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 Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte)

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MessageSujet: Re: Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte)   Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte) - Page 2 EmptyMer 21 Sep - 15:17

    Même Hippolyte n’était pas vraiment sûr de savoir ou elle voulait en venir. Lui il lui avait répondu de ce qu’il ferait dans le pire des cas. Mais il est vrai que ce n’est pas toujours aussi simple. Il arrive que parfois le conflit est inévitable et la le don de l’agent Fearghus refaisait surface. Dans ces moments là il a les pupilles totalements blanches et fais des choses dont il ne s’en croirait jamais capable. Des prises et techniques de combat qu’on pouvait voir que dans les films. Et justement, c’était en observant des films ou des vidéos qu’il apprenait ce genre de choses. Cela faisait de lui un soldat très puissant sur le terrain s’il entraînait son corps à plus de force pure et vitesse. Lorsqu’elle soulignait ce petit détail il haussa un sourcil et hochant de la tête comme pour dire qu’elle n’avait pas tord pour le coup. Alors il fallait qu’il donne une petite précision en plus pour la rassurer.

    - Ne vous inquiétez pas, on sait quand même se défendre dans le pire des cas.

    En tout cas l’installation fut vraiment brève, ils n’avaient pas beaucoup d’affaire puis ce n’était que pour une nuit en fin de compte. Puis entra le sujet plus ou moins politique. Le genre de chose ou Hippolyte n’était pas du tout professionnel. Il grinçait même des dents si on abordait plus le sujet et on pouvait presque découvrir sa haine anti gouvernement. D’autant plus qu’elle en avait dans la tête. Elle semblait être une petite maline mais Fearghus ne savait pas s’il pouvait lui faire confiance sur ses véritables intentions… Il n’avait pas peur qu’on découvre qu’il était mutant, ça il en était fier. Il avait plus peur qu’on découvre son secret et qu’on le rattache à ces terroristes de Confréristes. Et une fois de plus son jugement était juste, c’est pareil dans tous les pays se disait il à ce moment là. Il soupira un peu exaspéré mais aussi lasser de ce genre de politique.

    - Je pense qu’aucun pays n’y échappe à l’avidité de nos dirigeants…

    Il s’en sortait bien pour le coup. Il ne montra pas son animosité lorsqu’il parlait de politique, il en était fier de lui même pour le coup. Bref le repas envisageait vraiment bon pour le mutant. Alors qu’il hésitait à avoir la capacité de pouvoir tout finir il se mit à rejeter la faute sur la pauvre petite blonde. Bien sur c’était une simple blague de sa part mais elle démarrait si bien que cela l’amusait vraiment pour le coup.

    - Et donc vous dormirez dans un lieu ou je ne pourrais me retenir de vomir n’importe ou ? C’est un peu dégueulasse vous ne trouvez pas ?

    Après son pique sur son poid il lui répondit tout aussi rapidement qu’elle. C’était comme un jeu de ping pong entre eux à ce moment là.

    - On es deux dans ce cas là. Il faut dire que je ne mange qu’au travail. Et le menu c’est pizza ou hot dog le plus clair du temps.

    Prenant alors quelques bouchés il trouvait ça vraiment excellent. Buvant une gorgée pour faire descendre tout ça il reprit alors en réponse à ses propos.

    - Ok je vois que vous souhaitez savoir ce dont je suis capable…

    Il prit alors un papier et un crayon qu’il tendit à la jeune femme, souriant et dans un air de défis il reprit alors.

    - Faites un dessin, rapide mais difficile à reproduire. Si dur qu’un novice dans mon genre ne pourrait refaire exactement le même d’accord ? Après vous comprendrez…

    Il n’en disait pas plus, il gardait le sourire fier de la petite démonstration qu’il allait lui faire…
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MessageSujet: Re: Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte)   Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte) - Page 2 EmptyLun 26 Sep - 17:47

