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 (amora) we master all that lies before.

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MessageSujet: (amora) we master all that lies before.   (amora) we master all that lies before. EmptyJeu 19 Nov - 21:12


We master all that lies before.
Amora Incantare.


Doomstadt, Latvérie.

De tous les pays d'Europe, la Latvérie se démarquait. Premièrement pour son incroyable avancée technologique et scientifique, ensuite pour le mode de vie de ses habitants. Ils respectaient leur leader, certains l’idolâtraient, ils n'était pas rare que le monarque reçoivent de nombreux présents. Une dictature parfaite, légère, masquée par l'égalité et l'ordre. Un royaume presque utopique. Doom était fier de ce qu'il avait accompli et jamais il ne cesserait de l'être. Il avait transformé la Latvérie, il l'avait remodelée à son image et avait libéré les opprimés. Toutefois, sa politique étrangère était à revoir - blâmez les Quatre Fantastiques et leurs maintes et absurdes interventions pour cela. Il avait certes tenté de conquérir le monde - et non pas de l'asservir, ces deux concepts ne sont certainement pas à confondre - mais ces quatre maudites personnes avaient toujours réussi à mettre un terme à ses entreprises, sans doutes avaient-ils oublié que la conquête était le propre de l'homme, sans doutes étaient-ils trop naïfs pour comprendre cela ? Richards était crédule, effroyablement crédule, il ne cessait de croire en Victor Von Doom, malgré toutes les batailles qui les avaient séparé, de la State University jusqu'à leurs plus récentes querelles. Il pensait pouvoir changer Doom, mais Doom n'était pas à changer, ses intentions étaient déjà pures, il voulait le bien de l'humanité, mais pour arriver à cela, il fallait faire de nombreux sacrifices et se salir les mains. Ils ignoraient cette sensations, cette impression impression d'être rongé jusqu'à la moelle par l'impureté et l'imperfection. Ils n'étaient certes pas parfaits, mais ils pouvaient vivre sans remords, l'échec n'était pas gravé sur la chair de leur visage. Ils menaient une vie futile, frivole, ils ignoraient ce qu'était la souffrance et la fatalité. Les américains étaient privilégies dans leurs tours de cristal, ils ne savaient pas à quel point patauger dans le bourbier était une sensation méprisable. Indigne. Son regard balaya l'horizon. Le soleil était à son zénith, il faisait scintiller les toits rutilants des maisons en contre-bas du château. Le vent soufflait bruyamment aujourd'hui, les bourrasques étaient presque tiède, malgré l'hiver. Le monarque attendait de la visite, l'un de ses gardes robotiques l'avait prévenu quelques minutes plus tôt. « Amenez-la. » avait-il ordonné froidement. Il était perplexe, il détestait que les asgardiens de mêlent de ses affaires, mais ils semblaient tous avoir un don pour cela. Ainsi il se retrouvait à attendre L'Enchantresse, une vieille connaissance en laquelle il n'avait nullement confiance. Il était agacé, elle allait probablement lui faire perdre son temps, mais il devait l'interroger, nul ne se retrouvait en Latvérie par hasard. Il valait mieux pour elle qu'elle ait une bonne raison de se rendre dans ce pays.

Sa main métallique se crispa sur la balustrade, il n'aimait pas attendre. Il avait demandé à ses gardes d'agir avec diplomatie et clémence - ce qui n'était pas dans son habitude, il le fallait avouer - parce qu'après tout, l'invité n'était pas n'importe qui. Malheureusement. Il se mit alors à avancer en direction de la porte principale de son château : il comptait bien l'accueillir lui-même afin qu'elle comprenne d'emblée qu'elle n'était pas la bienvenue ici. Sa politique étrangère était à revoir, mais il ne supportait pas être dérangé et encore moins d'être dérangé par ces agaçants asgardiens. D'un impétueux mouvement de main, il ouvrit les portes une à une, son pas était rapide, déterminé et sa longue cape verte flottait gracieusement derrière lui. Lorsqu'il arriva enfin près de l'entrée principale, il ouvrit l'immense grille. Le froid s'engouffra à l'intérieur de la pièce, les épais rideaux de velours se soulevèrent. Il fit quelques pas dehors, agacé. L'avantage à porter un masque était qu'elle n'avait pas à savoir ô combien sa venue l'importunait. Victor Von Doom n'était pas hypocrite, loin de là, à vrai dire, il ne mentait presque jamais, cela allait à l'encontre de son code d'honneur, toutefois, il savait se taire et dissimuler ce qu'il savait. Il prit une profonde inspiration et avança jusqu'à ses gardes. Il les ignora. Il se concentra plutôt sur l'invitée qui n'avait absolument pas changé depuis leur dernière rencontre. « Amora. L'Enchanteresse. »  commença-t-il froidement. Le ton n'était pas désagréable, il était toutefois dénué d'émotions. « Puis-je savoir ce qui amène une Asgardienne en mon Royaume » demanda-t-il sur le même ton. Il la toisa, ses yeux bruns la fixaient avec dédain, néanmoins, il lui fit signe de la suivre à l'intérieur du château, ils n'allaient pas discuter dehors après tout ?
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MessageSujet: Re: (amora) we master all that lies before.   (amora) we master all that lies before. EmptyVen 20 Nov - 9:37


