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 We are a monster and you like us (Al'ya)

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MessageSujet: We are a monster and you like us (Al'ya)   We are a monster and you like us (Al'ya) EmptySam 16 Avr - 21:10



We are a monster and you like us
ft. Al'ya & Venom


Une nuit comme une autre, notre regard se portant sur cette ville depuis les hauteurs, scrutant, cherchant traquant, nous attendons de trouver une proie, une cible, un être sur la liste de ceux recherchés, un être se trouvant quelque part en ce monde et qui devrait finir sous nos griffes. Nous n’avons aucune conviction sur la loi du Registration Act, ce sont des stupidités politiques humaines inutiles, nous nous soucions pas de savoir ce qui est juste ou nous, ce qui est intelligent ou non, mais nous avons une récompense à aider cette loi et cette politique, le monde s’intéresse à nous, nous sommes présentés comme héros, nous sommes mieux que Spiderman, nous avons de quoi être fiers. Ce monde ne peut pas nous rejeter, ni nous ignorer, nous sommes maintenant visible de tous, nous sommes l’être qui protège les pauvres petits citoyens craquants et fragiles des vilains surhumains ne voulant pas se plier aux lois émises par le Gouvernement. Ils protestent ? Nous ne sommes pas en démocratie, leur seule voix est quand ils votent, ensuite ils assument en silence, et nous sommes maintenant tel un bras armé de cette loi, agissant avec légitimité même si nous sommes tenus avec une forme d’entrave invisible greffée sous notre peau, veillant à ce que nous nous attaquons pas à celui qui nous donne des ordres. Nous passions d’un toit à un autre, usant de notre toile organique, nous penchant sur les rebords pour voir, écouter, chercher, nous avons faim… Oui faim d’un jeu, d’un être à briser, écraser, de membres à casser, arracher, nous voulons jouer… Est ce trop demander de tomber sur un petit être usant de dons non humains pour commettre un acte répréhensible qui nous permettrait d’agir et de gagner en respect ainsi qu’en grandeur auprès de ce publique décérébrés à coups de médias trompeurs et de désinformations ? Oh des bruits il y en a, nous voyons une petite bande s’attaquer à un jeune couple, les dépouillant tout en passant à tabac l’homme, mais cela ne nous intéresse pas, ce ne sont que des humains qui ne rentrent pas dans le registre de ceux que je traque et ce qu’il peut arriver à des innocents n’est point une chose qui nous tracasse. Non, qu’ils s’amusent avec leurs victimes, peut-être qu’un pseudo faux héros surhumain viendra faire son travail et nos griffes pourront le saisir par la suite. Mais rien, juste de la violence gratuite et qui en prime n’est même pas excitante. Pathétique. Repartant ainsi, nous commencions à nous énerver de ne rien trouver à nous mettre sous la dent, regrettant presque la période où nous avons attaqué un bus pour y faire un massacre.

Mais alors que nous pensions sombrer dans l’ennui, nous avions remarqué quelque chose de familier, attirant un peu plus notre attention. Curieux nous descendions lentement le long d’un immeuble, profitant de l’obscurité pour rester le plus discret possible dans ces quartiers peu recommandés. Oui, cette femme, nous la connaissons, une amie d’Eddie… Enfin, elle a été bien plus qu’une amie avec lui, ils ont partagé certaines choses de plus intimes mais ils s’étaient perdus de vue en partie à cause de nous. Oh oui, nous nous sommes revus depuis peu et elle sait aujourd’hui qui nous sommes, que nous ne sommes plus juste Eddie, mais bien plus que cela même si elle n’a pas encore eu affaire à nous dans notre entièreté. Peut-être Eddie a t’il peur que nous l’effrayons ? Ou alors que nous lui faisons du mal ? C’est toujours possible, nous aimons tellement faire mal, mais elle s’intéresse trop à nous pour cela, tant qu’elle ne nous rejette pas et semble ainsi avoir besoin de nous, alors nous continuerons à nous intéresser à sa personne. Il nous arrive de nous demander si elle se serait autant intéressée à nous si elle ne semblait point menacée par quelque chose, quelqu’un, notre instinct nous trompe rarement et nous sommes réellement persuadé qu’un danger est présent, la proche d’elle. Mais l’égoïsme qui vit en nous est bien trop présent pour s’être montré curieux envers ses problèmes, voulant qu’elle ne pense qu’à nous. Mais en parlant de cela, alors que nos mains avancent sur la pierre, que nous la suivons en restant en hauteur, la le regard se porte sur quatre hommes semblant eux aussi la suivre, attirant notre attention sur eux. Une démarche assurée, une tenue assez propre, une coiffure nette… Ce ne sont pas des loubards trainant habituelle dans ce quartier. Notre langue remue chaotiquement, tel un serpent, l’amusement nous envahissant en sentant que l’action approche. Oui, ces hommes ne sont même pas des dealers du coin, bien trop clean d’apparence, et l’arme qu’un d’eux est occupée à sortir démontrer qu’ils comptent s’attaquer à cette femme que je fixais. Hommes de mains ? Mercenaires ? Nous nous en foutions de ce qu’ils sont réellement, mais ils font une erreur, s’attaquer à quelqu’un utile à notre personne devant nos yeux, et nous comptons point attendre d’en avoir la preuve dans leurs actes pour les attaquer, non, nous allons intervenir directement à notre façon.

