Parlons peu, parlons bien - Feat Archibald

Ma vie n'avait pas été toute rose, je peux vous le dire, mais bon, quand vous découvrez que vous êtes pour ainsi dire immortelle ou presque, on profite un peu de celle-ci pour faire tout et n'importe quoi, enfin, presque. J'avais fait d'horribles choses, et je vivais avec celles-ci depuis des années. La culpabilité n'était pas quelques choses qui me rongeait grandement, même si ces dernières années, j'étais clairement du côté du bien, puisque cela fait plus de vingt ans que je suis une X-Woman accomplie, et professeur d'histoire à l'Institut. Je pourrais vous raconter tellement de choses à mon sujet, mais beaucoup d'entre elles n'ont plus du tout d'intérêt ou presque, disons qu'il y a prescription ou presque. Les personnes se souviennent peut être de moi, je ne saurais dire, ce n'est pas sûr, mais ma mémoire est très bonne, il faut dire que l'histoire est là pour me rappeler tellement de choses à mon sujet, parce que oui, mon histoire fait partie de l'Histoire avec un grand H. Depuis la première guerre mondiale, et même avant, j'ai participé à tellement de choses dans le monde. C'est ainsi que je vais vous parler de l'année 1982, un certains 26 mars de cette année là. Je vous vois venir de loin, me disant qu'il ne s'est rien passé d'extraordinaire ce jour là, pourtant vous vous trompez largement. En effet, ce jour là est né un être humain, et pas n'importe lequel, un certains Archibald Horace James. Toujours rien ? Bon, tant pis, mais il s'avérera être l'un des plus gros QI que l'histoire n'a jamais enregistré. Pourtant, ce n'est pas un sixième sens qui a fait en sorte que je m'immisce dans la vie de ce petit bonhomme, non, non. A l'époque, j'étais une mercenaire, je n'avais pas tellement de bon profil, j'allais là où je le désirais, et on m'a dit de suivre ce bonhomme de très près. J'ai donc fait partie de ces infirmières à être là à sa naissance, puis, tout au long de sa vie, on peut me voir sur des photos de famille, comme un aimant, j'apparais dans l'ombre, ne vieillissant pas d'un iota d'année en année. Il m'est même arrivé de veiller sur lui pendant son sommeil alors que la menace planait au dessus de sa tête. Ce n'est pas tous les jours que l'on doit sauver un QI de 192. Ainsi, je l'ai sauvé une ou deux fois d'une potentielle morte sans qu'il ne le sache. Depuis, même si je ne suis plus cette mercenaire sans foi ni loi, je me suis attaché à ce bambin qui a bien grandi puisqu'il a maintenant la trentaine. Il me connait sans me connaître, il m'a déjà vu sur des photos, à de grandes réunions de famille mais nous ne nous sommes encore jamais parlé. Je sais qu'il pourrait être précieux pour bien des personnes, notamment des mal intentionnées. Alors, je vais tenter de lui faire comprendre que ce qui lui sert de cerveau pourrait faire plus de bonnes choses que de mauvaises même s'il en a peut être conscience. Nous sommes en train de nous promener dans le jardin botanique de New York lorsque nos chemins se croisent véritablement pour la première fois. Je regarde une belle fleur, il fait de même, la discussion va pouvoir commencer, mais j'attends de voir s'il fera le premier pas ou non.

Adosser contre le mur de ma cuisine, je regardais ses photos, elles avaient toutes un point commun, sans pour autant avoir de points sensiblement relier! Un visage, qui revenait tel une anomalie au fil des génération et pourtant, quelque chose clochait! Par exemple, sur une photo avec ma tante ou ma grand-mère, je les voies bien qu'elle sont d'âge mûre, mais encore plus mûre avec les années et avec le temps! Mais ce visage que je regarde, que je contemple fait simplement fixer le cadrage avec les même traits qui se répète, de photo en photo! Être rapide en dénouement de situation, je ne ferais que simplement apostropher cette thèse en dictant plus clairement que c'est un photomontage pour simplement ne pas montrer ride. Mais quelque chose me fait tiquer, même sur les photos de graduation, elle est parmi la galerie. Comme un rat qui se faufile discrètement entre les meubles pour arriver à ses fin et prendre un morceau de fromage. Je caresse ma tasse de thé du bout de mes doigts en cherchant une thèse pausible, logique, qui tiens la route et où je n'ai pas tellement l'air plus imbécile que je me l'était exposer quand personne ne m'avait cru sur mes théorie face à la mutation et la génétique.

Soulevant les yeux vers la tablette qui est poser sur le comptoir, je m'y dirige rapidement en déposant ma tasse sur la table. D'un geste concentrer, j'attrape ma tablette et je me mets à la recherche via les serveurs du gouvernement ou même du SHIELD pour savoir si je peux avoir un accès plus centrale sur cette femme. Qu'elle ai une mutation pour tromper ma vigilance, je lui accorde, qu'elle ai voulût me suivre au fil de mon histoire et de ma vie, j'y crois aussi. Mais qu'elle cache qui elle à toujours été j'ai beaucoup de difficultés à avaler ce genre de salade. Wolverine à aussi ce genre de cochonnerie et il n'est pas venus me traquer à ma porte en me menaçant de me tuer pour autant! Cette femme veux quelque chose chez moi que je saurai avant même qu'elle ne bouge le moindre petit doigt! Je laisse le pilote de reconnaissance entre les mains de XEM, mon logiciel intelligent souvent comparer à JARVIS ou FRIDAY et je vais me doucher! Aujourd'hui est un jour de chasse, un jour de gloire et un jour victorieux! Je vais traquer une mutante, comme les mutants traque si facilement les humains, les mortels ou même d'autre mutant.

Évidemment si j'aurais une machinerie comme Stark, j'aurais été trois fois plus loin. Je fais en vitesse ma toilette, évitent de me coiffer convenablement ou de vérifier si mes vêtement sont cohérent, attrapant tout ce dont j'ai besoin pour commencer la journée. Le logiciel me fait signe que la recherche est complète par un petit son, je marche donc lentement vers ma tablette et je regarde les renseignements fournis par un résumer de ce que le SHIELD et le gouvernement on déjà tout deux triés à son sujet. À ma grande surprise, elle est effectivement mutante, mais beaucoup plus évoluer que je ne l'aurais cru, classer niveau 5, elle est quelque chose dont je dois me méfier ne sachant pas si elle peut être la cause de la mort de mes parents. Je lis à son sujet évidemment que son âge est inconnus ou manquante, qu'elle enseigne à l'institut du fameux Charles et enfin quelques trait particulier au sujet du caractère ou de l'historique. Je dépose la tablette lentement encore moins rassurer, le questionnement me traverse doucement la tête à savoir pourquoi une mutante me traque et ne m'a pas glisser entre les doigt pour attirer mon attention avant aujourd'hui. Les indices sont claires, présent et très complet, donc comment ai-je pût bien manquer autant de logique pour passer à côté. J'ai beau réfléchir, il n'y à qu'une seule place où mes idées deviennent lucide et vont à prendre tout leur sens et c'est le botanical garden, situer près du Bronx! Quiconque me connais assez bien, sait que je vais faire mes réflexion là-bas et qui sait peut-être que l'intrus de ma vie s'y trouveras!