         

         

         Amora Incantare & Victor Von Doom
         We master all thath lies before.

     New York me semblait bien loin aujourd’hui. J’avais fait de nombreux kilomètres pour me retrouver en Europe et plus particulièrement dans un petit pays du nom de la Latvérie. J’avais réussi à traverser la frontière grâce à mes dons magiques, mais je savais très bien que tôt ou tard, le Monarque lui-même allait prendre connaissance de ma venue et prendre les dispositions nécessaires. C’était mon but, car j’avais envie de le rencontrer, à nouveau. Ce pays était bien différent de New York et de sa chaleur rayonnante. Ici, il y régnait un climat plus froid qu’aux États-Unis. J’avais appris que sur ce Royaume, tous les pays ne possédaient pas le même climat suivant leurs dispositions sur cette petite planète bleue. Mais qu’il fasse chaud ou qu’il fasse froid, cela m’importait peu puisque je ne ressentais pas les écarts de température, ce qui me permettait de porter des robes toute l’année et de rester gracieuse aux yeux des personnes que je rencontrais. Le Monarque n’allait pas échapper à mon petit numéro même si… Il n’allait certainement pas être heureux de me voir en ces lieux. Mais ça, ça m’importait peu, il allait certainement m’accepter, ne voulant pas déclencher un conflit ouvert. Oh… Je n’étais pas en train de sous-estimer Fatalis, loin de là… Il était un homme très puissant et qui manipulait des forces plus grandes que lui. C’est pourquoi je m’en méfiais bien que je le considérais comme inférieur à moi. Oui, j’avais mon petit égo également.

Des gardes vinrent à ma rencontre alors que l’on entendait mes talons résonner dans une ruelle. Un petit sourire s’afficha à mon visage lorsque je sentis le ton diplomatique de cette visite attendue. Bien entendu, j’acceptai leur demande de me rendre au château du Monarque. Je me fis donc escorter jusqu’à la grande demeure du dirigeant de la Latvérie. Ce dernier était présent et m’accueillit à l’entrée de son édifice. Le ton qu’il employait était dénué d’émotions et je sentais bien qu’il n’était pas vraiment très heureux de m’accueillir chez lui. Il voulait savoir ce que je faisais ici en me faisant tout de même signe de me suivre à l’intérieur, car le vent était tout de même très présent ici. Une fois à l’intérieur, je fis quelques pas en regardant aux alentours. Ce château était grand, mais il était bien austère. Cela ne ressemblait pas du tout au palais qui serait un jour le mien, à Asgard.

« Moi aussi, je suis heureuse de te revoir, Victor. » Non, pas de Fatalis, ni de Monarque ou encore un autre surnom. Autant ne pas trop flatter son égo même s’il l’avait fait avec moi. Je tournai les talons pour lui faire face, un petit sourire à mon visage. « Ton Royaume est bien froid. Je lui apporte un petit vent de chaleur en ma présence. » Dis-je en chassant gracieusement une mèche de cheveux qui se trouvait devant mon visage. « Crois-tu que je viens avec de mauvaises intentions ? Hum… C’est vrai que c’est mon genre. Mais pas cette fois. Disons que j’ai toujours apprécié le fief du Monarque de la Latvérie. » Dis-je avec un petit sourire en posant mes yeux sur ce dernier. Combien d’hommes et de femmes craignaient ou admiraient le Monarque ? Pour moi, c’était bien différent.