Pressant sur nos quatre membres, nous brisons la brique des murs sous la force pour foncer droit sur nos proies, tombant directement sur le premier, laissant entendre le cri de sa douleur, un craquement au niveau des jambes… Oh oui suave mélodie flattant notre ouïe. Un cri s’échappe de notre bouche dentée, celui de la rage que nous libérons alors que la substance organique nous couvrant s’agite d’excitation, notre main attrape directement le second par le visage, les doigts se refermant pour serrer, serrer alors que le troisième sort son arme, nous tirant dessus. Oh les balles, nous les sentons mais elles ne nous blessent pas, arrêtez par le symbiote alors que nous soulevons l’homme par sa tête avant de venir violemment l’écraser au sol. L’imbécile ne semblant pas comprendre que son arme ne peut rien contre nous vide son chargeur inutilement alors que nous le regardons avec appétit, notre langue caressant nos babines, nos dents acérées. Le quatrième fuit mais directement une toile organique part de notre poignet pour venir l’entraver et le faire chuter. « Personne ne nous fuit… PERSONNE… ». Enchainant nous nous approchons de celui rechargeant, unissant nos deux mains pour les soulever vers les cieux et frapper, frapper, frapper encore l’homme, continuant encore quand il est à terre… avant de reporter notre attention sur le quatrième, lançant une nouvelle toile pour l’attraper à terre et le tirer vers nous, le faisant trainer à terre en retournant vers Al’ya qui semble être leur proie. Oui, nous apportons le survivant à la jeune femme, au cas où elle voudrait lui demander quelque chose avant de mal finir.


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MessageSujet: Re: We are a monster and you like us (Al'ya)   We are a monster and you like us (Al'ya) EmptyMar 26 Avr - 1:11




   

Al'ya & Edward
We are a monster and you like us
La rousse ne laissait plus sa garde se baisser, elle ne savait que trop bien ce qui pourrait lui. Elle l'avait fait subir à des agents du Shield qui n'avait pas eu peur de son visage angélique et qui ne laisse pas croire qu'elle cache un pouvoir plus que dangereux. En effet outre le contrôle des rêves et la perception de la mort, la mutante cache très bien son jeu puisqu'elle contrôle aussi la peur. Pouvant d'un simple regard identifier les peurs les plus profondes de toutes personnes, même les plus entraîné. Elle était capable de faire remonter les pires souvenirs de n'importe qui. Elle avait d'ailleurs pris un plaisir presque malsain au sein d'Hydra à se servir de son pouvoir, finissant par aimer voir les gens la suppliée et hurlé à cause d'une simple illusion. C'était toujours la même chose, le cœur finissait par cesser de battre, laissant leur expression terrifiée gravé a jamais sur leur visage.