Je soulève lentement une pile de journal qui recouvre une boîte noir et j'en sors doucement un fusil que j'ai moi-même conçus! Si  moindrement ce mutant veux me tuer, je lui tire une balle contenant un jet d'acide à l'intérieur! Baser sur la morphologie de Wolverine, cette acide à pour effet de rester dans le sang, déchirant tissus, muscle et de faire un bon lot de dégât pour donner à son adversaire une bonne dose de douleur et laisser le temps à Archi de foutre le camps. Je prends deux balles que j'enfonce dans ma poche et le pistolet derrière mon pantalon avec ma veste surmonter. Comme je l'ai dit, je n'ai pas l'intention de m'en servir, mais si je devais, ce serait sans regret. Attrapant donc les clefs de la maison, je verrouille le tout avec mes 8 serrures à combinaison variable et je décide d'y aller à pied. En route la température est magnifique malgré la saison, ce qui fait un peu ironique. Les gens à ce temps-ci de l'année sont déjà festif et même certains se laisse rapidement emporter par l'occasion. Pour Archi, c'était le mois du décès de ses parents, alors il évitait quand même de trop en parler et de trop célébrer. De toute manière, la marche ne fût pas de très longue durée, puisqu'il arriva dans le Garden en marchant à l'intérieur de manière silencieuse et très rapide.

Je regarde les fleurs, je me met à songer et mon cerveau se met en fuse pour avoir encore plus d'idée. Un flux impossible d'information se promène, lorsque tout s'arrête, Elle est là. Devant moi. À quelques pas. Mains derrière le dos, évidemment je paraît plus que normal, bien que ma mais gauche tiens doucement le fusil et ma mains droite est appuyer. Personne ne se doute jusqu'ici que je tiens l'arme, mais elle est là. Chargée et dans ma mains. Pourquoi je ne tire pas, parce que je suis curieux de savoir si cette fois elle va m'adresser la parole où je vais devoir le faire...

J'attends de voir s'il va faire le premier pas, j'attends de voir. Du coup, je l'observe, un peu, très attentivement plutôt. Je vois bien qu'il a mis sa main dans le dos. Tiendrait-il une arme par hasard ? Je ne sais pas, cela me semble tout à fait possible. Je l'observe, il m'observe, et à son regard, je sais qu'il m'a reconnu, enfin, qu'il me connait sans véritablement me connaître. Peut être qu'il s'est amusé à faire des recherches sur moi, peut être qu'il a remarqué que j'étais sur un nombre très important de photos lui appartenant, comme un fantôme dans sa vie. Mais je ne lui veux aucun mal, absolument aucun, c'est même tout le contraire. Je sais qu'il a déjà été sollicité par bien des personnes depuis quelques années, il faut dire que c'est un inventeur de génie. Je voulais simplement lui faire comprendre que son potentiel ne devait pas servir les mauvaises personnes. J'avais été là au début pour ce genre de raisons, mais aujourd'hui, j'étais plus comme une sorte d'ange gardien dont il ne connaissait que vaguement l'existence, à travers quelques photos tout au long de sa vie. Je savais qu'il venait souvent ici au jardin botanique de la ville, c'est ici qu'il aime réfléchir à sa vie, et s'il n'y avait pas de jardin à l'Institut, je dois avouer que je viendrais sans doute encore plus souvent dans ce lieu remplis de monde mais final si paisible. Je n'ai pas un QI si élevé que le sien, loin de là, même si je ne donne pas ma part aux chiens évidemment mais je crois que je lui ressemble un peu. J'aime ma solitude, j'aime être parfois solitaire, c'est ce que j'ai été durant de si nombreuses années, mais j'aime aussi le travail en équipe avec mes collègues les X-Men. Bien entendu, je ne fais pas partie de l'escouade star, de celle que tout le monde connait, mais je suis un rouage de l'Institut, comme un certain nombre de mutants qui apprennent aux plus jeunes à faire en sorte d'appréhender au mieux leur mutation. Selon la mutation qu'ils possèdent, ce n'est pas toujours une mince affaire, mais au moins à l'Institut, ils sont bien encadrés. Je suis professeur d'histoire, mais si un collègue à besoin de moi je réponds très souvent présente, en combat ou en chimie par exemple, c'est toujours un plaisir d'aider. Bref, je n'étais pas à l'Institut ou dans une simulation quelconque de combat, mais auprès d'Archibald Horace James. Le moment est venue de lui parler.

" Bonjour Archibald. Est ce que l'on peut parler quelques instants ? "

Je lui souris simplement et lui montre le banc juste à côté pour que nous puissions parler. Il serait louche qu'il tienne encore ces mains derrière lui, alors j'espère que cette approche simple arrivera à le convaincre que je ne lui veux aucun mal. Il sait qui je suis, que si j'avais déjà voulu attenter à sa vie, que j'aurais déjà agit, n'est ce pas ? S'il faut le convaincre, j'ai de quoi faire, surtout que je n'ai pas été là à certains moments cruciaux, malheureusement pour lui.

Caressant de mes doigts l'arme, ce contact est si fort et présent, que mon coeur se serre dans ma poitrine! Suis-je réellement en trains de faire une attaque cardiaque? Ma pulsion est pourtant bonne et ma rythmique régulière. Toutefois ce visage hante chaque parcelle de mémoire que j'ai et ce du plus loin que je peux me souvenir! À mon mariage elle était assied dans la salle, à mon divorce à l'extérieur du bâtiment, ensuite lorsque j'ai chuter dans les alcools dur et la drogue... Toujours ce même visage qui rebondit. J'hésite sincèrement à lui tirer dessus, sincèrement, après le nombre de mutant qui ont déjà tenter de me faire taire, les organisations qui ont démolis quelques unes de mes demeures et la cerise sur le gâteau, se réveiller au beau milieu de la nuit et avoir un gigantesque homme de pierre qui veut vous botter le cul dans votre maison!

Toutefois malgré ce stress j'ai ce petit déclic qui raisonne dans ma tête que si je la tue, maintenant et surtout ici. Je ne saurais jamais pourquoi elle aussi m'a traquer, je ne saurais pas si j'ai tirer trop rapidement et inutilement! Dieu sait que vus sa mutation je ne pourrai pas la tuer de toute manière, mais lui faire grand dommage. Soupirant nerveusement, j'écoute sa voix cristalline qui me demande gentiment de prendre place à un banc. Il s'agit d'une nouvelle technique de torture moderne? Elle m'envoute peut-être? Pourtant je n'en ressens pas les effets et mes idées sont parfaitement clair. Je soupire d'un trait en présentant un sourire en coin comme une proie qui sait qui vient d'être bêtement piégée avant de relâcher mon arme pour faire plus discret, m'avançant lentement vers le dit banc, les deux mains en avant, poster comme un de ses gardes de sécurité.