       


         
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MessageSujet: Re: (amora) we master all that lies before.   (amora) we master all that lies before. EmptySam 21 Nov - 19:35


We master all that lies before.
Amora Incantare.


Doomstadt, Latvérie.

Cette femme était profondément irrespectueuse, l'arrogance était un trait de caractère assez commun chez les membres de son espèce. Le monarque les trouvait peu évolués, malgré leur immortalité, leur technologie demeurait archaïque et simpliste. À la portée d'un enfant. Leur ignorance concernant les sciences étaient aberrante, ils se contentaient d'utiliser la magie, mais cela n'était pas suffisant. Les arts mystiques combinés aux sciences offraient un pouvoir presque sans limites, mais leur désir de constance les empêchait d'avancer. Ils étaient la preuve même que l'immortalité était vaine et ne menait qu'à la corruption. C'était un véritable gâchis. Il fit quelques pas à l'intérieur du château, invitant poliment - quoique sarcastiquement - la blonde à le suivre. Il n'avait pas l'intention de converser dans l'entrée du château, sa patience avait déjà été mise à rude épreuve aujourd'hui et il comptait désormais faire de cette désagréable entrevue un moment digne du nom de Victor Von Doom. À vrai dire, il se fichait magnifiquement de qui elle pouvait être, il se serait comporté de la même façon avec n'importe quel autre individu perturbateur un tant soit peu palpitant - à l'exception de Richards et ses pitoyables amis, bien entendu. « Moi aussi, je suis heureuse de te revoir, Victor. » dit-elle. Il  cessa de marcher, lui fit volte face, arqua un sourcil et la jaugea quelques instants. Victor. Elle était loin d'être la seule à l'appeler ainsi , il ignorait pourquoi ses rivaux pensaient que l'utilisation de son prénom pouvait le déstabiliser. Rien ne pouvait déstabiliser Victor Von Doom. Toutefois, il ne répondit pas à ses sarcasmes, il n'avait aucune envie de jouer à ce jeu puéril. « Ton Royaume est bien froid. Je lui apporte un petit vent de chaleur en ma présence. » ajouta-t-elle. Une nouvelle fois, il haussa un sourcil. Son impertinence était décidément sans limites. Il prit une profonde inspiration et la toisa avec dédain. « Crois-tu que je viens avec de mauvaises intentions ? Hum… C’est vrai que c’est mon genre. Mais pas cette fois. Disons que j’ai toujours apprécié le fief du Monarque de la Latvérie. » termina-t-elle. Il était agacé et brûlait d'envie d'ordonner à ses gardes de se débarrasser d'elle, mais elle pouvait se montrer utile, il allait devoir prendre sur lui. « Je n'ai que faire de ta soi-disant bonté, Enchanteresse. Garde tes balivernes pour une personne qui sera suffisamment dupe pour les croire. » tonna-il froidement. Il lui tourna de nouveau le dos et avança en direction du salon le plus proche de l'entrée. Le château était immense, mais il connaissait chaque pièce, chaque recoin et savait précisément où se trouvait chaque objet. Les murs des couloirs étaient recouverts de tableau, principalement de toiles de maîtres immensément couteuses et de portraits de sa mère. Doom regarda droit devant lui, il n'avait pas le temps d'être nostalgique, il avait une femme à interroger.

Il ne tarda pas à arriver dans le salon du rez-de-chaussée. La pièce était richement décorée et bien plus accueillante que les couloirs froids et l'entrée austère. Les salles principales du château étaient volontairement lugubres, cela impressionnait les misérables rebelles qui s'opposaient à l'ordre qu'il avait instauré. Comment osaient-ils ? Après tous les sacrifices qu'il avait fait, comment pouvaient-ils oser se dresser face à lui ? Le monarque se tourna vers l'asgardienne et l'invita à prendre place sur le canapé en cuir noir qui trônait au centre de la pièce. Quant à lui, il s'assit sur l'unique fauteuil qui se trouvait près de la cheminé. Il se tourna élégamment vers l'immortelle. « Puisque tu ne sembles guère avoir compris ma question, je vais gracieusement la répéter : puis-je savoir ce qui amène une Asgardienne en mon Royaume ? » siffla-t-il sur un ton aussi agacé que menaçant. Le souverain avait décidé de se montrer clément et diplomate afin de lui faire comprendre ô combien le Royaume de Latvérie était un endroit hautement civilisé, à l'inverse d'Asgard et de ses habitants rustres et discourtois. Il posa sa main sur l'accoudoir du fauteuil de velours et examina la blonde en prenant l'air le plus suffisant possible. Pour qui se prenait-elle ? Doom avait déjà exécuté des dieux et mis des entités cosmiques à ses pieds, il valait mieux que l'Enchanteresse reste à sa place si elle ne voulait pas subir le courroux du Monarque Latvérien. Cependant, il garda son calme et la toisa davantage. Il se pencha doucement vers elle et plongea ses yeux dans les siens. « Désirerais-tu boire quelque chose ? » demanda-t-il sur un ton faussement chaleureux. Il se redressa, un rictus sarcastique sur le bout des lèvres. L'après-midi s'annonçait splendide et divertissante.
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MessageSujet: Re: (amora) we master all that lies before.   (amora) we master all that lies before. EmptySam 21 Nov - 22:31