Bien qu'elle sache se défendre sans y avoir recours elle serait prête à l'utiliser à n'importe qu'elle moment si cela pouvait la sauver, ou juste lui faire gagner du temps même infime soit-il. En attendant elle essayait de reprendre une vie plus ou moins normal. Elle avait recommencé à travailler au journal, se cacher ne servais à rien. Si Hydra devait la retrouver, il n'aurait pas de mal alors autant resté au milieu d'une foule pour ne pas risquer trop gros enfin c'était ce qu'elle se disait. Ce soir elle venait de finir une interview, elle sortait assez tard du rendez-vous avec un homme d'affaires assez âgés et qui avait l'air de bien apprécier la beauté de la rousse. Qui quant à elle ne souhaitait qu'une chose rentrée chez elle et se reposer un peu. Elle décidait donc d'écourté cette entre vue qui était devenue un vrai cauchemar tant l'homme était lourd. Elle avait du mal à se contenir et ne pas le giflé devant le restaurant plein de gens qui semblaient tous impressionné par lui. Elle n'était plus du genre à être impressionné par l'argent ou un homme comme lui.

Une fois sortie de ce restaurant, elle décidait de prendre le chemin le plus court pour rentrer chez elle. La journaliste passait donc dans un des quartiers chausd de cette grande ville. Sachant très bien qu'elle était suivit, par au moins trois hommes qu'elle avait repéré dans le restaurant. Elle finit par en compter un quatrième. Elle se raidit légèrement, sûrement des agents d'Hydra qui voulait faire bonne impression au retour éventuel de Grant. Mais elle n'était pas sûre que sa mort les fassent rentrer dans les bons sentiments du brun, au contraire. Il voudrait sûrement la tuer de ses propres mains. Sa gorge se serrait soudain à cette idée. Elle n'était pas sûre de s'en sortir si elle venait un jour à se battre contre lui.

Un bruit métallique la tirait soudainement de ses pensées, celui d'une arme. Elle glissait sa main verre son holster prête à riposté au moindre mouvement. Mais lorsqu'elle se retournait la main posée sur son arme, le spectacle fut tout autre. Bien qu'elle ait entendu la brique explosé, elle n'avait pas fait le rapprochement. Elle se détendit soudainement en voyant une forme qu'elle connaissait et à laquelle elle s'intéressait beaucoup ses derniers temps : Venom. Elle savait très bien qu'il n'était pas que cela, c'était aussi Eddie. Une personne qu'elle avait connue il y a déjà un petit moment mais qui l'avait marqué. Alors aujourd'hui elle était assez fascinée par lui, par ce qu'il était devenu. Elle n'était pas terrifiée loin de là, voilà une des choses qui l'impressionnait et non pas le vieux riche qu'elle avait vu peu de temps avant.

Elle laissait sa main retombée le long de son corps et sa veste recouvrir son arme. Elle le regardait faire, se déchaînant sur ses hommes tandis que l'un d'eux sortis son arme. Elle fut surprise et voulu faire quelques choses pour l'arrêter ne sachant pas si les balles feraient quelques choses ou non. Mais elle se rendit bien compte qu'elle ne faisait absolument rien. Elle sentait la terreur ambiante, celle de ses agents qui n'avaient aucune idée de ce qui les attaquait et qui ne savait qu'une seule chose que leur mort ne serait pas rapide et indolore bien au contraire. Elle eut un léger sourire, c'était comme avoir une décharge d'adrénaline dans le corps, elle en eut même un frisson.

Elle regardait les agents se débattre bien qu'elle sache que cela était inutile qu'il n'avait aucune chance de gagner face à lui. La rousse fut tout de même surprise de le voir en garder un vivant et de l'amener vers elle. Elle fit un fin sourire à Venom avant de regarder l'homme. Elle prit une courte inspiration. Avant d'entre ouvrir les lèvres, prononçant d'une voix calme et poser, le tout accompagné de son accent italien qui ne la quittait jamais.

« - Pourquoi es-tu là ? Me tuer ou me ramener ? »

L'homme la regardait fixement avant de rire légèrement, ce qui agaçait profondément l'ancien agent d'Hydra. Elle ne put s'empêcher de le giflé bien assez fort pour lui faire cracher un peu de sang au sol.

« - Je ne me répéterait pas une nouvelle fois. »

Les yeux qu'il posait sur elle, étaient pleins de haine, il n'avait pas aimé se faire frapper par une femme, qui plus était plus jeune que lui et sûrement moins entraîné que lui. Mais elle lui avait fait mal autant physiquement qu'à son égo. Tant mieux, c'était ce qu'elle voulait qu'il réagisse.