Cette voix aussi m'a résonner dans la tête et malgré que je n'en donne pas l'impression, ma tête farfouille chaque recoin, chaque souvenir ou même chaque morceau que je puisse avoir qui pourrait contenir ne serai-ce qu'une seule information à son sujet! Peut-être est-elle simplement mutante de même famille et n'a jamais réellement voulût du mal. Il est difficile à concevoir la moindre idée à ce moment précis. M'avançant donc lentement, j'observe autour et honnêtement j'hésite à m'asseoir. Je regarde doucement le rosier situer juste à la droite du banc en soupirant et m'approche des fleurs en marchant lentement pour contourner le banc, attrapant une rose entre mes doigts et réfléchissant à une solution. Plusieurs plan farfouille ma tête, mais la solution la plus logique reste ni plus ni moins de simplement l'écouter pour le moment. Je glisse donc ma mains dans ma poche en faisant mine de fouiller, alors qu'en réalité j'active XEM qu'il enregistre notre conversation et pour éviter les soupçons je sors un chiffon histoire de m'essuyer les doigts m'avançant lentement vers le banc.

Je racle ma gorge, observe rapidement autour de moi et je m'assied lentement près d'elle. Tout est programmer pour ma survie, pour entrevoir le moindre geste mutant offensif. XEM analyse le ton de ma voix et celle de mon opposante pour contacter les 10 district d'unité policière les plus près en cas de moindre soucis, mais pour le moment, laissons le talent parler de lui-même. Je soupire en retirant lentement mes lunettes que je plies délicatement pour ranger dans ma poche droite, car oui je sais très bien voir sans elle. Entrecroisant mes doigts et regardant devant moi pour éviter son regard j'ouvre enfin la conversation d'une manière un peu orthodoxe.

-Mademoiselle Sirius, je crois qu'il est inutile de faire les présentation, ce serait une vraie perte de temps. Vous saviez la raison très exacte pour laquelle je serais ici aujourd'hui comme vous avez été un fantôme dans mon parcours de vie. Inutile d'avoir un Q.I élever pour répondre à la question essentielle qu'est la suivante. Qui... Êtes vous... Réellement.

Glissant mes mains sur mes genoux je tourne le regard un peu plus brutalement sur elle. Honnêtement je commençais à en avoir réellement assez de ce jeu, je l'avais traquer pour quelques heure, imaginant une chasse à l'homme alors qu'au final ça avait été assez banale. Elle était là devant moi à simplement me regarder comme-ci je ne représentait ni plus ni moins qu'un vulgaire morceau à un puzzle. À quoi avait-elle envie de jouer, pourquoi cherchait-elle à me rendre intérieurement contre mon gré. Attendons de voir ce qu'elle même pourrait dire sur sa défense, mais soyons surtout prêt à faire face à toute sorte d'explication irrationnelle. Peut-être qu'elle pourrait même avoir un lien avec le divorce que j'ai subit et elle aurait engager l'amant qu'elle se tapait! Peut-être qu'elle peut très bien aussi changer de forme, comment le dire ou même comment le savoir!

Je ne sais pas de quoi est faite l'arme qu'il possède, mais si j'ai une très bonne faculté de récupération, je ne sais pas si elle n'a pas été faite pour des personnes comme moi justement. Il est largement assez intelligent pour avoir conçu ce genre de jouet même si au final, cela ne me paralyserait que durant quelques secondes, quelques minutes peut être, je ne saurais dire. Nous ne nous sommes encore jamais réellement rencontré, je ne l'ai encore jamais confronté, mais avec les événements qui se prépare, le temps est enfin venu pour que nous nous parlions de vive voix. Disons que je lui dois quelques explications, si l'on peut dire cela de cette façon bien entendu, parce que je ne doute pas qu'il sache déjà des choses à mon propos. Bien entendu, il y a des fichiers sur moi, le SHIELD doit avoir un beau dossier sur moi, peut être incomplet, je n'en sais rien, je m'en fiche un peu à vrai dire, ce n'est pas une priorité. S'il a fouillé un peu, suffisamment, il sait que j'enseigne à l'Institut Charles Xavier depuis déjà un petit bout de temps. Il doit se douter de mes capacités, du moins que je suis une mutante, mais contrairement à beaucoup de personnes, je ne veux que son bien, je ne lui veux pas de mal contrairement à ce qu'il pourrait croire, parce que je sais qu'il le pense. Il faut dire qu'avec tout ce qui a pu lui tombé la tête, je peux comprendre qu'il soit devenu un peu paranoïaque, voyant le mal absolument partout. Il n'y a qu'à voir sa porte et ces multiples serrures. A moins d'être un passe-muraille, il sera difficile de rentrer chez lui, par la porte en tout cas. En tout cas, je le salue et l'invite simplement à s'asseoir pour une petite discussion. Comme je le pensais, il enlève ces mains de son arme pour s'avancer en direction du banc pour que nous puissions nous asseoir. Je ne veux rien d'autres que parler un peu avec lui, mais dans un premier temps, je vais le laisser diriger la discussion, parce que finalement, j'aurais tellement de choses à lui dire. J'ai été là durant presque chaque moment cruciaux de sa vie ou presque. Je n'en ai pas raté beaucoup, le seul que j'ai raté était cependant peut être l'un des plus important, mais on m'a sans doute écartée de façon bien volontaire afin que l'œuvre se fasse. Il s'avance vers le banc, prenant une rose au passage comme si celle-ci pouvait lui donner du courage, à moins que ce ne soit qu'un prétexte pour trifouiller ces poches afin de pouvoir enregistrer cette conversation. Oui, je le connais bien plus qu'il ne voudrait le croire. De là à dire que je connais tout de lui serait une erreur, mais je sais de quoi il est capable, des inventions qu'il a pu faire, de ce qu'il porte régulièrement sur lui. Il a du mettre en marche son téléphone portable ou quelques choses dans le genre pour que ma voix soit immortalisée à jamais. Il range ces lunettes, parce qu'il n'en a pas vraiment besoin, puis il ouvre enfin la bouche pour me parler alors que je viens de m'asseoir à ces côtés. Je ne pensais qu'il aurait autant à me dire dès le départ, mais je ne suis pas surprise de ces propos. Il me connait, je le connais, bref, nous nous connaissons. Il veut cependant savoir qui je suis réellement ce qui me fait sourire. Même s'il me connait un peu, je reste un fantôme, quelqu'un qu'il a souvent vu sans véritablement le voir.

