, la nuit, fut facile. Les jeunes faisaient ça facilement. La partie la plus dure fut marcher dans le noir, et pas parce qu'il avait peur de se cogner dans un arbre quelconque, non. Il avait juste peur de tomber sur des pantins du gouvernement, ou d'autres mutants, ou un quelconque mutant qui ne voulait pas partager la météorite avec lui.

Remarque, il comprenait : si jamais il y'avait quelque chose à tirer de cette énergie étrange, elle lui appartenait, à lui seul. Il avait tué, auparavant, et il était prêt à faire de même si jamais l'objet en valait la peine.

Des lumières l'aveuglèrent, pendant un instant. Confus, il porta une main devant son visage. Un hélicoptère ? Les lumières de la ville ? L'énergie ? Aucunement. Les rires, le bruit incessant des manèges, les conversations... ce n'était pas le gouvernement, ce n'était pas un quelconque assaut sur lui, ce n'était pas la météorite qui l'accueillait.

C'était un parc d'amusement.

Une illusion ? Il n'avait jamais vu cet endroit, et il ne se souvenait pas de nouvelles sur la présence de cet endroit. Tom, hésitant, entreprit de se pincer la joue !

Aïe.

Non, ce n'était pas ça. Dans un effort plus poussé, il entreprit d'aller traverser la foule (bien solide, semble t-il) et appuya du doigt sur une structure, sans la changer en bombe.

Solide.

Tom sentait pourtant l'énergie... qu'était-ce donc que ça ? Qu'est-ce qui lui arrivait ? Bon... il devait essayer de s'engager dans la structure, mais il n'avait pas d'idée de l'endroit. C'était sans doute un truc dangereux.

Humph, voilà quelque chose de bien étrange.

Il remit sa cravate en état et observa un peu la foule, essayant de chercher d'autres personnes confuses dans tout ce tas de personnes... joyeuses, beurk.

Confus ? Rassurez vous, je le suis également.

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La météorite bleue

Au début, Clea n’a pas réellement porté attention à cette soit-disant météorite. Mais elle s’est vite rendue compte que quelque chose clochait, sa magie électrise son sang et si au début Clea a mis cela sur le compte de sa grossesse, elle a fini par reconnaitre que ça n’a rien à voir avec ça. C’est à ce moment là qu’elle s’est mise à se demander si ça n’avait pas un lien quelconque avec la chute de la météorite… Ca l’a faite rire, pourquoi diable une telle chose viendrait contrarier sa magie ? Cela n’a aucun sens alors elle a préféré oublier tout ça, le mettre dans un coin de sa tête et ne plus y penser. Ou en tout cas, essayer. Parce que mine de rien, maintenant qu’elle s’y est un peu intéressé, ça ne cesse de tourner dans sa tête. Elle a souvent une petite moue pensif sur ses traits néanmoins, elle n’en parle pas. C’est à tous les coups un effet de son imagination, un symptômes de sa grossesse. Au lieu d’être nauséeuse, c’est sa magie qui en ressent les effets. Après tout, il ne faut pas oublier que Clea n’est pas humaine, que son corps ne passe peut-être pas par les mêmes phrases que ceux des autres êtres humains. Elle n’en sait trop rien. Puis si c’était à cause de la météorite, Stephen aurait lui aussi ressenti quelque chose or, ce n’est pas le cas. Sa magie n’est en rien perturbée, pas plus que son esprit ou en tout cas, pas pour une chose aussi futile. Ou alors peut-être ne ressent-il pas cette étrange sensation parce qu’il est simplement humain ? Que ce sont les gènes extra-terrestres de la sorcière qui peuvent seulement percevoir cette perturbation dans la magie ? Aucune idée mais ça commence véritablement à préoccuper Clea.

Il fait chaud. La blonde avait oublié la chaleur étouffante de New-York en été. Cette moiteur désagréable qui vous colle à la peau sans jamais vous lâcher. Pourtant, ce n’est pas cela qui l’empêche de trouver le sommeil, cette nuit là. Elle ne ressent même pas particulièrement la chaleur extérieur, c’est le cadet de ses soucis. Par contre, cette fichue météorite. Elle fronce ses sourcils, le regard rivé sur le plafond de la chambre à coucher du couple. Stephen est endormi entre ses bras, sa tête blottit contre la poitrine de Clea et sa main posée sur son ventre. Nouvelle habitude de ce dernier qui tous les soirs, s’endort sa main là, juste après avoir caressé le ventre de son épouse presque avec dévotion. Mais ce soir, ça n’arrange pas réellement Clea, d’avoir son mari contre elle ; c’est délicat de s’extirper de ses bras sans prendre le risque de l’éveiller. Très lentement, la blonde commence à repousser Stephen sur le matelas mais ce dernier marmonne, fronce ses sourcils et la jeune femme s’arrête net. Puis elle avise son oreiller, le glisse entre les bras du sorcier qui le serre et se retourne tout en gardant le coussin contre son torse. Oh finalement, c’était plus simple qu’elle ne le pensait ! Dans le plus grand des silences, elle s’habille avant de quitter la chambre puis la maison.

A l’extérieur, l’air est toujours aussi moite. Comme si le fait que le soleil soit couché ne change rien ou presque rien. Durant quelques secondes, Clea réfléchit où la météorite s’est écrasée quelques jours plus tôt. Ah oui ! Central Park. C’est à un peu plus d’une vingtaine de minutes de Greenwich Village ; il lui faudra ensuite trouver l’exacte localisation de la météorite… La chose sera sûrement plus ardue ! Sauf si elle suit son intuition et son instinct. Elle se laisse uniquement guider par sa magie qui lui dicte ses pas à travers l’immense parc quasi désert par une heure si tardive. A une centaine de mètre, du bruit, des lumières. Clea fronce les sourcils, l’endroit est maintenant bondé de monde. Au moins, la jeune femme peut se fondre aisément dans la masse. Hélas, sa magie se brouille, le signale qu’elle suivait est lui aussi complètement brouillé. Bon sang. La sorcière s’éloigne un peu de la foule, pour se retrouver à proximité d’un étrange homme habillé d’un costume de travail… A une heure pareille ? Il semble parler tout seul. Ou bien sa dernière phrase est-elle pour Clea ? La sorcière ne sait quoi répondre. Avec cette histoire de recensement, utiliser ses pouvoirs ou laisser entendre qu’on ressent quelque chose peut vous mettre dans une mauvaise posture. Alors elle hausse vaguement les épaules, observe attentivement les lieux tout en tentant de rétablir sa magie.