« - Pour te tuer sale garce ! Et rendre un grand service a Hydra ! »


Elle soupirait légèrement, c'était donc bien ce qu'elle se doutait, il n'avait pas reçu d'ordre. Il l'avait décidé de leur propre chef et ceux en espérant que cela leur rapporte un bon point. Elle le regardait avec mépris. Ce qui suivit fut une chose à laquelle elle ne s'attendait pas le moins du monde. Il réussit d'une manière qu'elle ne comprit pas à a se libéré assez de l'emprise de son bourreau pour se redresser et frapper deux fois la demoiselle. Une fois au visage entaillent sa lèvre et la seconde fois au niveau de l'abdomen arrachant au passage un peu de tissu du chemisier de celle-ci, sans compter les deux boutons qui sautèrent à leurs tours. Elle fut secouée enfin surtout surprise qu'il se permette cela mais elle ne vacillait pas bien qu'elle fit quand même un pas en arrière. Elle portait ensuite sa main à sa bouche, effleurant du bout de ses doigts fin le sang qui coulait de sa lèvre


   
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MessageSujet: Re: We are a monster and you like us (Al'ya)   We are a monster and you like us (Al'ya) EmptyMar 26 Avr - 15:04


We are a monster and you like us


Al'ya & Venom ▽ Nous te connaissons, il te connait, nous étions proches, et tu es fascinée par nous
Offrant ce pauvre gibier à cette femme que nous connaissons, c’est dans le calme que nous regardons, écoutons, la laissant interroger cet être ennemi. Notre langue passe sur nos babines, flattant nos dents acérées, nos poings se resserrent alors que notre attention se porte sur ce qui est conté, sur celle-ci demandant ce que lui veulent ces agents. Un Rire ? Humain pathétique et fou, il ne devrait pas rire, pour cette peine nous lui arracherons la langue une fois l’interrogatoire terminé. Un rire s’échappe cette fois ci de nous quand elle le frappe, elle a bien raison il faut savoir s’amuser un peu avec la violence, c’est bien la violence, c’est bon même et puis c’est une façon très agréable de se libérer. L’homme haineux nous met en appétit par ses émotions fortes, nous l’écoutons alors déclarer ses intentions, mettre fin aux jours d’Al’ya, parlant au nom d’un certain Hydra. Nous ne connaissons pas bien cet Hydra en dehors du faite qu’ils étaient un temps avec le SHIELD, qu’ils ont permis notre libération du Fridge, mais cette agence ne nous concerne pas, ni nous touche. En tout cas maintenant nous savons que cet Hydra veut la mort d’Al’ya, envoyant des agents armées pour une exécution, non une agression, c’est un détail qu’il nous faudra noter dans notre esprit pour agir en temps voulu si nous retrouvons d’autres membres de cette faction particulière. Mais alors que nous pensons justement à nos futures actions face à cette découverte, l’homme s’est libéré, frappant Al’ya sans se contenir.

A peine celle-ci touchée, notre main attrape la tête de l’homme, les doigts serrant ce crane pour le retenir et l’attirer à nous. Nous crions sur son visage, de la salive valsant sur sa peau, notre langue flattant presque au passage alors que les crocs sont si proches. « Erreur pathétique chose. » Pour lui signaler que son acte est une faute qu’il va payer et de nos deux mains nous attrapons sa bouche, tirant pour arracher la partie inférieure de sa mâchoire, la jetant à terre une fois détachée du reste de sa tête pour s’attaquer à cette langue que nous arrachons comme nous nous l’étions dit. « Adieu… »  Nous envoyons une toile sur l’intégralité de son visage, bien accrochée à lui pour le lâcher et le regarder se débattre, le voir tenter de le retirer de son visage, en rajoutant une nouvelle par dessus les mains qui tentent d’arracher celle l’étouffant, l’empêchant totalement de se libérer et c’est avec un sourire malsain, vicieux, pervers, que nous admirons son agonie, ce moment où l’homme se retrouve privé d’air, étouffant petit à petit en voyant sa vie disparaître, ses mouvements devenant de plus en plus lent alors qu’il perd ce combat pour finir par n’être plus qu’un cadavre de plus. Pas besoin de cacher ce genre de corps, ce sont des agents d’Hydra, des personnes armées avec surement des papiers sur eux qui mèneront la police ou le gouvernement sur leurs origines douteuses. Nous n’avons pas besoin de faire disparaître ces morts, surtout dans un tel quartier. Nous pouvons enfin redonner toute notre attention à la femme rousse au chemisier déchiré, celle qui a été menacée et frappée par ces êtres qui n’avaient pas choisis le bon jour pour s’en prendre à elle.  