" Vous avez raison, je crois qu'il ne sert à rien de faire les présentations. Je suis votre ange gardien Archibald. Depuis votre naissance je veille sur vous pour que vous puissiez vivre. Vous savez que vous avez encore de grandes choses à accomplir dans ce monde. "

Le ton de ma voix était assez monocorde mais agréable ne reflétant aucune animosité envers lui, mais restant bien mystérieux toutefois. Je lui avais donné une réponse, une partie de la réponse, mais sans doute que celle-ci apporterait son lot de nouvelles questions. Moi-même, je ne savais pas tout, disons qu'à l'époque, je n'étais pas très regardante sur les raisons qui me poussaient à être son garde du corps. Je tenterais cependant de lui donner autant de réponses que possible.

J'aurais bien voulût retrouver son identité, mais je devais me rendre à l'évidence que cette femme n'était pas l'oeuvre de quelque chose d'humain. Plus je réfléchissais, plus les morceaux commençait à se mettre en place et plus je paniquais. Évidemment, elle prit à son tour la parole avec une voix qui se faisait des plus rassurante, mais je pouvais deviner une ficelle de nervosité, car elle n'était pas stupide si elle me connaissais et me savais bel et bien armer. XEM vibra deux léger coup contre ma cuisse pour me prévenir que je m'énervais, ce qui avait pour risque d'enclencher le protocole de défense, je prit donc un grand respire en fixant son regard et je me mit lentement à réfléchir à ce qu'elle m'avait dicter, chaque mot n'avait aucun sens. Elle employait les mot veiller et ange gardien alors que ses dernières années j'ai vécut un merdier incroyable! Pourrait-elle même comme je le soupçonne depuis le début être la cause à tout ce qui m'est arriver? Réellement?

La puissance d'une mutante contre toute une vie d'accomplie? Qu'es-ce qui ne garantit justement pas qu'elle soit de HYDRA ou même agent double, triple ! Encore si ce n'aurait été que ses mots, il fallait qu'elle en rajoute une couche, je devrais savoir que j'ai de grande chose à accomplir... Sérieusement? Elle parle réellement ? Sans conviction à tout savoir ce que j'ai de bon, alors que j'ai eu tord sur une ligne de mon existence dont je tente de me remettre depuis plus de 3 années déjà! Soupirant doucement, je relâche un petit rire nerveux en glissant mes deux mains contre mon visage et je me mets à regarder le ciel pour me calmer. Si elle cherche à jouer sur mes sentiment, elle tiens entre ses doigts minutieux la bonne corde et elle sait ce qu'elle fait!

Je le sens en elle, mais je ne sais pas ce que ça lui donnerait vus que nous ne sommes pas du même monde! Glissant lentement mes deux mains vers mon visage en soupirant, je les remonte dans mes cheveux en fixant devant moi pour trouver une clef à tout ce chef d'oeuvre qui sort de ma logique. Oui je connais quel genre de logique elle utilise pour m'enflammer, mais je ne peux me retenir, cela fait beaucoup trop d'année depuis mon ex-femme que je retiens cette rage intérieur au fond de moi-même. XEM ressens de la poche tout ce qui arrive et enclenche la phase deux pour me calmer, me larguant de micro pulsion dans la jambe, ce qui me sors de mes réflexion profonde. Je me tourne donc d'un trait vers la femme en observant ses yeux au plus profonds de ceux-ci en raclant ma gorge.

-Les lieux ont été vider avant que j'arrive et il faut un minimum de quinze minutes au garde de sécurité avec une course maintenue pour arriver sur les lieux et voir qu'il s'est produit quelque chose, ce qui me laisse largement le temps de m'enfuir. Les réponses comme celle que vous venez de me fournir sont une mauvaise tentative pour me prendre à ce genre de jeux...

Je tire lentement un sourire sur mes lèvres, suis-je en trains de bluffer ou de sincèrement menacer un mutant qui pourrait sincèrement faire qu'une seule boucher de moi, seul un vrais aurait bien pût deviner! Si réellement elle me connaissait, elle saurait que ce petit jeux pouvait soit m'amuser à participer et l'envouter aussi de menace ou bien réellement me mettre à rude épreuve et lui éclater les organes internes sur place, achevant en elle tout signe de vie ou même toute parcelle de vie. Je garde donc le sourire en ne quittant pas son regard et approchant lentement mon visage du siens je reprend en relâchant mon sourire.

-Vous venez de perdre une chance... Il vous en reste donc deux comme je suis charitable et que noël approche. Si vous doutez que je ne suis pas armer, je sème vos doutes, ce sera donc à vous d'en découvrir de quelle manière. Jouons donc ce jeu d'une manière différente, mademoiselle Sirius...

J'attrape de mon pantalon lentement l'arme que je glisse doucement contre sa cuisse, histoire qu'elle ressente bel et bien la présence du canon qui est charger et prêt à être utiliser. Si réellement elle veux un bien, elle saura se défendre, si elle veux du mal comme tout mutant, elle n'hésitera pas à avoir se réflexe de proie coincer par son prédateur. Évidemment, tel que je le mentionne, si elle connait mes habitudes, m'a vus grandir, elle sait si je ment ou si je suis assez fou pour attaquer la mutante assise à coté de moi, sachant que j'ai déjà eu des visites disons le pour le moins courtoise. Je glousse doucement un rire. Machiavélique? Non simplement nerveux, tout ceci m'est complètement nouveau et j'adore être sur le dessus d'une mutante! C'est un peu comme être cette souris qui arrive à surprendre le lions, croyant qu'il tient entre ses pattes son petit déjeune, alors qu'il s'apprête à peut-être bien se faire jouer le tour de sa vie. Ce ne sera que lui seul qui saura le dire.

-Recommençons donc ce petit jeu du début. Une ange qui veille sur moi depuis ma naissance ou encore toute forme de sécurité dans mon tracer de vie, ne m'aurait pas laisser stupidement rencontrer mon ex-femme. Vous savez cette blonde qui m'a bêtement tromper alors que je croyais vivre la vie parfaite? Cette petite idiote qui m'a dérober une partie de ma fortune, obliger à vendre maison et encore presque forcer à être à la rue?

Il renifle doucement en fixant ses yeux souriant doucement.

-Non évidemment, vous savez déjà tout ceci... Comme le décès de mes parents, qui m'ont longtemps aimer et appuyer. À moins que vous ne les ayez tuer? Ce serait très intéressant d'entendre ce que vous avez à dire à ses deux sujets. Mentir vous coûterait un point sur les deux qu'il vous reste et qui sait, peut-être je serait capable de vous croire.

Il caresse la gâchette, n'hésitant pas à tirer si il le faut, mais il la regarde et ne peux quitter ses yeux.

-Si vous pensez que cette charge ne vous tuera pas... Vous avez raison. Toutefois je peux dire que Wolverine lui-même ne souhaiterait pas la douleur qui pourrait vous être infliger si vous pensez à même bouger ne serai-ce que le moindre orteil... Mademoiselle Sirius. Je vais donc reposez ma question.

Il met encore un peu plus de pression sur la cuisse en étirant des traits expressif qu'il commence à avoir son lot de patience qui se vide.

-Qui êtes vous... RÉELLEMENT ! Et sans mentir cette fois!