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La météorite bleue

Peter • Jean-Akira Ivankov, Aidan Pàdraig, Tom Kelley, Clea Strange

Il a vu tombé un caillou du ciel voilà trois jours alors qu'il regardait à travers la fenêtre alors qu'il allait fermer les volets de sa chambre. Depuis ce jour là, cette météorite, ce petit caillou l'obsédait comme jamais. Il ne comprenait pas pourquoi il en était ainsi, vraiment, cela ne lui était encore jamais arrivé, mais aujourd'hui, c'était le cas. Il sut résister durant trois jours à la tentation avant de finalement y céder comme le disait Oscar Wilde, mais il ne saurait dire pourquoi il avait attendu tout ce temps, ni s'il pourrait trouver la météorite. Après tout, qu'est ce qu'il pourrait bien faire d'une météorite ? Rien, absolument rien, mais peu importe. Alors qu'il sortait de la douche, il était tellement obsédé par cette météorite qu'il sortit dans la rue en peignoir avec une serviette sur la tête pour que ces cheveux restent parfaitement bouclé pour qu'il garde son charme. En vérité, il avait quand même enfilé un caleçon, mais cette tenue n'était pas adéquate pour se promener dehors à n'en pas douter, mais il s'en fichait, il voulait se rendre dans Central Park pour justement trouver ce caillou. Il ne savait pas ce qu'il allait en faire bien entendu mais cela n'avait pas guère d'importance. Il se lança donc à la poursuite de la météorite, mais lorsqu'il fut arrivé plus ou moins à destination, il tomba nez à nez avec un cirque qui s'était visiblement posé là, comme une fleur. Comment étais-ce possible ? Il n'en savait rien, il n'avait jamais rien vu de tel en plein milieu de Central Park, mais peu importe, il chercherait, lorsqu'il se rendit compte que deux personnes non loin de lui semblaient rechercher la même chose. Pourquoi pensait-il cela ? Il n'en savait rien mais il se disait qu'ils étaient aussi attirés que lui par cette météorite.

" Vous aussi vous avez été attirés par la météorite qui est tombée dans le coin voilà trois jours ? Non, parce que j'avais tellement envie de la trouver que je n'ai même pas pris le temps de m'habiller. "

Oui, il allait clairement être pris pour un fou ce soir, mais il se fichait des apparences comme il l'avait si bien dis à la réunion de la confrérie. Pour lui, le résultat était le plus important, n'est ce pas ? Bien entendu, alors il attendait une réponse de ces personnes, mais peut être qu'il n'en aurait pas. Après tout, qui pouvait être attiré par un caillou de l'espace ? Pire, qui pouvait parler à un homme en peignoir et avec une serviette sur la tête, homme qui se trouve au milieu de Central Park, en plein milieu de la nuit. Oui, décidément, ce monde est fou et Peter est sans aucun doute un fou parmi les fous.

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La météorite bleue

Tom ξ Clea ξ Peter ξ Aidan ξ JA

3 jours. 3 jours que ça m'obsède. Cette chose tombée du ciel me rend fou. Pourtant, ce n'est qu'une météorite, qu'un morceau de roche mais j'ai envie de voir ça de plus près. Il faut que j'aille voir ce que c'est. Je sais pas, je me sens comme attiré par ce caillou. Pas physiquement, non, c'est plus profond que ça. Tout mon être me hurle d'aller voir ce que c'est. Je fais les cents pas, je devrais retourner me coucher mais l'insomnie guette. Même le Whisky n'a pas réussi à m'enlever cette foutue météorite de la tête, du moins, pour ce soir. J'ai l'impression que l'énergie irradie dans tout l'environnement mais trouve sa source là-bas, où la météorite est tombée. J'en ai parlé avec Niall mais rien, il ne semble pas l'avoir vu et ne semble pas ressentir cette énergie. Rah et puis merde, je me faufile dans la chambre de Niall pour vérifier qu'il dort, puis j'attrape ma veste d'un mouvement rapide avant de filer.

La nuit est fraîche, ce soir, à New York. Je frissonne un peu avant de refermer un peu plus ma veste. Mes pas me guident instinctivement vers Central Park. Ce n'est pas très loin de chez moi mais je vais devoir faire le tour du quartier pour y arriver. Je pourrais prendre les petites ruelles mais, quitte à sortir le soir, autant profiter des lumières de la ville. Et puis, sentir les odeurs de vomi et de pisse, non merci. Des bruits de fête foraine me parviennent. Je fronce les sourcils. C'est bizarre, il n'y en avait pas pourtant, ou en tout cas, je n'ai vu aucune affiche. Pourtant, une fête foraine, c'est pas tous les jours, à New York. Il y aurait du au moins avoir un petit mot dans le journal. Mouais, ça devient louche, cette histoire.

J'entre sans difficulté dans le park. C'est ici que l'attraction est la plus forte, ça chatouillerait presque. Les lumières des attractions éclairent toute la scène. La foule est nombreuse à être venue participer à la fête. Pourtant, tout semble si… Vide. Pourtant, les éclats de voix, les discussions, les rires, tout semblent réels. Je vole un portefeuille d'un mec au hasard. Je l'ouvre, vide. Pas une carte d'identité, pas un dollar, rien du tout. Je m'adresse à un forain mais il m'ignore totalement. Je tente de l'interpeller, en élevant un peu la voix mais il continue de discuter avec ses clients. Enfoiré, va.

Je me recule un peu avant de m'arrêter. Là-bas, un groupe de trois personnes semblent sortir du lot, comme s'ils ne faisaient pas partis du décor. Il y a un homme, une femme et… Un mec en peignoir ? Il aurait pu s'habiller quand même ou au moins, enfiler un pantalon. Je m'approche doucement « Vous aussi, vous êtes là pour la météorite ? » Question un peu inutile mais ça fait un bon moyen d'entamer la conversation. Évidemment qu'ils sont là pour la météorite. Sauf que je n'ai pas l'intention de leur laisser, elle est à moi. Je suis sûr que je pourrai en tirer un très bon prix alors pas question de la laisser tomber en leurs mains.