         

         

         Amora Incantare & Victor Von Doom
         We master all thath lies before.

     L’atmosphère était aussi électrique qu’un assaut de Mjöllnir. Cela se sentait que Victor Von Doom ne pouvait pas me sentir. Et franchement, je le lui rendais bien. Je m’étais montrée quelque peu insolente à son égard, car je ne lui offrais aucun traitement de faveur, du moins… Tant qu’il ne changerait pas le ton avec moi. Et pourtant, nous pourrions accomplir de grandes choses, tous les deux. Bizarrement, je ne trouvais pas beaucoup de Midgardiens intéressants, mais Fatalis… Disons qu’il était une exception. Il savait manipuler les arts mystiques et il était plongé dans la science Midgardienne, ce qui le rendait très puissant et craint de ses ennemis. Il me fit signe de le suivre et je ne me fis pas prier, scrutant les environs de ses moindres détails, faisant raisonner mes talons à chaque pas sur le sol glacial de son immense château. Cette demeure était bien froide, bien différente de la Cité d’Or. Je trouvais même cet endroit un peu triste, mais je n’étais pas certaine qu’il apprécie que je le remodèle à mon idée. Pourtant, lui et moi aimions le vert.  Cela nous faisait au moins un point commun. Était-ce le seul ? C’est ce que j’allais découvrir bientôt. Il m’invita dans une pièce qui allait certainement être le lieu de nombreux échanges verbaux. Il m’invita à m’installer sur le canapé en cuir noir qui se trouvait au centre de la pièce. Je vins donc m’installer doucement en croisant mes jambes avant de poser mes yeux sur le monarque qui s’était installé sur un fauteuil, près d’une cheminée. Il prit la parole en me reposant une question qu’il m’avait déjà posée et je sentis son ton quelque peu agacé parce que je ne lui avais pas encore fourni une réponse. Je fis un petit sourire sans rien ajouter alors qu’il me proposait un rafraichissement.

« Si tu as un rafraichissement digne d’une Déesse, je ne suis pas contre. Mais je vais te dire pourquoi je suis ici… Sache que je ne suis pas là pour te narguer ou te vouloir du mal. Bien au contraire. » Dis-je en me levant doucement, faisant quelques pas dans la pièce pour regarder aux alentours. D’un geste de la main, dirigé vers la cheminée, j’allumai un petit feu avec un petit sourire aux lèvres. « Tu ne m’en veux pas ? Disons que cet endroit est un peu trop lugubre à mon goût. » Étais-je osée ? Certainement, mais parce que je le voulais et parce que je le pouvais. Bien qu’il soit puissant et qu’il pouvait me faire du mal, je n’étais pas du genre à plier le genou devant un homme comme lui. C’était devant moi que l’on pliait le genou. Je vins me réinstaller à ma place en posant mes yeux sur Fatalis. « Je ne compte pas rester sur Midgard pendant des siècles, à ta grande joie, j’en suis sûre. Mais si je suis ici, c’est pour chasser Thor de ce Royaume afin qu’il accomplisse sa véritable destinée, devenir Roi. » Dis-je avec un petit sourire. Cela avait toujours été mon but… Devenir Reine aux côtés de Thor. Je n’avais jamais prévu de venir ici et encore moins d’y rester un certain temps. « Alors oui… Je travaille afin que ces héros soient dénigrés et rejetés par tous les habitants de Midgard. » Dis-je en passant une main dans ma chevelure, souriant à Fatalis. On venait d’entrer dans le sujet intéressant. J’avais vraiment hâte de voir où tout ceci allait nous mener.



       


         
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