Il allait espérer qu'un mensonge ne sorte pas de cette bouche, histoire d'aller plus loin dans cette conversation.

Je me doutais bien que cette réponse ne lui conviendrait pas, c'était même d'une logique implacable pour ce cher Horace. Mais je ne lui avais pourtant pas menti, loin de là même, j'étais en quelques sortes son ange gardien, du moins, je l'avais été durant un temps avant de tirer un trait sur mes activités de mercenaire. J'avais cependant continuée à le voir, un peu, de temps en temps, sans prendre la peine de lui parler, pour continuer d'être le parfait fantôme que j'avais été jusque là, mais il fallait bien une petite confrontation à présent. Peut être que ce serait l'unique que nous aurions d'ailleurs, parce que je savais bien que monsieur était un peu trop paranoïaque, suspicieux. J'aurais pu agir autrement vis à vis de lui, en parlant dès qu'il aurait été en âge de comprendre, mais on m'avait bien dit que je ne devais pas influencer sa vie, qu'il devait agir comme il le désirait afin de faire du mal ou du bien à quiconque se servirait de son intellect. Il devait faire ces propres choix, et il les avait fait, plus ou moins évidemment, parce que dernièrement, j'avais cru comprendre que sa vie n'était pas aussi belle qu'il l'aurait espéré, mais voilà, même s'il n'a rien de mutant, son QI est a lui seul une arme plus grande que n'importe quelle mutation. Je le savais, et même si je pouvais me régénérer à volonté, peut être pourrait-il trouver le moyen d'inverser le processus, allez savoir. En tout cas, même si je le connaissais, cette première réponse, véridique mais trop évasive devrait le mettre sur la défensive, un peu, voire même énormément, mais ça restait Archibald, alors il se devait de comprendre que je n'étais vraiment pas cette menace qu'il craignait depuis quelques temps à présent. Il choisit alors de me regarder dans les yeux, d'affronter ce regard qui est le mien et de parler, beaucoup, plus que je ne le pensais. Mais plus il parle, plus il me donne ce que je désire sans qu'il ne s'en rende véritablement compte. Je le laisse donc parler sans détourner le regard de sa personne. Il me menace, du moins, il essaye de le faire. Je sais qu'il en est capable, qu'il possède de telles ressources. Pourtant, si je voulais le tuer, il me faudrait largement moins de 15 minutes, quelques secondes sont suffisantes pour que j'appuie là où ça fait mal. J'ai plus d'un siècle d'existence, alors je sais ce que je peux faire pour lui donner toute envie de rébellion. Mais disons que cette menace est une sorte de close implicite à ce que je veux lui faire comprendre. Ma réponse ne lui convenait donc pas, sans surprise. Intelligent, mais finalement pas si imprévisible que cela, du moins pour le moment. Il faut dire que je sais comment il fonctionne, mais devant le fantôme de votre vie, il se pourrait qu'il puisse avoir des réactions moins prévisibles, ce qui ne faisait qu'augmenter le plaisir de cette conversation. Pour lui, nous étions donc en train de jouer à un petit jeu. Dans le fond, il n'avait pas tellement tord, on pouvait assimiler cela à un jeu évidemment, mais c'était quand même bien plus compliqué que cela. Il y avait des variables qu'il ignorait de façon totale et absolue, à n'en pas douter. Mais je ne dis rien, je le laisse sortir son arme si cela l'amuse, elle ne me fait pas peur, c'est un jouet de sa création apparemment, visuellement, elle est différente de ce que je connais. Je me demande ce qu'il a fait avec mais sans doute me donnera-t-il bientôt la réponse. Quand on a un QI comme le sien, il est difficile de retenir de se vanter sur les prouesses techniques que l'on a réussi à mettre en œuvre. Monsieur James n'échappe donc pas à cette règle, j'en suis persuadée. En tout cas, il retoque ma réponse. Si j'avais été son véritable ange gardien, j'aurais fait en sorte qu'il ne rencontre pas son ex-femme. Je ne peux retenir un sourire à cette réplique, il allait évidemment me mettre cela sur le dos, c'était logique. Puis il sort l'argument qui devrait m'être fatal, celui de la mort de ces parents. Je n'y suis pour rien, je vous le jure, mais je sens qu'il va avoir du mal à me croire comme si ma réponse ne serait quoiqu'il arrive pas satisfaisante. Elle ne le serait probablement pas, mais cela n'avait pas d'importance, je devais avant tout lui faire passer un message important. Puis, il finit par me parler de son petit jouet qu'il caressait de ces mains. On aurait dit que c'était une belle femme, si je n'avais pas fixer son regard tout du long, je pourrais sans doute voir une petite bosse au niveau de son entrejambe tellement il trouverait ça jouissif de me tirer dessus avec son pistolet à eau. Il n'avait pas fait les choses à moitié avec cet engin, Wolverine, rien que ça. J'étais faite du même bois que mon collègue X-Men, immortelle ou presque si l'on peut dire, capable d'une régénération presque instantanée. Pour le coup, je ne saurais dire s'il bluffait vraiment, mais je le prenais au sérieux. Il me reposa alors cette question afin d'en savoir plus sur moi, mais avant de répondre à cette question, j'allais me montrer courtoise et polie afin de répondre de son divorce et de la mort de ces parents.

" Je suis désolé à propos de votre divorce avec Rose Every. Elle m'avait parue fort charmante pourtant, mais pas assez pour vous. Vous méritez véritablement mieux qu'elle, ça ne fait aucun doute. Les aléas de la vie ne sont pas tous de mon ressort malheureusement. Je suis loin d'être omnisciente, et cette chose là n'était pas si prévisible que ça. Toutes mes condoléances pour vos parents, j'ai appris cela récemment. J'aurais aimé être là pour les sauver, mais cela n'a pas été le cas. J'étais ici même à New York en train de donner un cours d'histoire aux élèves de l'Institut. Je ne sais pas qui a fait ça, mais j'aimerais bien le découvrir croyez-moi. Personne n'est parfait malheureusement, nous sommes humains, nous faisons des erreurs, nous avons des manquements parfois. En tout cas, je ne suis pas l'ennemi Archibald. Si je ne suis pas à proprement dit un ange gardien venu du ciel, je vous ai tiré de certains mauvais pas. Votre vie a été menacée, plus d'une fois, votre QI est quelques choses de plus envié encore que certaines mutations. Je sais que vous prenez de nombreuses précautions pour votre vie, mais en vous mettant à nous décrier sur votre blog, vous vous mettez en danger plus que vous ne le pensez. "

Ma tirade était plutôt longue, mais tout à fait sincère. Je n'avais pas de mimique particulière, me montrant telle que j'étais au quotidien, lui montrant qu'il pouvait me croire, mais qu'il n'était pas obligé de le faire. Je savais très bien que depuis son divorce, il avait du mal à faire confiance aux femmes, qu'il en avait limite peur ce qui me faisait sourire en temps normal. Mais là, avec son blog, ces vidéos, il se mettait en danger, et si le Shield l'avait dans le collimateur, il y avait bien d'autres personnes qui ne l'appréciaient pas du tout. Moi, au contraire, j'admirais son courage, parce que même s'il était riche, et assez connu, il faut l'avouer, je n'aurais peut être pas le courage de dire ce qu'il disait, mais de toute évidence, nous ne sommes pas égaux devant ce genre d'affaires.