- Oooooooooh S'époustoufla l'étrange personnage en accompagnant la foule. S'il n'avait pas une apparence particulièrement bizarre, ou en tout cas pas assez dans un monde de super-héros pour mériter l'adjectif "étrange", la foule l'entourant le démarquait particulièrement et lui permettait de l'obtenir de façon honorifique. Les spectateurs, assis au premier rang, voir par terre pour les plus audacieux, tapaient dans une tranche d'âge ne dépassant pas les dix ans. Sauf Jean-Akira, surplombant ses voisins et empêchant les autres enfants de s'asseoir derrière. Il arborait cependant une expression similaire à celle de tous les autres gamins, lui permettant de passer plus ou moins inaperçus. Un énorme sourire radieux, balançant de la joie dans toutes les directions. Les yeux écarquillés, notre héros admirait le spectacle prenant place devant lui. S’esclaffant quand il le devait, poussant des cris quand il fallait, et tapotant l'épaule de sa voisine de gauche en ajoutant un "wooooh" lorsque ça le méritait véritablement. Une gamine de sept-ans et demi, partageant l'intérêt fraîchement découvert de l'extraterrestre pour le cirque. Qui avait en plus accepté de partager son paquet de réglisses. Une faille béante dans l'éducation, on n'a jamais dis aux enfants qu'ils ne devaient pas, eux, donner des bonbons à des adultes louches.

Ainsi notre protagoniste appréciait sa soirée, passant un moment agréable à regarder les forains. Il appréciait aussi sa nouvelle amie, Edna, qui lui apprenait de nombreux nouveaux mots en commentant les différentes parties du spectacle. Il aimait particulièrement "fendard", qu'elle qualifia les clowns acrobates. Ça sonnait bien, comme mot. Aussitôt, l'alien commença à en coller partout dans ses phrases, se faisant régulièrement disputer par la gamine pour de mauvaises utilisations. Elle abandonna lorsque l'humanoïde qualifia les lions, ses nouveaux animaux préférés, de particulièrement fendards ! Edna avait rapidement deviné quelque chose que beaucoup n'arrivent jamais à comprendre. Faut pas s'acharner avec Jean-Akira. Faut savoir laisser passer et simplement ignorer l'apparente stupidité. Ça vous évite des ulcères.

Abasourdi par les attraits du cirque, du moins pour les enfants et les adultes facilement impressionnés, Ivankov oublia les raisons l'ayant poussé au milieu de Central Park. Chose relativement simple, puisqu'il ne les connaissait pas. C'est en général plus facile d'oublier un truc que l'on ne sait pas, plutôt qu'une information que l'on a. Le Héraut avait marché aléatoirement dans la ville, comme tiré par une force mystérieuse que les quatre joueurs avant moi ont déjà décris et auxquels je vous renvois si vous avez besoin de plus d'informations. Jean-Akira en aurait bien besoin lui, dommage qu'il soit incapable de lire les RPs, ne sachant pas qu'une météorite servait de source. Ou même ce qu'est une météorite. Oui c'est assez surprenant venant d'un alien, seulement là bas il y'en a tellement, on appelle juste ça des cailloux. Qu'ils soient au sol, qu'on les lance, ou qu'ils tombent du ciel. Ça reste la même chose. Le notre, cependant, se démarquait particulièrement de ses camarades rocheux, par sa capacité à attirer des hurluberlus de toutes sortes.

Demandant à Edna de garder attentivement sa place, notre héros passa rapidement les rangées pour se diriger vers ce qu'il espérait être les toilettes. Qui étaient en réalité une tente cachant des ours dans une cage. L'agent évita le pire, son attention tirée de la tente par un petit groupe. Il reconnait immédiatement la seule femme, l'ayant honteusement incriminé puis accusé il y a peu de temps. Si notre protagoniste a des difficultés pour reconnaître les hommes des femmes, les enfants des adultes ou les chevaux des chiens, les non-humains sont plus simples. Disons que tous les autres êtres mentionnés viennent de la même planète. Sans que Jean-Akira ne puisse réellement l'expliquer -de par son incapacité à comprendre la moindre science humaine, alors celles de l'espaces n'essayons-même pas d'en parler- les êtres venant d'un même monde dégage quelque chose de similaire. Et Clea, contrairement aux trois hommes, ne le dégage absolument pas. Ainsi, l'entité cosmique appréciait naturellement cette femme, apparemment dans une situation similaire à la sienne. Sans hésiter il s'approcha du groupe.
« Vous aussi, vous êtes là pour la météorite ? »
- C'est quoi ça, la météorite ? J'crois que c'est un cirque ça, selon Edna. Notre protagoniste essaie d'aider ses interlocuteurs qui semblent perdus puis ajoute Bonjour Mademoiselle Stronge, vous allez bien pendant la nuit ?

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STARDUST CRUSADERSClea, Ivankov, Peter, Aidan

Tom était un homme sensé, c'était bien ça qui lui avait permit de ne pas se faire attrapper par la police, dans ces temps fortement anti-mutants. Son appel, donc, avait plus d'importance que l'on pourrait penser, ne tenant guère d'une simple petite phrase adressé seulement à lui.

Déjà, les autres "humains" semblaient incapables de le remarquer. C'était un fait. Il savait cependant qu'il y'avait sans doute d'autres personnes bien faites de chair dans cette foule, et qu'il était bien difficile de les identifier, vu les circonstances. Le truc facile à faire, donc ? Parler, simplement. Les personnes réelles le remarqueront et iront sans doute le voir ensuite, histoire de former un groupe.

Aller tout seul dans l'endroit semblait dangereux, après tout. Pour le moment, rien de bien menaçant ne se profilait mais la nature illusoire de l'endroit signifiait que des pièges étaient possibles. Mieux valait y aller en groupe. Les boucliers humains aident.

Bon, première vérification : une femme blonde se tourne vers Tom... et hausse les épaules avant de retourner à une quelconque observation. Peu bavarde, mais il avait pu constater qu'elle était réelle comparée aux restes. Bon, le silence de la jeune femme était quand même déplaisant, principalement parce qu'elle ne semblait pas vouloir entrer elle même dans le parc. Il allait falloir attendre qu'un troisième individu se ramène si jamais il voulait former son groupe, semble t-il.

En espérant qu'il ait plus de courage.

En parlant de ça, un homme se fit également connaître. Plus bavard que notre blonde, mais également plus... bizarre, d'après son peignoir et la serviette bien posée sur sa tête. Tom prit un air surpris pendant un moment avant de juste... l'observer, nourrissant des envies de meurtre, qu'il ne trahit guère, conservant quand même un air profondément blasé.