Peut-être que d’autres agents trainent ici, peut-être qu’ils ne sont qu’une première vague ou qu’un tireur d’élite est planqué quelque part sur un toit, à une fenêtre. Il y a bien de possibilités venant d’exécuteurs, ou alors ils étaient juste seuls, présents uniquement en pensant qu’ils suffiront pour tuer cette jeune femme. Ne voulant pas réellement y réfléchir, nous l’agrippons soudainement, un bras passant autour de sa taille pour venir la coller contre nous, épousant notre corps alors que nous courrons avant de pousser sur nos jambes de toutes nos forces pour bondir en hauteur, lançant une toile organique vers les hauteurs après cette prise d’élan, lâchant la dite sangle de toile organique pour en lancer une nouvelle sur un autre immeuble et nous balancer ainsi pour voyager rapidement hors de la dite zone, emmener cette femme, amie, amante, autre,… hors du lieu de la menace précédente, doutant que nos ennemis arrivent à nous suivre dans ces conditions. Ainsi, changeant de quartier, nous atterrissons sur un toit, toujours avec Al’ya captive de notre bras. Quand nous la relâchons c’est pour nous rendre sur le bord de ce toit, vérifier les horizons, juste scruter en bas si une voiture roulerait vite vers notre direction, tenter de voir si il y avait la possibilité que nous ayons été suivis. Ne voyant rien d’intéressant, ne remarquant aucun ennemi potentiel, nous nous tournons vers la jeune femme décoiffée par le voyage. « Pourquoi Hydra, que veut Hydra ? » Nos mots sont durs et froids, ils sont les paroles de Venom, un être aux émotions poussées à leurs extrêmes, un être fait de rage et de haine dont l’agressivité est toujours bien présente, même avec une proche. Nous nous rapprochons d’elle sans la quitter de notre regard, attendant une réponse quand Eddie se défend un peu, essayant de nous faire comprendre que nous étions trop brutal, que nous devions lui laisser un peu la place, le contrôle pour le moment. Nous n’aimons pas quand Eddie prend la relève, mais nous partageons tout, il a droit aussi pour certaines raisons d’être juste lui. Enfin, il n’est jamais juste lui car nous sommes toujours présents. Mais comme il le demande, il le désire, nous lui laissons prendre le dessus.

La matière symbiotique glisse sur ma peau, venant former des vêtements d’apparences classiques mais gardant cette tête foncée digne de Venom, le symbiote devenant un jeans, des chaussures et une chemise ouverte, voulant donner ainsi à ma personne une apparence simple qu’Al’ya connaît bien, l’apparence de l’homme qu’elle a connu dans le passé avec un style vestimentaire de cette époque. Oui le Symbiote ayant totalement accès à ma mémoire, il sait exactement ce qu’il fait, ce qui plait et rassure la jeune femme, redevenant juste Eddie Brock en apparence. J’ouvre mes yeux que je pose sur elle me rapprochant en passant le pouce sur sa lèvre, à coté de la petite plaie que je regarde. Rien de grave c’est déjà cela. « Qu’est ce qu’ils te veulent ? Enfin, j’ai compris qu’ils cherchent à avoir ta peau mais pourquoi ? » Oui, il serait temps qu’elle et moi discutions un peu de cette affaire, surtout comprendre si il va falloir traquer un peu de l’Hydra pour s’amuser ou si c’est un événement isolé lié à une affaire journalistique qui aurait été trop loin. « Où as-tu pu fourrer ton nez pour t’attirer des ennuis avec Hydra ? » Pensant pour le moment que c’est lié justement à une affaire professionnelle, après tout rien ne peut me dire qu’elle est une ancienne agent de ce groupuscule qui ne m’a jamais intéressé avant aujourd’hui. Ma main effleure sa joue lentement, reprenant des gestes d’antan, après tout Al’ya ne m’a jamais rejeté, ni moi, ni Venom… A l’inverse de Parker, de Jameson, de mon ex femme. Elle est restée une proche à toutes les époques et tout moment. Maintenant j’attends juste de savoir la vérité à ce sujet, profitant de ce toit, du ciel dégagé, prêt à partir ailleurs si elle en a besoin, de trouver un lieu plus calme ou sécurisé.
(c) AMIANTE

