Times like these! Ft. Gabrielle Chapman [Flashback]

La salle était bondé, le champagne se promenait de droite à gauche, la musique emplissait le vide des discussions qu'avait les gens. C'était une soirée formidable, où des gens "formidables" ne faisait pas grand chose et pensait changé quoi que se soit. Sa sentait l'hypocrisie à plein nez... Ou était-ce le pet de ce monsieur un peu grassouillet. Peu importe, Daniel respira un grands coups pour bien absorbé cette odeur particulière. Celle de l'argent dans la poche des gens, celle qui ne sert qu'à faire sentir bien de riche personne avec peu de respect pour eux-même, ou trop pour certain. Un buffet de victime facile, innocente et bien dodue, voilà ce qu'était cette soirée et Daniel avait un appétit prononcé. Portant même un habit presque passable, c'est qu'il y mettait du cœur dans cette soirée. Chose très rare pour lui. Il attrapa une flute directement hors des mains d'une dame, en prit une gorgée, le détesta et la reposa dans les mains d'un homme à quelque pas de la femme, il se mouvait gracieusement de personne en personne, scrutant leurs sacs à mains et fouillant dans leurs portefeuille. Un. Deux. Trois petit billets. Quatre. Cinq. Six plus gros billets.

"Merci. Je vais prendre ça... et ça aussi. Oooooh la belle montre. Vous permettez... trop gentil."

C'était un temps bien merveilleux pour Daniel. La peur, le stress, tout ça ne flottait pas constamment dans le cerveau du petit Voleur. Non, il ne se prêtait pas au jeu des gens communs, sa prétendu sécurité le rendait arrogants et prêts à prendre toutes sortes de risques. Cette époque, c'était le points culminants de sa vie. Un instant de gloire pour lui même. Où rien n'y personne ne l’empêchait de faire ce qu'il voulait faire. Voler, déranger, nuire à qui bon lui semblait. S'amusant avec ce qu'il pouvait sur le moments présent, ne pensant que très rarement au futur qui serait toujours identique. Il n'avait rien à craindre, aucun prédateur naturelle. Alors il batifolait, n'usant quasiment aucun jugement dans ces actions. Un enfant que personne ne voyait, qui causait tout le grabuges qu'on ne laisse pas un enfant créer. Il se tenta encore à boire du champagne qu'il recracha aussitôt. Infecte, n'y avait-il donc pas de bière quelque part, le bar peut-être. Il y arriva avec l'élégance d'un pingouin et s'étala de tout son long sur le comptoir en tendant le bras vers la première bouteille qu'il pu atteindre... Peut-être n'aurait-il pas dût boire autant avant de s’improviser invité dans ce grand palace de l'hypocrisie. Bof, qui viendrait lui dire qu'il était inconvenant et dérangeant pour les autres participants, la sécurité? Liquide incolore, surement de la vodka, ça fera l'affaire. Ooooooh une autre victime, un grand monsieur tout mince, avec des doigts comme des allumettes et un toupet laid, mais archi-laid. Daniel commença par lui retiré le toupet, le trouvant déjà mieux, moins chevelu, mais plus brillant. Oui oui, blague de crâne bien ciré. Puis il se mit à fouillé dans les multiples poches du bâton de deux mètre."Désolé Mr. Je dois vérifier que vous n'avez pas d'argent sur vous, c'est hautement dangereux dans cette pièce. J'ai entendu dire qu'il y aurait un pickpocket dans la salle. *rire étouffé* Trop drôle Daniel. Merci Daniel."

Il eut pour premier réflexe de faire fit de la voix qu'il entendu derrière lui, elle devait être destiné à quelqu'un d'autre dans sa proximité, évidemment quoi, personne ne me parle se dit-il. Daniel préféra attraper une poignée de petit-four à ça porté et de les engloutir à moitié avant de continué son travaille, je parle ici de détroussé les poches aussi nombreuses que vides du gringalet au grandes jambes. Il aurait vite finit, si ce n'était d'un détails qui attrapa sa curiosité, et là je ne parle pas d'un objet dans les poches, elles sont vides vous vous rappelez. Non, là je parle de la discussion, où plutôt au manque de suite à la discussion qu'il venait d'entre-écouté. L'interlocuteur de la charmante, sarcasme, voix qu'il avait entendu devait être un véritable gougeât, même pas foutu de répondre au moins un mot, voilà pourquoi il évitait de socialisé. Des salauds, tous, les hommes et les femmes. Irrespectueux et... Était-il l'interlocuteur... Les mouvements rapides de ces mains s’arrêtèrent subitement, son corps entier se glaça d'un seul coups à vrai dire, même son souffle. On lui parlait? Un Danny au dos courbe et à la bouche semi-pleine fit une rotation lente vers ce qui se trouva être une jeune femme, tout de bleu au cheveux brun. Ce devait être une vrai peste.