Il ne répondit pas aux inepties qui sortirent de la bouche de l'individu, ceci dit, et se contenta d'effectuer le fameux "facepalm" pendant un moment, lui permettant de ne plus voir l'étrange individu pendant quelques secondes rafraîchissantes. Il ne voit également pas un quatrième individu, malheureusement, et un cinquième.

Quand il recouvrit sa vue, il observa ces derniers pour un moment : l'un avait l'air simplement... hé bien, un homme adulte, simplement, pas grand chose à dire. Pareil pour notre cinquième mousquetaire, qui semble juste plus vieux que les individus du petit groupe. L'homme plus jeune mentionnant la météorite, une question inutile, mais bon.

Tom entreprit de laisser un peu la parole au cinquième individu, qui semblait ignorant, et se contenta de prendre la parole, notant le nom de la femme.

Oui. Nous sommes ici pour la météorite.

Inutile de mentir.

Maintenant, il faudrait aller la chercher... en groupe, bien évidemment. Cet endroit pourrait être dangereux, et l'union fait la force, après tout.

Le regard de Tom balaya le groupe. Il regrettait d'avoir emmené des couteaux, même si ces derniers étaient trop bien cachés pour être bien repérés par pure chance.

Evitez de vous perdre. Je n'irais pas vous chercher.

Notre homme commença ensuite à s'enfoncer lentement dans le cirque, s'arrêtant de temps à autre pour voir si jamais le reste du groupe était avec lui, ou pour que le dit groupe le rejoigne bien.

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La météorite bleue

Qu’il est étrange, cet homme non-loin d’elle. Elle voudrait observer ses pensées mais voilà qu’un nouvel individu s’approche d’eux. La blonde se tourne vers l’inconnu qui… Est vêtu d’un peignoir et d’une serviette sur ses cheveux. Ses sourcils se froncent, son visage a pris une expression perplexe devant l’homme. Pourquoi est-il ainsi peu vêtu ? Les humains sont censés s’habiller pour sortir, non ? Enfin, c’est ce qu’elle a toujours compris. Ont-ils le droit de se balader en peignoir de bain ? Ou alors il a peut-être quelques soucis psychologique. Cela peut très bien arriver ! Mais alors qu’elle cherche une explication aux raisons ayant poussées le jeune homme à sortir en peignoir, ce dernier commence à lui parler. Ou à leur parler ? Apparemment, il semble s’adresser à elle ainsi qu’à l’homme étrange à côté d’elle. Oui, celui vêtu d’un costard. Décidément, les humains sont véritablement bizarres. Sauf Stephen. Enfin si, il l’est lui aussi mais pas autant que ces deux énergumènes. L’homme en peignoir parle de la météorite ; alors elle n’est pas la seule à avoir ressenti cette étrange sensation en elle ? Il faut dire qu’avec Stephen n’ayant rien remarqué, il y avait de quoi douter. La sorcière va répondre lorsqu’un troisième individu se ramène. Un grand blond qui s’approche du petit trio maintenant quatuor. Encore un autre là pour la météorite ? Bon sang !
Ses yeux se perdent autour d’eux jusqu’à tomber sur une silhouette qui ne lui semble pas inconnue. Mais où l’a-t-elle vue ? … Ses yeux se plissent, la blonde réfléchit quelques instants jusqu’à ce que le visage familier de Jean-Akira Ivankov apparaisse dans la lumière des lampions et manèges. Un petit sourire étire les lèvres de Clea à la vue de son compatriote non-humain et non-terrien en face d’elle. On ne peut pas dire que cela ne lui fait pas plaisir de voir un visage connu ! Certes, ils se sont rencontrés il y a quelques semaines dans une galerie d’art et partagés quelques péripéties avec d’autres personnes, notamment Stephen. Il est poli mais écorche un peu le nom de son époux tout en l’appelant « Mademoiselle » ce qui… Fait légèrement rosir les joues de Clea ainsi que rire doucement ; après tout, c’est plutôt amusant.

« C’est Madame Strange mais vous savez, vous pouvez m’appeler Clea. Dit-elle avec un sourire. Comme les trois autres, je suis ici pour la météorite. Vous ne vous rappelez pas ? Elle s’est écrasée dans Central Park il y a quelques jours. »

L’homme en costume se met à prendre les devants et la tête du groupe sans même demander quoi que ce soit à personne. Clea n’aime pas cette attitude. L’inconnu éveille en lui un sentiment étrange, de méfiance et d’hostilité, ce qui est assez rare venant de la douce Clea. Elle se tourne vers l’homme en peignoir qu’elle regarde de la tête aux pieds.

« Voulez-vous des vêtements plus… Appropriés ? Je peux vous en fournir. » Demande la sorcière avec simplicité.

Jean-Akira est un alien tandis que les trois autres hommes sont des mutants. Aucun humains ne semblent avoir remarqué la météorite, cette énergie qui s’en dégage. Puis, il a fallu que la jeune femme entre dans les petites têtes des hommes afin de savoir à qui elle a affaire. Un vendeur membre de la Confrérie, Peter, un voleur, Aidan, et pour le dernier… Oh elle se le réserve pour un peu plus tard. Après la réponse de Peter, le petit groupe s’aventure un peu plus dans le cirque bondé de monde. C’est alors qu’elle marché derrière Tom que Clea décide de venir infiltrer l’esprit du mutant et ce qu’elle y voit… Ne lui plait pas du tout. Des souvenirs sanglants, des pensées qui lui font froid dans le dos. Cet homme ne devrait pas être en liberté.

« Je sais ce que vous cachez dans votre mallette, Mr Kelley. Dit-elle froidement et directement dans l’esprit du comptable. Tentez d’en user ou d'utiliser votre pouvoir et croyez-moi, vous le regretterez. »

Aucun son n’est sorti de la bouche de Clea, il ne lui est pas difficile de communiquer en utilisant la télépathie et elle affiche un air parfaitement innocent. Il faudrait pour l’interpeler mais elle est mal placée pour dénoncer un hors-la-loi, en étant une elle-même. Mon Dieu, dans quelle histoire s’est-elle lancée ? Il aurait mieux valu qu’elle reste au lit avec son mari au lieu de sortir en plein milieu de la nuit. Elle se met au niveau de l’unique personne qu’elle connait en le gratifiant d’un sourire.

« Est-ce moi ou vous vous retrouvez toujours dans des situations improbables, Monsieur Ivankov ? »

Elle peut bien parler.