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MessageSujet: Re: We are a monster and you like us (Al'ya)   We are a monster and you like us (Al'ya) EmptyMer 27 Avr - 2:13




   

Al'ya & Edward
We are a monster and you like us
La jeune femme n’était pas prête à se faire frapper. La surprise avait été entière, surtout que cet homme venait de signer son arrêt de mort en faisant une chose pareille, elle ne savait pas que ses anciens collègues pouvaient être aussi stupides parfois, enfin même tout le temps. Comment avait-il pu croire que quatre hommes seraient suffisants pour la stopper, enfin surtout pour la tuer. Il n’avait donc pas appris de la fois où elle avait été agressée par l’un des leur en pleine assemblée et ce devant Grant. Elle avait fait plier et hurlé un homme qui avait été ensuite tué. Alors comment pouvait-il croire qu’il allait l’arrêter ? Elle n’en savait rien, surement un excès de zèle. Elle avait montré plus d’une fois de quoi elle était capable, enfin surtout lors de sa première rencontre avec son chef, tuant des agents du Shield sans même laisser paraitre quelques choses, faisant exploser le cœur de certains tranchant la gorge d’autre. Cela n’avait pas été un problème pour la mutante.

Elle ne savait pas si l’arrogance de cet homme n’était pas tous simplement une preuve de sa stupidité. Quoi qu’il en soit, l’homme ne fut pas long feu. En effet, le symbiote noir l’attrapait quelques secondes seulement après que son dernier coup se soit abattu sur la peau pale de la rousse. Elle en garderait des traces mais pas pour bien longtemps. Lui par contre n’aurais pas le temps d’avoir des traces puisqu’elle voyait déjà la masse noire face à elle se déchaîner sur cet homme en costume. Elle ne détournait pas le regard de l’horreur qui se jouait devant elle. Même si elle avait rarement vu un tel déchaînement de colère. L’agent se débattit sans comprendre que cela était inutile, que sa mort était plus que proche.

Bien qu’elle connaisse peu de choses sur Venom, elle était tout de même étonnée. Son geste n’avait juste été de tuer des hommes pour le plaisir mais il l’avait pour la protégée. Elle se demandait alors si Eddie y était pour quelques choses ou non. Ils avaient partagé certaine chose qu’elle ne regrettait pas bien au contraire. C’était aussi pour cela qu’elle avait voulu renouer le contact avec lui. Elle pensait pas mal à lui ses derniers temps.

Elle fut tirée de ses pensées par un bras qui vint l’attraper par la taille et la plaque contre lui. Elle ne sut que faire à cet instant, mais en sentant le mouvement son réflexe fut de s’agripper a lui. Bien qu’elle espère qu’il ne la laisse pas tomber. Elle fermait donc les yeux se laissant porter sans savoir où il l’emmenait. Une fois arrivé sur le toit, lorsqu’il la lâchait, la rousse était un peu secouée. Elle eut besoin de reprendre un peu son souffle. Passant rapidement une main dans ses cheveux qui avait été totalement décoiffée par le voyage quelque peu mouvementé. Elle vit alors la masse noire revenir vers elle. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il lui parle, en tout cas pas avec autant de froideur. Elle ne put vraiment cacher sa surprise. Elle entre ouvrit la bouche, mais aucun son ne sortait ne sachant pas quoi dire. Ni comment explique le pourquoi du comment. Aller lui dire que la rousse si innocente qu’il avait connue était devenu un agent à la solde d’Hydra jusqu’à qu’elle soit laissée pour morte. Et qu’elle avait donc par conséquent tué pas mal de monde et participé à des missions qui avaient pour but de détruire le Shield ou du moins de les affaiblir.

C’est alors que cette masse toi effrayante enfin pas tant pour la rousse se transformer en quelques choses enfin plutôt quelqu’un qu’elle connaissait bien. Une vague de souvenir l’envahie à cette vision, comme un fantôme du passe mais qui était bien présent. Elle se souvenait de la chaleur de leur corps entremêlé, de ses caresses provocant presque instantanément un feu sur la peau de la journaliste. Elle le regarder avancer vers elle, se jeter dans ses bras avait été une des idées qui lui était passée par la tête à cet instant. Le contact avec lui n’arrangeait rien, rendant toute concentration bien plus difficile.