"Kwarmpf." Un spectacle peu appréciable pour son audience je dois dire, ça bouché passa de travers, mais rapidement, en profita pour prendre une reprendre ça respiration. "Urk... Quoi? C'est à moi que... tu parles?" Il ne prit même pas la peine de répondre à sa question. À quoi bon, elle n'avait aucun intérêt pour lui.

Ce n'était pas bien mieux, il ne pensait pas au petite miette restant sur les coins de sa bouche. Comment être civilisé, si on a jamais besoin de l'être. Impossible, je vous le dis. Mais être un homme respectable et présentable n'était pas un soucis pour lui, pas en ce moment. Le vrai soucis c'était elle, le voyait-elle vraiment où... Il devait en être sur. Son dos se remit dans sa position naturelle et son visage prit un air beaucoup moins idiot, l'heure du test. Daniel tenta maladroitement d'écraser un doigts sur le front de la dame, comme s'il voulait vérifier que c'était bien réelle, qu'une personne se tenait vraiment devant lui et lui parlait de vive voix. De vive voix. Merde, si c'était le cas quelqu'un finirait par porté attention à la femme qui semble parlé seul dans un coin... et au final il porterais aussi attention à l'homme déconfis et déplacé avec qui elle semblait discuté. Son aura se mit à crapahuter vers la demoiselle, essayant tant bien que mal de créer un cocon d'insignifiance autour d'elle. L'alcool dans le système de Daniel n’accélérait pas du tout le processus. Alcool, il en prit d'ailleurs une autre gorgée avant que miss grognonne ne lui arrache des mains, son ton indiquait une irritation pincée envers le pauvre Daniel. D'abord Niall... ensuite elle. À quoi ça sert si tout le monde vous vois. Elle serait pas si laide avec un peu moins de dégout envers lui sur le visage. Ne connaissant pas Danny, tout ces gestes pouvait être perçu comme une tentative de vous énerver.

"Ah bas non quand même..."

Pas le temps de sauvé le précieux liquide, il s'envola aussi vite que la patience qu'il avait envers sa nouvelle amie. Il parlait comme une larve, tenant plus longtemps sur la fin de phrase, un vrai paresseux démoralisé et ivre. Ça aurait été une catastrophe si elle l'avait jeté au loin, Daniel n'aurait jamais eu le temps de l'atteindre avec son pouvoir. Il ne se retenait vraiment pas se soir, le gros spectacle privé qu'il lui montrait en ce moment. Sentait-elle seulement les effets de ça mutation, l'air qui devient juste un peu plus froide quand on est seul au monde, les regards qui nous évite involontairement. Ce rendait-elle compte de la chance qu'elle avait de partagé ce moment avec lui. Pas trop souvent quand même. Pour qui il se prenait... Pour qui elle se prenait, bien meilleure question selon Danny. Essayer de lui faire la moral après avoir commis un acte aussi odieux, infâme femelle. L'alcool on gaspille pas, c'est sacré comme breuvage. Sauf quand il goûte le reste de sueur... et même là.

"Bah... Je me prends pour personne quoi..." Danny jeta un coups d’œil rapide derrière lui, comme s'il n'était pas déjà assez clair qu'elle s’adressait réellement à lui. "Nan, mais vous êtes sur que vous me parlez là. J'étais comme au milieu de quelque chose et c'est quand même important."

Il ébouriffa d'une main lente ces cheveux tout en prenant un grand respire. Essoufflant tout ces efforts mental. Premièrement sa voix était d'un timbre très irritant et puis deux personne ces déjà plus qu'une, on rajoute le verre et ça en fait déjà énorme. Surtout quand on a des verres dans le nez. Daniel gonfla les bajoue et expira de façon exagéré vers le plafond. Pouvait-il retourner à ce qu'il était venu faire maintenant. Plus de questions maintenant, juste, faire son truc. Non? non. bien sur que non, ça n'arrête jamais là. "Dites... Vous pourriez allé m'en chercher un notre?" Secouant ça main qui tenait un verre invisible. "Ça serait normal vue que vous avez abreuvé le planché non? Serait gentil d'vot part..." Gonflé le mec. Gonflé et sur le point de se faire gifler. Que voulez vous, Daniel n'est souvent la chance de pratiqué ces charmes sociaux, il ne se rend même pas compte de son comportement désobligeant. S'en rendait-il compte des fois? Il se retint tout de même de siffler... Daniel était peut-être impoli, mais pas suicidaire.