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La météorite bleue

Peter • Jean-Akira Ivankov, Aidan Pàdraig, Tom Kelley, Clea Strange

Alors que Peter vient de poser la question à deux personnes, un autre type sortie apparemment de nul part ou presque leur pose la question. Il ne sait pas combien sont là pour la météorite, peut être que tout ce cirque est là pour ça, il n'en sait strictement rien du tout mais ça n'a pas d'importance à présent. Ils sont quatre, peut être cinq avec l'autre type qui les rejoint et qui parle du cirque selon Edna. Oui, devant eux, il y a un cirque, mais ce n'est qu'une façade. Peter et ces compagnons d'infortune cherchent quelques choses d'autres. Il ne connait personne, mais apprends donc le nom de la seule femme du groupe, Cléa Strange visiblement qui lui propose des vêtements dignes de ce nom. Son peignoir et sa serviette sur la tête, la mettent peut être mal à l'aise, il ne saurait dire, mais comme il a son peignoir fétiche sur lui, il hésite à sa proposition.

" Mon peignoir ne vous plait Miss Strange ? C'est mon peignoir fétiche, si vous me fournissez des vêtements je risque de le perdre, et je n'en ai pas forcément envie. Après, tout dépends de ce que vous avez à m'offrir aussi. "

Oui, il était hésitant, et verrait en fonction de ce que la jeune femme pourrait lui fournir. Il ne doutait pas que si elle lui proposait cela, qu'elle était capable de lui fournir tout et n'importe quoi sans doute. L'homme que Peter trouve le plus étrange, s'avance alors, commençant à chercher la météorite. Si Peter avait son téléphone sur lui, il aurait pu lancer son application de géolocalisation. Enfin, celle qu'il a légèrement modifier pour capter les ondes venues d'ailleurs, des rayons gamma et d'autres choses. Si la météorite vient de l'espace, elle doit bien avoir des rayons qui sortent d'elle ou quelques choses comme ça, non ? Il n'en sait rien l'astronomie n'est pas vraiment son domaine, lui c'est l'informatique et l'électroménager à vrai dire. Il se met donc à avancer avec les autres puisqu'il va bien falloir trouver cette météorite pour en avoir le coeur net.

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La météorite bleue

Tom ξ Clea ξ Peter ξ Aidan ξ JA

Je parcours des yeux notre petit groupe, on a un homme en costard qui se prend bien trop au sérieux à mon goût, une jeune femme, un homme en peignoir un peu bizarre mais qui ne semble pas méchant et, on est rejoint par un homme, beaucoup trop âgé pour être là juste par hasard. - C'est quoi ça, la météorite ? J'crois que c'est un cirque ça, selon Edna. Je fronce les sourcils. Il ne sait pas ce qu'est une météorite ? Pourtant, le voilà ici avec nous. Si ça se trouve, je me suis trompé et il est juste là pour le cirque. C'est tout de même étrange, ce genre de coïncidences et si ça se trouve, il joue simplement un jeu. Peut-être que lui aussi veut s'emparer de la météorite. Pas question, elle est pour moi.

Oui. Nous sommes ici pour la météorite. Je relève la tête vers le comptable, c'est sympa de sa part d'avoir répondu mais je m'en serais très bien passé. Évidemment qu'ils sont là pour la météorite. Bon, j'ai encore des doutes pour le vieux mais pour le reste du groupe, ça saute aux yeux. On est tous là à cause de l'énergie qu'elle dégage. Ma question, c'était juste un moyen d'engager la conversation et de ne pas arriver dans le dos des gens comme un voleur. Enfin, au moins, les choses sont claires, c'est déjà ça.

Maintenant, il faudrait aller la chercher... en groupe, bien évidemment. Cet endroit pourrait être dangereux, et l'union fait la force, après tout. Putain, il commence déjà à m'énerver lui. Petit comptable prétentieux. D'habitude, c'est moi qui donne les ordres et il est hors de question que ce mec prenne les devants. Et puis, évidemment qu'on va y aller en groupe, comme si après avoir fait tout ce chemin, les gens allaient faire demi-tour sous prétexte que c'est potentiellement dangereux. Si c'est pour dire des conneries pareilles, il ferait mieux de la fermer.

Evitez de vous perdre. Je n'irais pas vous chercher. Je craque. Putain mais il s'est cru où ? Dans un James Bond ? Il se prend pour qui ? C'est quoi cette façon de s'adresser à nous, il nous a pris pour ses chiens ? Et puis, il est con ou quoi ? L'énergie est tellement forte ici que ça va être dur de louper la route. Bordel mais c'est qui ce gars ? Putain, encore un bourgeois qui se sent plus dès qu'il y a un peu d'action « Si vous voulez que tout se passe bien, je vous conseille d'arrêter immédiatement avec vos grands airs » Je m'approche de lui « Personne ne m'a jamais parlé comme ça et ce n'est pas aujourd'hui que ça commencera » Connard arrogant. Il va t'arriver des bricoles si tu continues à jouer au con avec moi. Je passe en le bousculant et j'en profite pour vérifier discrètement ses poches.

Que trouve-t-il ?:

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La météorite bleue [Mini-Intrigue / Groupe 3] Deface

Jean-Akira souriait toujours, certaines personnes diraient "bêtement" mais restons agréables, alors que les gens autour de lui prenaient à leur tour la parole. Ils semblaient tous s'étonner que le mot "météorite" ne lui soit pas particulièrement familier. Les protagonistes décident cependant de ne pas se concentrer là dessus, préférant apparemment parler du reste de la situation. Ignorer le type légèrement bizarre, pour à la place prendre en compte le reste de l'étrange. La force spéciale qui les ramène tous ici. Qui les pousse à agir comme il le font soudainement, à tous se balader dans Central Park. Et, accessoirement, à se reconnaître dans cette situation particulière. Si notre héros ne reconnaissait rien du tout, que ce soit au sujet de la météorite, ou de la situation, il se permettait tout de même de participer. C'est Strange qui lui répondit rapidement, décidant de récupérer elle-même les deux questions. Si la différence entre madame et mademoiselle était bien trop subtile pour entrer aussi facilement dans l'esprit de l'alien, il nota la suite, l'autorisation de l'appeler Clea. La politesse humaine est un autre élément que l'extraterrestre a du mal à cerner. Ça lui facilite la tâche lorsqu'on lui explique directement quoi faire.