La tension est palpable dans l'air et je ressens que l'ambiance devient plus lourde, sans compter le fait que j'ai envie de lui tirer dessus, ce qui n'augmente pas mes chances! Ses mots reste glacer tels la confiance qui règne dans sa voix et pourtant j'ai l'impression que je devrais faire quelque chose pour la faire parler encore plus, que je ne l'intimide pas du tout et qu'elle voit cette arme comme un vulgaire jouet! Pourtant ce pistolet n'est pas une nouvelle innovation! Nos regards sont perdus l'un dans l'autre et je dois dire que c'est excitant de vivre un moment pareil avec des étincelles de mystère! Moi-même j'ignore ce que je vais faire d'elle ou ce qui va se passer, mais je sais que j'ai envie de retirer mon arme avant de faire une bêtise.

Pourtant sa mains tenant l'arme est en parfait contrôle de la situation, ce qui est chose anormale vus son taux de stress, mais il connaît l'expression qui est reflétée dans le visage de la jeune femme et il le sait parfaitement bien qu'elle ne bronchera pas! Une petite entraînée à souffrir ou peut-être du stéréotype bagarreuse qui n'a pas peur de se salir les mains et qui est prête à tenter le coup pour obtenir ce qu'elle veut. Je ne dois pas céder à son jeu mental du plus fort et je réfléchis à une astuce qu'elle n'a sûrement pas prévue entre ses deux oreilles, malgré sa connaissance de l'histoire! J'écoute ses paroles et je bois dans ses mots qu'elle prononce en visualisant facilement que cette fois on touche le côté véridique des informations!

Elle à prononcer le nom de Rose, ma mains dans un réflexe sers doucement l'arme contre sa cuisse en me mordant la lèvre. Des mots d'insulte et de rage brûle mes lèvres et j'ai envie de continuer de la détester pour tout le mal qu'elle m'a faîte celle-là. Si je pouvais m'écrouler contre le sol je le ferais tant les mots du simple fait de parler d'elle sont encore lourd. Elle ose me dire que je mérite mieux. C'est elle qui est supposer être mieux dans cette histoire? Elle aurait pût me montrer un chemin, une voix, une parcelle d'indice que je puisse deviner qu'elle était pour me faire cogner un mur si solide que je me serais écrouler sous le divorce!

Ça aurait été la moindre des choses, mais elle à raison. Certaine décision sont hors de son ressort, il faut lui laisser crédit à ses mots. Enfin elle laisse sortir quelques paroles ici et là avant de me faire comprendre qu'elle n'est pas l'ennemie! Qu'es-ce que j'en sais mois si elle ne l'es pas ou non. Je pourrais lui dire que je ne suis pas celui qu'elle croit et ça serait du même barème de crédibilité! Voilà donc de quoi il est question, mon Q.I. et mon blog! Une autre mutante qui cherche à éliminer mes opinions publiques. À ses paroles je ricane doucement en déviant le regard légèrement vers le sol et de ma mains libre, je la glisse dans mes cheveux en boucles, soupirant un grand coup avant de me racler la gorge. Je fait signe de non de la tête avec une mine découragée...

-C'est donc ça qui vous ennuie... Le fait que je sois encore sur internet pour démocratiser publiquement les plans dissimuler du SHIELD ou encore des X-MEN? Soyons francs jeux vous et moi, l'histoire d'avoir tenus ce pavillon top secret aussi longtemps ne vous à pas rendus pour autant plus ou moins apprécier! Ils ont déjà envoyer des équipes de recherches et de fouilles pour envahir ce pavillon et ça vous fait ni chaud ni froid que de venir ici pour m'empêcher d'exprimer librement mes opinions? Au contraire! Mes vidéos remet votre image à profil éblouissant et héroïque plutôt que titanesque chère demoiselle! Tout ce que je dénonce ne reviens ni plus ni moins à ce que vous avez à cacher et qu'il n'est pas nécessaire de nous cacher.

Une pause s'impose avant que je ne libère trop de mots, rattrapant mon souffle tant j'ai envie de crier et je me calme doucement pour avoir l'air plus crédible. Évidemment qu'elle à raison que c'est dangereux, mais c'est mon métier! Ressortir des dossiers enterrer et oublier! Par exemple, des faits intéressant, nous étions un des premiers sites mondiaux à diffuser ce qui s'est passer lors des attaque sur New York, les mutants ou encore les périples sur les X-Men de leur côtés. Évidemment, Hydra ou toute autre organisation ne trépasse pas, mais j'ai ma séquence d'importance pour avoir mon publique cible après tout!

-Vous savez que mon Q.I. ou mes facultés à tout diffuser votre contenus ne s'arrêtera pas. Si je meurt ici et aujourd'hui, j'ai un peu une devise similaire à Hydra de dire que deux autres tête pousseront dans mon organisation. Nous somme peut-être qu'un site web, mais un des plus fréquenter au monde. Ahh et j'oubliais... Que connais une femme de 127 ans à l'amour ou encore à mes goûts en matière amoureux. Il est facile de dire que j'aurais mériter mieux, mais il est difficile pour vous d'exprimer ou de me faire visualiser qui par exemple... Une mutante? C'est ça mon destin? Épouser la créature qui me domine sur tout les plans?

Je ricanais noir, puisque ses propos cynique commençait à m'agacer sérieusement! Une histoire d'ange et je serait supposer croire à ses balivernes? Sérieusement? Je suis d'accord pour dire qu'elle était là toute ses années, mais si ma vie avait été en danger, je l'aurait sût... Non?