"Le Pap-" Même pas le temps de finir ça phrase. Pan, vlan, paf, slap. Toutes les onomatopées qui représente la gifle qu'il venait de se prendre. Danny n'avait même pas eu le temps de voir le pape derrière... Il n'y avait pas de pape n'est-ce pas? Pourquoi ce sont toujours les innocents qui récolte la furie d'autrui. Sa joue pulsait maintenant d'une jolie petite couleurs rosé qui tournerait à un mauve profond demain... Exagérait-il? Un peu, mais ça faisait un mal de chien, combiné à l'effort cognitif qu'il tenait depuis l'arrivé du pit-bull. La douleur causé remit un peu de sens à Daniel. Gonflé, lui, gonflé, disait là petite folle qui venait tout juste de lui foutre une claque bien sonore. Pour qui elle se prenait, Mère Thérésa? "Na, mais oh! On se calme le terminator miniature. Primo, vous baisser le ton un peu et deuzio, je vous ai rien fait moi, c'est vous qui m’attaquez depuis le début de cette échange! Et puis ça vous fait quoi que j'emprunte quelque truc, c'est pas à vous à ce que je sache... Calisse. Ça vous arrive souvent de harceler les gens comme ça, sans raison valable." Tout ça en ignorant volontairement les menaces de se faire foutre à la porte ou autre connerie du genre. Qu'elle le quitte des yeux un instant, il n'attendait que ça.

Bon, quand j'ai dit qu'il avait reprit le peu de bon sens qu'il avait... je parlais bien sûr de son sens d'emprunteur. C'est pas qu'elle n'était pas moche à regarder, mais ça commençait à trainer son discours de morale et de "je vais te faire virer". Des paroles remplit de vent, comme ce qui devait soufflé entre les deux oreilles de cette jeune dame. " On va joué à un petit jeux... Madame?... vous retourné avec vos amie moche et moi je fini ce que j’étais venu faire et PAN on ne se recroise plus jamais. Ça vous dit. C'est amusant et en plus j’aurais pas à enduré votre voix geignarde." Je retire ce que j'ai dit. L'alcool roulait encore dans ces veines, et avec l'adrénaline qu'elle lui avait prodiguée sous forme physique, ça y allait à plein régime. Bourgeoise de mes fesses, enfants gâtés. Pourquoi de toutes les personnes dans la salle c'était elle qui le voyait, hein, ça pouvait pas être la vieille femme sénile et édenté, surement sourde et muette, dans le fond de la salle, non. Ça devait absolument être une vrai... Je vous fais pas un dessin quoi. Un peu plus de piquant dans la soirée me dirait vous, Daniel s'en serais bien passé. "Parce que sérieux j'ai pas que ça à faire vous divertir. Vous vous senté mieux maintenant, votre sens de l'honneur et de la justice se sent valorisé, pas de sniff sniff pour vous se soir, vous avez bien fait. Woohoo. Bravo! Je recommencerais plus juré, Pffftrs." Tout ça sur le ton le plus humliant possible. Une imitation rude et peu courtoise de sa voix, dosé avec juste assez de simagrée pour bien la faire pompé. " Oooh. Ça à l'air bien ça, vous permettez." Daniel se mit à marché en direction d'un autre groupe, prenant pour acquis que leurs entretiens était bel et bien terminé. Il espérait fortement qu'elle ferait de même, se doutant malheureusement bien qu'elle ne se laisserait pas faire.

"Vous n'avez pas de poche..." Daniel ne savait pas vraiment si c'était la meilleur chose à faire, de l’énervé encore plus, mais la joie qu'il en tirait, balançait presque la frustration qu'elle créait. Amusante et épuisante, tout ça roulé dans une petite enveloppe féminine, saupoudré le tout d'un besoin de faire le bien et vous avez la personne qui tapait autant sur les nerfs de Danny. Combien de temps le regarderait-elle encore? Par tout le dieux qu'elle aille cherché quelqu'un pour le sortir, elle ne le verrait plus jamais, lui au contraire serait heureux de transformé ça vie en un enfer de chose perdue et de trucs manquants. Il ne comprenait pas comment une femme se trouvant si "intelligente" ne percevait pas le manque de réaction envers leurs petite chamaille. La claque, le verre. Rien, pas même un coups d’œil de jugement. "Vous ne trouvez pas ça un peu bizarre quand même... Tout ça. Vous n'avez pas remarqué... bah, tout ce rien?"