La magicienne mentionne ensuite la météorite, à son tour. Quelque chose qui s'écrase. Jean-Akira essaya de retenir le plus de détails possible sur l'objet. Depuis son arrivée sur terre, le Héraut avait remarqué que les humains n'aiment pas particulièrement les questions à répétition. Expliquer plusieurs fois la même chose. Ça les irrite. Alors l'entité cosmique se contente la plupart du temps d’acquiescer, en tentant de comprendre par elle-même de quoi le reste du monde parle. Quand Tom commence à prendre la direction, Ivankov est trop occupé pour s'y opposer. Ça lui dit finalement quelque chose, cette histoire de "machin tombant du haut", pour reprendre ses pensées. L'agent a bien vu tomber un caillou il y a quelques jours. C'est seulement pour ça qu'ils sont tous si excités ? Faut croire qu'ils s'ennuient vraiment les terriens, si la moindre roche spatiale les intéresse. Malgré le peu d'importance qu'il donnait à la météorite, l'extraterrestre décida de continuer avec le groupe. Ça lui fait plaisir d'être intégré, même s'il faut suivre leur hobby ennuyeux.
« Est-ce moi ou vous vous retrouvez toujours dans des situations improbables, Monsieur Ivankov ? »
- Ouais, c'est génial, hein ? J'pense que c'est la planète, il m'arrive tout le jour des trucs bizarres ! J'comprends que tu vives ici, on s'y amuse vachement. Répondit notre protagoniste, un large sourire sur les lèvres, alors qu'il gambadait tranquillement aux côtés des autres. Heureux de pouvoir participer à ce moment, sans pour autant le comprendre. Essayant tout de même de participer, Jean-Akira regardait aux alentours, tentant de trouver un caillou, histoire de faire plaisir aux autres. Tu peux m'appeler JA, toi ajouta-t-il, avant de continuer un peu plus fort, en s'adressant au reste du groupe Vous aussi, c'est comme ça qu'on m'appelle en lieutenant, c'est plus rapide que le long.

Puis, alors que Ivankov terminait, le groupe s'arrêta soudainement. L'un des membres découvrit un couteau et posa une question fâcheuse. Les yeux de notre héros se tournèrent vers l’intéressé. La bouche continua dans son sourire, ne comprenant certainement pas la gravité de la situation. En même temps c'est une bouche, faut pas s'attendre à ce qu'elle soit plus maligne que le cerveau au dessus d'elle. La tension de la scène fut bousculée lorsque l'alien se baissa, ramassa un petit caillou et demanda
- C'est peut-être ça ? Il m'a pas l'air bien spatial comme caillou, mais on sait jamais.

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La météorite bleue

Clea observe avec attention l’homme en peignoir, plonge dans son esprit pour passer en revue sa journée afin de trouver la tenue qu’il portait un peu plus tôt. Ce n’est pas bien compliqué, c’est même très simple ! Le « Miss Strange » la fait toujours aussi rire. A ses débuts, lorsqu’elle venait juste d’arriver sur Terre, Clea avait également du mal avec toutes les formules de politesses que les humains peuvent employer et la subtilité entre le « madame » et le « miss/mademoiselle » était trop compliquée à comprendre au tout début.

« Ne vous en faites pas, vous ne perdrez pas votre bien si précieux. Dit Clea avec un petit sourire avant de transformer le peignoir de bain en des vêtements appropriés, laissant juste la serviette de bain sur ses cheveux. Ce n’est qu’une illusion, lorsque vous rentrerez chez vous, vous serez à nouveau dans votre peignoir. »

Le blond s’est approché du louche, celui dont Clea a sondé l’esprit pour y voir des pensées sombres… Trop sombres. Elle sait qu’il a emporté des couteaux avec lui et cela déplaît fortement à la sorcière qui, une fois que tout ceci sera terminé, compte bien l’arrêter elle-même. Après tout, il n’est qu’un mutant tandis qu’elle est une sorcière suprême ; l’immobiliser ne devrait pas trop poser de problème. Elle a ralenti l’allure, s’est mise à la hauteur de Jean-Akira pour discuter avec lui. C’est la seule personne ayant un visage connu parmi tous ces inconnus. Il a un air d’imbécile heureux, un sourire jusqu’aux oreilles qui fait rire la blonde. Il ressemble à un gosse surexcité d’être au cirque et c’est probablement un peu le cas.

« Est-ce moi ou vous vous retrouvez toujours dans des situations improbables, Monsieur Ivankov ?
-Ouais, c'est génial, hein ? J'pense que c'est la planète, il m'arrive tout le jour des trucs bizarres ! J'comprends que tu vives ici, on s'y amuse vachement.
-Ah ! C’est certain que cette dimension ne manque pas de distraction. Répond Clea avec un petit sourire amusé. Mais j’habite ici uniquement car c’est la dimension de mon époux ; sinon je ne suis même pas sûre que je serais venue sur Terre. »

Ou alors sous la coupe de Dormammu, qui sait ? Les yeux de Clea se posent à nouveau sur les deux hommes devant eux et elle hoche brièvement de la tête à l’intention de JA, donc, lorsque celui-ci lui parle. La sorcière n’a pas envie qu’une dispute éclate entre Tom et Aidan. Elle plisse ses paupières au moment où elle voit le blond tirer un des couteaux appartenant au type louche. Rapidement, Clea parcourt la distance qui les sépare et se retrouve à côté du grand blond. Ce n’est pas le moment que cela dégénère. Le petit groupe est entouré de monde mais personne ne semble réellement les remarquer ; plus ça va et plus Clea trouve cet endroit étrange. Par réflexe, elle vient poser une main contre son ventre rebondit et met une certaine distance de sécurité entre elle et Tom.

« Et si nous calmions le jeu ? De toute évidence, ce couteau ne devrait clairement se trouver dans l’une de vos poches, monsieur. Il est peut-être mieux que vous ne le récupériez pas ; je n’aime pas la présence d’armes. Elle se tourne vers Aidan. Et si vous le gardiez, Aidan ? En espérant qu’un voleur ne se fera pas aussi facilement voler. »

A côté d’eux, JA ramasse un caillou et la brandit avec presque fierté. Voilà Clea qui éclate de rire et qui lui fait presque oublier la présence de l’assassin. Oui, Jean-Akira est un imbécile mais il a au moins le mérite de détendre l’atmosphère et de faire rire tout le monde.