Elle finit par relever les yeux, la question était la même que celle de Venom mais posé de manière bien plus douce et bien plus délicate. Malgré tout elle mit tout autant de temps à pouvoir faire sortir un son de sa gorge. Savourant d’abord quelques secondes le contacte de sa main sur sa joue avant de finalement se lancer. Au pire, il la laisserait ici, abandonné à son sort.

« - Tu … Tu n’es pas le seul à avoir bien changé … J’ai fait un choix il y a déjà quelque temps qui m’a conduit a devenir bien plus forte, plus courageuse et bien plus puissante mais tout à un prix. Pour devenir ce que je suis aujourd’hui je … j’ai dû rejoindre Hydra … »

Elle marquait une courte pause pour lui laisser le temps de bien comprendre ce qu’elle disait avant de reprendre.

« - Je n’avais jamais pensé que cela me conduirait à me faire capturer et torture pendant des mois, avant d’être récupéré par le gouvernement … J’ai donc quitté en quelques sortes Hydra, sauf qu’on ne quitte pas Hydra … Enfin si mais il n’y a qu’une seule manière de le faire. C’est mort. »

Elle n’avait rien de plus à rien, ne voulant pas parler de ses pouvoirs. Elle ne pouvait pas non plus tout déballer et puis elle savait très bien qu’il travaillait pour le gouvernement et qu’elle n’était pas recensée. Elle ne voulait pas le faire d’ailleurs. Elle baissait alors la tête avant de s’écarter un peu, imaginant qu’il la repousserait ou qu’il aurait serait en colère. Enfin comme tout le monde l’avait été au paravent. Même si elle espérait au fond qu’il ne la repousse pas et qu’il ne la laisse pas. Elle n’était pas sûre de le supporter.


   
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MessageSujet: Re: We are a monster and you like us (Al'ya)   We are a monster and you like us (Al'ya) EmptyJeu 28 Avr - 11:21


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Al'ya & Venom ▽ Nous te connaissons, il te connait, nous étions proches, et tu es fascinée par nous
Nous ne sommes ni totalement mauvais, ni bon, nous sommes un flot d’émotions fortes pouvant nous pousser vers des actes bons comme destructeurs, mais souvent nous sommes violence car nos gestes sont guidés par la colère et la haine qu’a créé en nous un seul homme. Quand la mort frappe l’agent d’Hydra, c’est avec une violence que nous déchainons, même si la raison de notre colère est un geste protecteur, la réaction est sans retenue, sans douceur ni compassion, celle d’un monstre déchainé qui ne montre aucune étincelle d’humanité face à la souffrance. Non en faite c’est pire que cela, nous nous nourrissons de sa souffrance, une émotion si forte et puissante qu’elle nous satisfait, c’est pour cela que nous sommes dangereux… Même pour nos proches… Nous suivons les désirs, les impulsions du moment, nous sommes instables et agressifs, nous sommes imprévisibles. Tout comme nous n’avions pas prévenu Al’ya avant de l’embarquer avec nous, de la prendre sous notre bras pour l’emmener au travers de la ville jusqu’à un toit égaré, sans lui avoir demandé si elle avait le vertige ou pourrait connaître un malaise face à cela, nous agissons simplement en suivant notre instinct et nos envies de l’instant, sans réfléchir aux conséquences. La seule chose que nous avons fixé est de travailler pour le Général Ross car ce dernier nous permettait d’agir, nous faisait passer pour héros alors qu’il nous demandait d’agir simplement comme nous sommes mais contre les ennemis du Gouvernement, contre les ennemis de la loi du Surhuman Registration Act. Mais la bas, Eddie nous a demandé de le laisser prendre la situation en mains, nous avions accepté car notre symbiose est actuellement que harmonie, ne nous obligeant jamais de forcer la prise de contrôle.