Daniel avait prit un ton plus sérieux pour commencé à répondre au multiple question et menace inutile qui étaient lancé contre lui. Comment prendre au sérieux quelqu'un d'aussi peu dangereux, d'aussi peu capable. Et le roi de l'univers, non, c'est bien trop tape à l’œil. Je déteste être le centre d'attention... Je veux dire. Quand même, vous devez commencer à être inconfortable, un peu... Non? À crié comme une taré sur un homme qui n'est pas là. Je n'ai blessé personne n'est-ce pas? Pas de cadavre... juste des poches vides qui se remplieront dans les heures qui suivent notre discussion. Ces gens, ne manqueront de rien. Pas de nourriture, pas d'endroit pour se reposer et surement pas d'argent? Non? Je prends seulement quelque trucs inutiles à des gens inutiles. Alors, s'il vous plait, sortez moi. Faite tout ce que vous pouvez." Un imbécile qui se fait traitez comme un trouduc par ce qui semble être la pire personne au monde selon Daniel. Un mélange joyeux, fantastique. Qui amène inconfort et haine dans la vie de chacun. J'espère sincèrement que vous trouvez tout cela bien amusant, bien vertueux, mais moi je commence à me lassé de votre perfection et de votre bon vouloir, de vos manière et de vos demande. Ça serait tellement plus simple pour vous si vous arrêtiez de vous souciez de moi. Tellement moins encombrant pour moi... Et me dites vous que vous n'avez pas de grilled-cheese ici? Vous êtes des sauvages!" Il ne tenait même plus à se débarrassé d'elle en l'évitant physiquement, la mettre hors d'elle semblait plus aisé. Choqué et outré au plus profond d'elle même elle irait cherché des bras plus musclé que les siens pour foutre l'importun Daniel hors de la prémices. Un instant de distraction de la part de Gabrielle, c'était tout ce qu'il demandait. Pour une éternité de paix, loin de cette femme odieuse. La rue lui donnait envie, si ce n'était des multiples poches qui nécessitait encore un nettoyage de fond en comble. Un travail bien fini est un travail heureux.

"Me... Retourner?" Simple comme demande, encore une autre de la part de la chipie, mais ambigüe dans sa raison. Daniel ne se retournerais pas, pourquoi le ferait-il, pour lui montré ces fesses. En y pensant bien, il voudrait bien lui faire un salut du fessier, faire dansé son derrière pour bien l'insulté. Une réaction tout à fait acceptable et mature. Enfin, se retenir d'obéir à l'un des ordres de la colonel chiante lui semblait encore plus divin. Elle était folle et pleine de délusion si elle pensait pouvoir lui dire quoi faire.  Vous me prenez pour quoi, un clown, un animal de foire. Vous n'avez pas de fouet et pas de tabouret pour faire obéir ce lion!" Plus la discussion avançait, plus les réponses devenait stupide et incompréhensible. Daniel était visiblement aggravé par cette rencontre prolongée. Espérant tout de même avoir le dernier mot de cette bataille orale, il allongeait l'entretient, sortant des phrases incongrues et enfantines pour la plupart. Histoire de découragé complétement l'arrogante princesse dictatrice. Elle ne pouvait pas lui dire quoi faire, et surtout pas où allé. Je sais que mon derrière semble délicieux, mais retenez-vous. Je suis un homme respectable et vous êtes un dépravé." Malgré ces dirent, l'envie de lui jeter un coups de fesse rapide fut trop forte. Hop, rotation du bassin rapide accompagné d'un bruit de pet de sa bouche. Adulte, bien pensé, amusant, n'est-ce pas? Non, que voulez vous dire par Daniel est un imbécile. Ah, je vois, Daniel est un imbécile. Ça se tient en fait, surtout vue de l'extérieur. De son point de vue il est en grande forme, prêt à gagné cette bataille, victoire glorieuse sur l'oppression féminine qu'elle exsudait sans cesse. Étouffante femme, dominatrice de son vouloir, il l'apparentant de plus en plus au mal de ce monde. À ce qui le répugnait dans la société. Le besoin constant de ce mêler des affaires d'autrui.