Je ne sais pas si mon discours l'a convaincu. J'ai dit la strict vérité pourtant, comme précédemment. Je n'ai aucun intérêt à lui mentir pour tenter de gagner sa confiance, pour lui faire passer le message que je désire lui faire passer. Même s'il est intelligent, en continuant à s'exposer de la sorte, il va en payer le prix, ce serait tellement dommage de perdre une intelligence pareille. Mais après tout, je ne suis pas celle qui en a vraiment besoin, pas directement en tout cas. Je suis intelligente aussi même si je n'ai pas son QI à lui, mais ça ne sert à rien ou presque pour moi. Depuis le temps, je n'ai plus peur de rien, surtout pas de lui, mais après plus de trente ans, j'ai eu envie de lui parler de façon véritable même si ça pourrait ne pas plaire à certaines personnes, je n'en ai rien à faire, je mène ma vie comme je le désire, et pas autrement, c'est comme ça que cela fonctionne, que ça plaise ou non. J'ai des valeurs, je suis une x-woman depuis maintenant plusieurs années, je sais ce que je dois faire. Mon but n'est pas de faire des vagues avec Archibald, au contraire, si je lui parle, c'est plutôt pour calmer la mer qu'il s'amuse à agiter. Je lui parle de son ex-femme, je vois encore clairement qu'il a de l'animosité envers elle, mais bon, si j'avais ce pouvoir d'omniscience, je lui aurais dit de faire sans elle. A vrai dire, si j'avais eu ce pouvoir là, je serais morte et enterrée depuis longtemps, nous ne nous serions même pas connu. Il faut faire avec les atouts que nous avons dans nos manches à vrai dire. Les miens étaient peut être limités d'un certain côté, mais d'un autre côté, j'avais le temps de faire les choses. Le temps n'était que très relatif pour ma personne. Si pour donner un cours, je devais être efficace pour tout ce qui n'était pas urgent, je pouvais facilement remettre la chose au lendemain, à la semaine d'après même. Je lui disais donc que son blog pourrait lui porter préjudice. Je savais très bien que ça ne lui plairait pas, mais je voulais lui faire comprendre une idée. Elle ne le ferait sans doute pas changer d'avis mais voilà, peut être qu'elle le sensibiliserait à agir de façon différente. Je le laissais donc s'exprimer, je sais que je le fais doucement rire. Je l'écoute pourtant avec une grande attention. Il n'est pas différent d'un autre youtuber qui aimerait dénoncer des faits de société, juste qu'il a trouvé un sujet juteux et polémique. Mais il peut faire ce qu'il veut, je continuerais à vivre ma vie comme je l'entends, il faut juste qu'il fasse attention.

" Vous savez Archibald, je ne suis pas ici pour vous faire arrêter ce que vous aimez faire. Ma vie ne va pas s'arrêter parce que vous nous dénoncer. Je trouve juste ça dommage que vous gaspiller du temps là dessus. Comme vous le dites, si vous mourrez, d'autres prendront la relève, c'est une certitude, mais tous n'ont pas votre intelligence. C'est celle-ci qui vous rends si précieux et en continuant de faire ces vidéos, vous vous mettez en danger et je ne serais pas forcément derrière votre dos pour vous sauver la mise à chaque fois. "

Parce que sans doute, pensait-il que je bluffais un peu à propos de sa vie qui avait été souvent en danger, mais c'est pourtant bien réel. S'il n'en a jamais vraiment eu plus conscience que cela, c'est parce que j'ai bien fait mon travail quand j'avais à le faire, il ne se rendait ainsi compte de rien du tout. Puis, il revint sur le fait qu'il aurait dû épouser quelqu'un d'autres. Il cita même mon âge pour tenter de m'impressionner mais il n'y arrivait pas du tout.

" Voyez vous, je ne crois pas au destin. Je ne sais pas quelle est votre destinée amoureuse, je l'ignore. Je ne suis en rien télépathe, je ne peux pas savoir ce qu'il y a dans la tête des gens. Peut être que vous trouverez votre véritable perle rare, peut être qu'elle sera une mutante, peut être qu'elle sera une simple humaine comme vous, quelle importance ? Je vous ai observé suffisamment de temps pour savoir certaines choses sur vous, mais à ce niveau là, je ne peux pas dire ce que pense votre coeur, et si cela et en adéquation avec votre esprit. Essayez simplement de ne pas vous brûler les ailes avec une autre jeune femme qui ne vous mérite pas. Essayez de prendre un peu de recul sur tout ça. "

Sur le fait qu'il dénonçait les mutants, mais aussi sur le fait de trouver une belle jeune femme qui sera véritablement sincère et qu'il pourra chérir tout au long de sa vie puisque cela semblait lui tenir à coeur. Je n'ai jamais été véritablement mariée pour ma part, mais je connais des milliers de personnes qui le sont où qui l'ont été puisqu'elles sont mortes depuis bien longtemps pour la plupart. Il faut simplement qu'Archibald voit les bonnes priorités à sa porte. Si jamais il trouve cette jeune femme, qu'il fonde une famille, ne voudra-t-il pas la mettre à l'abri en arrêtant de faire ce qu'il fait depuis déjà bien longtemps ?

La situation commençait lentement à tourner en rond, parce que la jeune femme devant lui défendaient des arguments qui tenaient la route, alors que pour le jeune homme tout était à recommencer du début! Quelqu'un qui aurait dût être dans sa vie, qui ne s'est jamais dévoiler et dont l'identité est secrète? Vraiment? Cette cacophonie commençait lentement à le laisser vibrer dans tout ses états. Comment Archi pourrait digérer la nouvelle sans se se mettre dans ses états. Les paroles étaient mélodieuse à ses oreilles, malgré qu'il ressent un acharnement défensif de sa part, mais qui n'oserait pas toucher la sécurité lorsqu'il à une arme pointer contre la chaire. Relâchant un soupir, il n'eût autre choix que de faire face à la stupidité de ses propres preuves qui ne tenait pas la route. Menacer une étrangère avec une arme de pointe qui pourrait annihiler son existence était peut-être un peu trop précipiter comme jugement après tout. Se redressant doucement et boutonnant son veston, il se dirigea vers les fleurs tout prêt de la mutante en caressant les morceaux de pétales entre les doigts de sa mains libre, réfléchissant.

D'une mains il tenait ce qui pourrait clore ce débat en seulement quelques secondes et de l'autre, ce qui le ramenait à une réalité plus vraie que de simplement en finir avec ses problèmes. Il écouta donc la voix de la raison, attrapant son arme et la reposant dans sa poche dissimuler à cet effet. Un long soupir s'en suivit en laissant la jeune femme terminer son deuxième long monologue, ne prêtant à moitié attention à ce qu'elle disait. De toute manière en matière de femme, il y avait longtemps qu'il avait arrêter d'être un oiseau de proie et de croire qu'il pourrait encore un jour être capable d'attraper l'amour de sa vie. À ses yeux ce venin que l'on surnomme coup de foudre était enterrer, mort et dissiper. S'écartant lentement de la fleur, il s'approcha du banc pour venir prendre place, lorsque quelque chose attira son regard vers le fond de la pièce. Une ombre, plus précisément celle d'un individus de grande taille qui se déplaçait rapidement, comme dans un élan de course.

Qui voudrait faire un attentat dans un jardin botanique, sérieusement! Sortant XEM de sa poche, il le plaça devant lui en appuyant une multitude de fois sur l'écran transparent, pour laisser jaillir une aurore vive rougeâtre. Mutant de classe 3, dans l'immeuble? Elle avait demander du renfort mutant pour cette mission? Fouillant sa manche gauche, il sortit une oreillette, rien qui ne semblait dangereux et appuya un bouton situer au centre. De l'engin électronique jailli une extension qui se positionna devant on œil pouvant capter les déplacement du mutant. Il était rapide, mais ne se téléportait pas, quel genre de mutant pourrait être envoyer pour le démolir par une si belle journée! Comme il n'était pas encore certains de son positionnement dans l'affaire, Archi jeta un regard noir sur la jeune femme, pour voir sa réaction, il n'allait pas la blâmer sans raison, mais gardait un doutes.