En reprenant la place, devant elle, j’espère surtout la rassurer, qu’elle se libère plus facilement mais surtout ne pas l’effrayer car je sais que Venom, même en voulant agir dans un sens positif, peut se montrer violent, froid et agressif. Il faut dire que cet être ne parle qu’au travers de la haine que je ressens et qu’il ressent, une haine qui est chaque jour plus forte. D’ailleurs, je dois avouer, cette haine me fait vivre, survivre, elle m’alimente et m’a donné une raison de continuer à me tenir debout alors qu’avant de rencontrer le 998ème, j’étais à genoux devant la Saint Vierge, priant pour mon âme avec une arme en main, prêt à me tirer une balle pour faire éclater ma cervelle et cesser de souffrir. Je me montre plus posé que lui, la caressant comme dans le temps pour venir la rassurer, lui rappeler que j’avais déjà été la pour elle dans le passé et que je le suis toujours aujourd’hui, même si beaucoup de choses ont changé chez moi. Elle se confie alors que ma main passe encore un peu sur sa joue, que mon regard se pose sur elle, me parlant des changements qu’elle a connus, un changement pour la rendre plus grande dans ce monde mais avec un cout qui semble ne pas réellement la satisfaire. Au début je ne comprends pas bien, si elle a rejoint Hydra, pourquoi cette institution envoie des hommes pour l’abattre ? Je ne dis rien pour la laisser parler, haussant un sourcil quand elle parle de capture et de torture, me rappelant mon séjour au Fridge entre les mains du SHIELD.

« Qui ? » Premier mot qui sort depuis qu’elle se confie, qui l’a capturé et torturé ? Qui lui a fait subir ce genre de traitement ? Hydra lui même ? Une autre Agence ? Le SHIELD ? Qui est celui ou ceux qui vont devoir répondre de ces actes et me permettre de me défouler en libérant rage et violence justifiée. Mais je ne dis pas plus pour le moment, pas besoin de donner de détails, ma question était claire, nette et précise. Ecoutant alors celle ci exprimer qu’Hydra n’accepte pas réellement de démissions sans préavis, ni même avec préavis, mais Hydra ne me fait pas peur comme aucune agence de ce monde, aucun groupuscule, la peur n’est pas présente dans mon sang aujourd’hui, elle a été balayée par la présence du 998ème. « Pour cela qu’ils te traquent ? Pour te tuer ? » Pourquoi perdre du temps à traquer un ancien membre ? Sauf si cette personne connaît des secrets dangereux pour le groupe, mais n’est ce pas mieux d’oublier justement celle qui disparaît pour la laisser faire refaire sa vie ? Car en la traquant, ils vont la pousser à chercher de l’aide, à se confier justement à des ennemis au lieu de juste vouloir disparaître de la circulation pour trouver la paix.

Je sens en moi le symbiote qui vibre, qui rage, qui s’énerve quand elle recule, me faisant ressentir une forme de rejet… Elle va me tourner le dos parce qu’elle a été chez Hydra ? Parce que je travaille pour Ross ? Je sens la colère qui remonte dans mon sang et mes veines, mes muscles se crispant, mais je retiens encore un peu le symbiote, ne laissant pas Venom revenir de suite au cas où c’est un quiproquo, mais ce geste de recule passe assez mal dans mon corps. Je refais un pas vers elle, agrippant son poignet avec force, pas trop mais quand même un geste brusque dévoilant que je n’aime pas ce recul soudain. « Et qui sont ces hommes qui te traquent ? Ils sont envoyés par qui ? que Nous nous amusons un peu. » Oui ma voix change un peu en parlant, cela arrive quand Venom parle, surtout quand cela sous entend un massacre à venir, du sang à faire couler, des vies à arracher. « As tu pensé justement à te faire passer pour morte ? Tu pourrais simuler celle-ci d’une façon ou d’une autre face à des témoins pour qu’Hydra te laisse en paix, vivre un peu cachée le temps qu’ils t’oublient ? » Après tout, pourquoi pas ? C’est une façon de faire comme une autre non ? Combien d’être ont joué le jeu de la mort pour disparaître, changer de nom ou d’identité, vivre une vie sans avoir une épée Damoclès toujours au dessus de sa tête. « Hydra n’est plus aussi forte qu’avant, elle est grandement affaiblit, il est certain qu’ils ne pourraient pas perdre des forces à chasser une personne morte alors que bien des regards les traquent. » Dis-je en l'attirant contre moi pour calmer Venom en moi.

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