Comment un adulte peu réagir de façon aussi ridicule, aussi égocentrique et insensé? Trouvé un raisonnement dans les agissement présent de Daniel relevait d'un suicide intellectuelle assuré. L'ignoré devenait aussi impossible que son opposé, même pire, il ne lâcherait pas prise devant un monstre, oui oui il allait jusque là, tel qu'elle. Gamine absorbé par son égo démesuré, alors qu'il agissait tout aussi bêtement. Vous, retournez vous? Moi, jamais!" L'alcool était-elle encore dans son système ou agissait-il ainsi de façon consciente? Dur de savoir, Daniel était une drôle de petite personne, avec de petit rêve et de petite intention. Et aussi une toute petite réserve de patience. Épuisé depuis un bon moment déjà, apparent dans ces réponses puérils. Il lui tira la langue, mit son pouce sur son nez et ce mit à s'éloigner à reculons. Pour accomplir quoi, aucune idée, mais la scène était plutôt drôle, voir ridicule, assez pour créer un désespoir puissant chez n'importe quel humain ce disait-il.

Une claque en pleine gueule c'était quelque chose. Respectable comme mouvement. Démontrant efficacement l'opinion qu'on avait de quelqu'un, pouvant aussi être utilisé pour remettre les idées en place de la victime. Un geste digne, rapide, loyal. Tout le contraire d'un coup dans les oolala. Inacceptable, complétement barbare et dépassé, possiblement un acte de guerre. C'était pour elle la prison, pas Daniel. Ce genre de truc devait être punie, a mort la garce au pieds sanguinaire! La tyrannie devait stopper. Enfin, pour l'instant Danny ne pouvait vraiment rien. Il avait sentit ces balles de pingpong lui remonté jusqu'au narine et redescendre d'un coup tirant tout son corps vers le bas. Jambes molles, corps mou, tête en bazar. Il lui avait quasiment vomis dessus, il aurait du. Râle de la mort, long et souffrant, qui origine de sa bouche, tel une baleine échoué. Convulsions au niveau du dos, encore un autre haut le cœur. Et puis vint la longue douleur, celle qui reste des heures. Celle qu'on sent le lendemain et le sur-lendemain. Celle qui nous fait mal quand on y repense trois ans plus tard. Elle l'avait bien eu, Daniel devait s'agripper à une table pour ne pas foutre le camp au plancher tel un has-been de la boxe. Mais il n'était pas encore vaincu. Non, loin de là. La douleur n'était plus que le charbon qui alimentait sa locomotive de la haine. Une haine aussi grande que le parcours de ces parties intime. Aussi puissante que son envie de lui régurgité ces repas passé et l'alcool qui lui restait. Un train inopposable.

(en Français) Calisse de tabarnack d'osti d'ciboire de crisse de guenon mal-baisé. SACRAMMEEEEENNNNT!" En bon québecois, une seconde nature de juré, sacré. De faire sortir le méchant de façon bien audible, bien corsé. Son accent, qu'il dissimulait sous des années de vie à l'étranger, ressortait pleinement. Ça lui prenait tout, le souffle était dur à trouvé et encore plus difficile à garder. Garce, le mot n'avait jamais aussi bien utilisé pour décrire une femme. Un fléau pour les hommes, que dis-je, pour l'humanité. Va chier! Vous êtes folle!" Il se foutait bien de ce qu'elle pouvait lui dire, la justice et tout ça. Qui l'attraperait... Pas elle, pas eux. Il recula, vacillant, s'extirpant de la portée de ces jambes. C'était un meurtre, mais Daniel vivait encore. Vous êtes pas bien! Ça se fait pas ça." Chaque mot était suivit d'un essoufflement visible, courir devenait encore moins probable. Il reculait encore, mais pas que physiquement, son pouvoir aussi laissait de l'espace entre lui et son assaillante, la laissant visible au reste de la salle. Daniel devait se trouvé un coin, une sortie, quelque chose pour s’extirper de la vue de cette dangereuse femme... Elle le laisserait probablement faire, son seul désir n'étant que de voir Daniel disparaitre de cette soirée, il ne laisserait quand même pas le butin qu'il avait amassé jusqu'à présent.

J'ai l'air de fuir, mais c'est stratégique... Vous n'avez pas gagné... C'est triché ce que vous faite! Moi je peux pas vous bottez les ovaires! Monstre! C'est pas fini!" Douleur dans ces mots, égo visiblement touché. Physique faiblissant. Il reviendrait, pas ici, mais pour elle. Il la retrouverait et transformerait ça vie en un enfer quotidien. J’espère que t'apprécie de la pâte à dents dans tes oréo pé.." Sa voix s’étouffait plus qu'il reculait, laissant place au conversation environnante.