Quand le mutant fût assez près, les données thermale et les enregistrements des caméras de surveillances lui donnèrent un meilleur brouillon quand à son agresseur. Un homme d'environ 2 mètre 20 facilement, recouvert d'une structure soit métallique ou de roche, difficile à différencier. Assurément vus sa démarche et ses manière, aucunement là pour discuter recette de tartes à la framboise. L'avantage du terrain, le faune dans les environs dans laquelle il serait assurément possible de se dissimuler, le défaut, vus sa force il ne restait qu'à espérer qu'il ne soit pas recouvert d'adamantium, autrement son arme serait plus lente d'action. Appuyant une fois de plus sur l'écran tactile, non seulement Archi contacta la police, mais également l'armée, le shield et même quelques renforts X-Men dont il avait entendus parler. Il reposa XEM dans sa poche intérieur et s'accroupit enfin à la hauteur de la jeune femme.

''Écouter, un copains mutant viens d'entrer dans l'immeuble et sera présent d'une seconde à l'autre. Entre vous et moi, je déconseilles de vous battre, son exosquelette est recouvert de matière indestructible. Si vous voulez vaincre intelligemment il va falloir travailler en équipe et mettre de côté nos différents... Vous pensez pouvoir faire cela... Poor?''

Pas de place à de fine discutions, les portes commençaient à s'enfoncer et rien ne sembler l'arrêter, ce qui laissait envisager Archi que le mutant devait être recouvert de roche ou de métaux encore plus solide qu'il ne l'avait anticiper. Attrapant la mains de Poor, il la tira un peu sauvagement du banc et prit les premiers pas vers ce qui semblait être un buisson exotique. Pourquoi restez assied à boire le thé alors que l'ennemie arrive!

Visiblement, je l'avais convaincu, du moins, j'en avais comme l'impression même s'il restait dans le doute par rapport à certaines choses. Je ne savais quoi lui dire de plus j'attendais une réaction verbale de sa part, mais elle ne vint pas comme s'il avait avaler et digérer ce que je venais pleinement de lui dire. Son comportement était cependant bizarre, comme s'il sentait quelques choses. En tout cas, il reposa son arme là où elle était au début de notre rencontre, comme pour se concentrer sur quelques choses d'autres. Il prenait mes conseils en terme d'amour comme il le désirait, je n'étais pas maitresse en la matière, au contraire, l'amour n'avait jamais été un sentiment très fort pour que je passe une partie de ma vie avec quelqu'un même quand je me suis rendue compte que je ne pouvais pas mourir, même quand j'étais une véritable jeune femme, je n'ai jamais aimé quelqu'un d'un amour fort et intense, comme si de nature ce sentiment n'était pas en moi, pourtant, j'avais aimé des personnes, j'avais ainsi perdu de nombreux amis, parce que contrairement à moi, ils ne sont pas en train de combattre contre l'immortalité. Bref, je m'attendais à une réaction d'Archibald, mais elle ne vint pas, pas du tout même comme si son génie avait vu que quelques choses se tramait dans le coin. Il sortit alors une sorte de téléphone portable, ou de tablette de sa poche et appuya plusieurs fois sur l'écran transparent. Sans doute que cela était un engin de son cru, il était assez fort pour inventé ce genre de chose. Je ne savais pas ce qu'il faisait avec mais ces gestes semblaient être précis, calculés. Il sortit alors une sorte d'oreillette de sa manche pour une nouvelle utilisation de sa technologie à lui. Je ne savais pas ce qu'il pouvait bien traficoter mais ça ne semblait pas être bon signe, du moins en apparence parce que parfois, elles sont trompeuses. En tout cas, il me jeta un regard noir qui en disait long. Que voyait-il ? Que pensait-il ? Je n'étais pas télépathe mais parfois, j'aurais aimé l'être parce que là, la situation m'échappait, je ne comprenais pas ce qu'il était en train de faire. Il reposa tout d'un coup sa tablette dans sa poche, puis il vint me dire qu'une menace arrivait. Une chose que je ne comprenais pas était qu'il me parlait d'immeuble alors que nous étions simplement dans une serre du Jardin Botanique de la ville. Pourtant, la menace semblait être plus que réelle au vue de ces propos. Je n'eus pas le choix de toute façon, il me tira du banc pour que nous puissions nous cacher dans une des plantes exotiques qu'il y avait ici. Il voulait mettre nos différends de côté mais il n'y en avait pas vraiment pour moi à vrai dire. C'était simplement lui qui en avait sans doute parce qu'il avait du mal à accepter les vérités que j'avais pu lui dire. Peu importe, la menace se précisait.

" Agissons de la sorte. Je sais me battre s'il y a besoin. J'arrêterais la menace, comme ça, nous pourrons partir tranquillement. Je vais faire diversion pour que vous puissiez vous servir de votre arme, je crois que c'est le moment de la sortir d'ailleurs. "

Si j'étais sûre qu'il me fasse confiance, je lui aurais même demandé de me la passer, mais comme je n'étais sûre de rien à ce niveau là, je ne faisais pas cette demande, je servirais simplement d'appât. La porte de la serre finit ainsi par céder sous les coups du mutant au corps de pierre, enfin, c'était de la pierre ? Je n'en étais pas certaine mais le type ne semblait pas être venu ici pour parler tricot, vous pouvez en être certains. Je sortais de ma cachette, je n'avais pas peur de me battre contre lui. Qui était-il venu chercher d'ailleurs ? Lui ou moi ? Je n'en savais rien, mais ça n'avait pas d'importance, comme souvent, il me faudra éliminer la menace qui plane au dessus de la tête d'Archibald.

" Hey salut toi. C'est moi que tu es venu chercher ? Bah, je suis là. J'ai pas peur de toi tu sais, allez viens, on va s'amuser. "

Je ne comprenais cependant pas pourquoi on l'avait envoyé et pourquoi il agissait de la sorte, mais bon, il suffisait d'un bon télépathe et le tour était joué d'avance ou presque vous savez. J'attendais qu'il me fonce dedans avant d'esquiver le premier coup. Le type semblait être lourd, mais au niveau de la vivacité, j'étais bien meilleure que lui. Ainsi, je lui donnais un coup de pied dans le dos, me rendant compte que je n'allais pas réussir à faire grand chose contre lui. Si j'avais été normale, je me serais sans doute casser le pied de cette façon, mais la douleur dura à peine quelques secondes ne me laissant pas ainsi le temps de pousser un cri. Je ne savais pas si l'arme d'Archibald était aussi efficace qu'il le prétendait, mais elle serait sans doute la bienvenue. Encore faudrait-il qu'il vise correctement. Peut être ne penserait-il qu'à lui, et s'en irait simplement pour sauver sa peau. Cela n'avait pas tellement d'importance tant qu'il restait en vie.