« Je ne suis pas certaine que ce soit le bon. »

Clea se tient les côtes, elle a du mal à reprendre son souffle. Cela fait longtemps qu’elle n’a pas ri à ce point, au point d’en avoir les larmes aux yeux. La blonde s’essuie les yeux, il lui faut reprendre son calme, son sérieux mais c’est tellement difficile avec JA qui a toujours sa tête d’idiot sans vraiment le vouloir, s’il faut. Au bout de plusieurs longues secondes, la sorcière finit par se calmer, respirer normalement puis regarde ses compagnons quand quelque chose vient titiller son instinct et sa magie. Elle regarde autour d’eux jusqu’à percevoir, plus loin, une lueur bleutée. Un peu celle que pourrait émettre la météorite. Le petit groupe s’en approche, et maintenant ?

Que se passe-t-il ?:

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La météorite bleue [Mini-Intrigue / Groupe 3] Deface

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La Météorite Bleue - Groupe 3

Le participant Clea Strange est entré en contact avec la météorite. À la suite de ce geste, le participant est instantanément téléporté sous les yeux de tous sur la Lune, dans la Zone Bleue. Vous avez bien lu, cette zone est respirable pour les êtres vivants, mais son paysage lunaire est sans équivoque. Le participant est donc isolé temporairement du reste du groupe, sans moyen de contacter les autres ou de revenir, puisque la météorite est demeurée sur Terre.

La météorite bleue

Peter • Jean-Akira Ivankov, Aidan Pàdraig, Tom Kelley, Clea Strange

Une illusion, c'était donc ce que proposait Madame Strange à Peter. Il y réfléchissait mais cela lui semblait être une bonne alternative à son peignoir même s'il serait toujours en peignoir et que ce peignoir ne serait pas vraiment absent de son corps. Peter semblait satisfait de la proposition faisant oui de la tête.

" Vous êtes très forte, ce sont les mêmes vêtements que je portais plus tôt dans la journée. Et pour la serviette sur ma tête, je la garde comme ça alors ? Je ne pourrais pas avoir un chapeau ou un truc dans le genre pour aller avec mes vêtements que j'ai au boulot ? Enfin, si vous pouvez bien entendu, je ne voudrais pas abuser de vos illusions sur ma personne. N'allez pas vous faire des idées à ce propos d'ailleurs. "

Oui, si on sortait la phrase de Peter de son contexte, cela pourrait être un peu bizarre, donc il avait précisé la chose l'air de rien évidemment. Ils avançaient donc en direction du cirque et de la météorite. Enfin, en théorie parce que personne ne l'avait trouvé et ce n'est pas le caillou que JA avait en main qui le ferait changer d'avis. Miss Strange avait été plus prompt que lui à dire à ce monsieur que ce n'était pas la bonne pierre qu'il avait entre les mains, mais ils se rapprochaient indéniablement du but, assurément, certainement même. D'ailleurs l'illusionniste magicienne blonde semblait être en vue de quelques choses après avoir éclater de rire durant de longues minutes suite à l'intervention de JA. C'est vrai qu'il était encore plus drôle que lui pour le coup, mais il ne s'était pas éclater la tête par terre à force de trop rire. Bref, il suivait la jeune femme, enfin, il la voyait jeune mais peut être que c'était une illusion, qu'elle était une vieille peau de vache, toute ridée, toute moche mais qu'elle donnait l'illusion d'avoir une jeune tout rayonnante pour illuminer les autres de sa belle beauté. Quelques choses dans ce goût là certainement, Peter ne saurait trop dire, mais comme il avait du respect pour elle, il ne lui demanderait pas, d'ailleurs, elle avait été trop prompte, tant est si bien qu'elle venait de disparaître. Encore un de ces tours de magie, un coup de " on me voit, on me voit plus, on me voit, on me voit plus " comme sait si bien le faire Chantal Lauby ? Comment ça, vous ne connaissez pas ? Vous devriez avoir honte franchement. La vidéo en spoiler pour les plus incultes, parce voilà, Peter aimait ce genre d'humour.

" Je crois que Madame Strange a disparue. Je ne la vois plus. Vous pensez que c'est un de ces tours de magies ou bien c'est autres chose ? C'est bizarre quand même, elle est venue par là, comme attirée par ... "

Et Peter ne continue pas sa phrase voyant la météorite bleutée. Oui, elle a du la toucher pour disparaître, mais pour aller où ? Il n'en savait rien du tout. Peut être que cela n'avait rien à voir.

" Elle a trouvée la météorite, regardez ! Qu'est ce qu'on fait maintenant ? Vous pensez que cette météorite a un pouvoir spécial ? JA, tu peux pas nous en dire plus ? Peut être qu'Edna sait de quoi il en retourne vu qu'elle semble tout savoir ? "

Qui était Edna ? Peter n'en savait rien, mais JA l'avait mentionnée plus tôt, alors peut être que c'était la petite voix dans la tête de cet homme, ou quelques choses d'autres ? Peter n'osait en tout cas, pas encore toucher la météorite, parce qu'il ne touche pas ce qu'il ne pense pas connaître.

Spoiler:

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La météorite bleue

Clea ξ Peter ξ Aidan ξ JA

Putain, ce mec se balade réellement avec un couteau sur lui ?! Non mais il se prend pour qui ? Il y a beaucoup de gens bizarres à New York mais lui, il bat des records. Je ne sais plus trop comment réagir. D'un côté, le ton qu'il emploie ne me plaît pas du tout et de l'autre, il se balade quand même avec un couteau de boucher sur lui. Alors, soit, le petit comptable mène une double-vie dans l'industrie de la viande soit, ce mec a de sérieux problèmes mentaux. Je n'ai pas le temps de réfléchir de la meilleure façon de réagir -qui aurait très certainement menée à une bagarre- que la jeune femme intervient « Et si nous calmions le jeu ? De toute évidence, ce couteau ne devrait clairement se trouver dans l’une de vos poches, monsieur. Il est peut-être mieux que vous ne le récupériez pas ; je n’aime pas la présence d’armes. Et si vous le gardiez, Aidan ? En espérant qu’un voleur ne se fera pas aussi facilement voler. » Quoi ?! Mais comment elle est au courant de tout ça « Excusez-moi, on se connaît ? Comment vous savez tout ça ? » Je reste bouche bée, comment est-ce qu'elle peut savoir ça ?! Je n'ai pourtant rien dit à propos de moi et je suis sûr de n'avoir jamais rencontré cette femme.

J'entends un éclat de voix qui provient de Mr. Ivankov « - C'est peut-être ça ? Il m'a pas l'air bien spatial comme caillou, mais on sait jamais. » Clea est prise de fou rire et je l'imite malgré moi. Le pauvre, il semble tellement sérieux et nous, on se moque. « Je ne suis pas certaine que ce soit le bon. » Je hoche la tête et je m'éloigne légèrement du groupe. Avec toute l'agitation qu'on crée, il n'y a personne pour se poser des questions ou pour nous toiser. Les gens présents ici n'en ont strictement rien à faire, à croire qu'on n'existe pas… Ou qu'ils n'existent pas ? Ayant quitter le groupe des yeux, je me retourne seulement à la voix du mec qui était arrivé ici en peignoir " Je crois que Madame Strange a disparue. Je ne la vois plus. Vous pensez que c'est un de ces tours de magies ou bien c'est autres chose ? C'est bizarre quand même, elle est venue par là, comme attirée par ... " Je regarde dans la direction qu'il semble montrer. La voilà ! Je n'écoute pas le reste de sa phrase, trop absorbé dans la contemplation de la météorite qui scintillent d'un bleu profond. " Elle a trouvée la météorite, regardez ! Qu'est ce qu'on fait maintenant ? Vous pensez que cette météorite a un pouvoir spécial ? JA, tu peux pas nous en dire plus ? Peut être qu'Edna sait de quoi il en retourne vu qu'elle semble tout savoir ? " « Personnellement, je ne suis pas venu jusqu'ici pour repartir les mains vides » Normalement, je devrais enfiler une paire de gants pour éviter de poser mes empreintes. Dommage, je ne les ai pas sur moi. Je ne devrais pas la toucher, je devrais faire attention, on ne sait pas de quoi elle est capable mais c'est plus fort que moi, mon instinct de voleur me pousse à l'effleurer du bout du doigt.

Intervention spéciale de Marvelous

La Météorite Bleue - Groupe 3

Le participant Aidan Pàdraig est entré en contact avec la météorite. À la suite de ce geste, le participant est instantanément téléporté sous les yeux de tous sur la Lune dans la Zone Bleue. Vous avez bien lu, cette zone est respirable pour les êtres vivants, mais son paysage lunaire est sans équivoque. Le participant rejoint donc Cléa Strange, apparaissant à quelques mètres d'elle. Il demeure toutefois isolé temporairement du reste du groupe, sans moyen de contacter les autres ou de revenir, puisque la météorite est demeurée sur Terre.

Dans la science-fiction, on a tendance à imaginer les créatures aliens semblables aux humains au niveau des émotions. L'amour, la haine, tout ces machins là sont représentés comme sur Terre. Pourtant la réalité est toute autre. Chaque galaxie, chaque système solaire, chaque planète, et chaque race qui la peuple a une façon différente de ressentir les choses. Certaines émotions n'existent pas, ou d'autres inconnues aux terriens sont extrêmement développées. Ainsi Jean-Akira n'avait une connaissance que théorique de l'émotion appelée dans notre société "la honte". Et le Héraut ne savait pas vraiment à quelle situation l'associer, ou quand il était de bon ton de la ressentir. Cela lui permettait de sourire joyeusement avec les autres alors que Clea et Aidan rigolaient de sa stupidité. D'un geste nonchalant il lança le caillou derrière son épaule, prêt à faire mieux la prochaine fois. Un tel comportement peut porter à réflexion, se demander si parfois un champ plus restreint d'émotions ne serait pas plus agréable à vivre. Beaucoup de scientifiques ont essayé d'atteindre un tel résultat à travers les années, leurs études se sont malheureusement toujours soldées par un génocide lorsque leurs créations -des êtres sans émotions- se sont rebellées.

Alors que notre protagoniste s'apprêtait à ramasser un nouveau morceau de rocher, l'optimisme naïf étant beaucoup plus développé dans sa galaxie d'origine, quelque chose attira son attention. Ou plutôt, rien n'attira son attention. L'absence du quelque chose censé être à ses côtés. Clea avait mystérieusement disparu, et son petit groupe s'en étonnait. Relativement. Peter File ne semblait pas particulièrement bousculé par le phénomène. Aidan Pàdraig s'intéressait plus à la météorite qu'à quoi que ce soit d'autre. Quand à Jean-Akira, bah, comme d'habitude, il ne comprenait pas et se contentait de sourire bêtement. Son expérience du surnaturel dictait une telle réaction. Dans ce type de situation étrange, il y a souvent deux conclusions possibles. Soit l'extraterrestre finit par obtenir une explication après maintes péripéties. Soit il n'apprend jamais la vérité et continu de vivre dans le mystère. Dans les deux cas, il suffit généralement de patienter. C'est aussi la dure réalité de la vie, par rapport à la fiction. Dans un film, les héros finissent toujours par découvrir les secrets. Ivankov lui a traversé des milliers d'expériences mystérieuses sans jamais en découvrir les aboutissants. Il aime vivre des choses incroyables, mais ne s'intéressent jamais aux raisons.

Ainsi, plutôt que de questionner les étranges pouvoirs de la météorite, d'essayer de comprendre l'attrait qu'ils avaient tous pour elle et exactement ce qu'elle était, l'agent de HYDRA se contenta de demander
- On la touche aussi ou on attend ? A Peter, la dernière personne présente, puisque le comptable androgyne s'était éloigné dans une autre direction. En voilà un qui ne devait pas avoir un instinct des plus développés et qui cherchait sans doute de la météorite à l'autre bout de Central Park. Non parce que imagine on la prend comme ça et L'alien fut malheureusement coupé au milieu de sa phrase. Dans un moment d'intelligence sarcastique, il ramassa effectivement la météorite afin d'illustrer ses propos. elle nous fait disparaître, et bah on sera bien... ah merde.

Si l'auteur ne peut en être certain, il supposa que la dernière phrase de son personnage fut entendue par la magicienne et le voleur plutôt que le mutant abandonné derrière.

Intervention spéciale de Marvelous

La Météorite Bleue - Groupe 3

Le participant Jean-Akira Ivankov est entré en contact avec la météorite. À la suite de ce geste, le participant est instantanément téléporté sous les yeux de tous sur la Lune dans la Zone Bleue. Vous avez bien lu, cette zone est respirable pour les êtres vivants, mais son paysage lunaire est sans équivoque. Le participant rejoint donc Cléa Strange et Aidan Pàdraig, apparaissant à quelques mètres d'eux. Il demeure toutefois isolé temporairement avec les autres, sans moyen de contacter le participant restant ou de revenir, puisque la météorite est demeurée sur Terre.

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