Fear follow me everywhere. #Luly
Hippolyte Fearghus & Lucine Smirnov
Être capable de se défendre sans arme, semble effectivement être un détail ayant de l’importance quand on fait partie des forces de l’ordre mais l’entendre dire a quelque chose de rassurant. C‘est ce que pense Lucine en l’entendant parler. Elle a beau ne pas oublier qu’il s’agit d’un agent, le fait qu’il soit en civil lui donne un air moins dangereux. Encore que le but n’est pas qu’il le soit justement. Elle sourit légèrement et acquiesce. Après tout, il n’en est plus au stade novice même si elle trouve qu’il fait relativement jeune comme flic. Il semble se débrouiller, de ce qu’elle a vu. C’est vrai qu’il n’a pas eu le besoin d’intervenir puisqu’elle s’est débarrassée à temps de son agresseur et qu’il a juste eu à récupérer le colis au passage.  Elle ne doute cependant pas de ce qu’il lui dit. Pas pour le moment en tout cas. Il parle ensuite de politique, une fois entrés dans la planque. Elle a sa propre opinion sur le sujet mais en parler n’est pas des plus passionnants. Il faut dire que les choses sont bien plus compliquées en Russie encore. Tout est bien plus contrôlé dans le froid de l’Est par rapport aux U.S.A. Même si actuellement avec les histoires de mutants, les choses deviennent de plus en plus tendues par ici. Elle ne voit pas tellement l’intérêt non plus de parler gouvernement avec un employé de l’Etat, bien qu’il n’ait pas l’air franchement un fervent admirateur de  celui-ci. Le sujet pourrait être hasardeux alors elle n’en parle pas plus quand il se met à soupirer. Elle ne veut pas retomber dans une ambiance lourde alors qu’elle a besoin d’oublier que la journée aurait pu très mal terminer. Il ne souhaite pas non plus en parler plus, elle le sent bien alors elle confirme que le sujet est clos pour elle aussi « Je suppose. »
Ils avaient à peine commencés à manger que le policier se mit à râler sur la quantité de la nourriture et tenta de rejeter la faute sur elle. Tant de mauvaise foi en si peu de temps, forcément la blonde répond au quart de tour. Elle ne fait pas trop attention à ses manières, elle est directe. Au fond, on n’a jamais arrêté quelqu’un pour s’être exprimé ainsi. Si ? Voilà qu’il se met à évoquer un sujet bien ragoutant et Lou le regarde avec l’air de dire ‘vous n’oseriez pas ?’ Elle plisse un peu le front, contrariée avant de lui répondre « C’est charmant… Je vous rappelle que vous allez également rester dans le coin puisque vous êtes en vacances. Vraiment… je commence à me dire que vous ne savez pas du tout vous occuper de vous en dehors de ce qui concerne votre boulot. » N’est-ce pas ? Elle le laisse se démerder avec ce qui est finalement une pure moquerie de sa part. Elle ne s’arrête de toute façon pas là puisqu’ils en arrivent à faire discours concernant leurs poids. Elle le trouve un peu maigrichon pour un flic. C’est vrai qu’elle n’est pas bien grosse non plus. Déjà elle n’a pas vraiment de muscles puisqu’elle est plus artiste dans l’âme que sportive. Cela fait longtemps qu’elle n’a plus fait de danse et on ne peut pas dire que ce soit ce qui fasse gagner le plus de muscles de toute façon. Il lui dit qu’il ne prend pas de poids non plus peu importe ce qu’il mange. En même temps, avec un boulot comme le sien entre la pression et l’animation, il doit éliminer une partie de ce qu’il mange en puisant de l’énergie dedans. Il dit qu’il ne mange que lorsqu’il est là-bas… elle le trouve déprimant. « J’espère que vous aller vous nourrir pendant cette pause nécessaire … et pas que de sandwichs ! »

Elle a déjà bien attaqué son repas et la discussion est de moins en moins posée. Ils ont l’air de deux gosses qui se taquinent. Ce n’est pas qu’elle souhaite vraiment le provoquer mais il est parti dans l’optique de faire dans la démonstration alors bon, il faut s’attendre à ce qu’elle soit un minimum sarcastique. C’est pire encore après ça, il est encore plus déterminé et elle soupire « mais enfin… on mange là ! » Il lui tend un crayon et un papier. Luci le fixe avec étonnement : il compte faire quoi avec ça ? Elle reste encore plus estomaquée par sa demande de lui faire un dessin compliqué et elle prend le crayon avec une légère hésitation. Il ne compte quand même pas essayer de dessiner aussi, il a dit qu’il voulait apprendre donc il n’est pas super doué… La mutante ne pose pas de suite la mine sur le papier, elle se questionne et elle ne sait pas si elle a vraiment envie de faire ce qu’il demande. S’il est novice, s’il prétend ne pas pouvoir… est-ce qu’il … ? Elle pose son sandwich. Ne me dites pas que cet agent de police est également doué de capacités mutantes. Elle doit se faire des films, ce n’est sans doute pas le cas. Elle fabule parce qu’elle est encore marquée par l’incident. Elle est toujours en train de réfléchir à un croquis pourtant. Elle dessine donc une église russe. C’est quelque chose qu’elle a fait souvent alors elle a pris le pli et ne met pas tant de temps à la faire alors que c‘est censé prendre un moment. Elle pose le crayon sur la table et le fixe avec curiosité « Montrez-moi monsieur… »
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MessageSujet: Re: Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte)   Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte) - Page 2 EmptyMar 27 Sep - 14:42

    La politique était définitivement un sujet clos pour Hippolyte. Il ne voulait pas en ajouter plus, même s’il semblait que les deux jeunes gens avaient le même avis sur le sujet il ne voulait pas se faire griller par une civile et surtout ne voulait pas détériorer l’ambiance plus légère qui c’était installé entre eux. Puis elle ne semblait pas non plus parler plus que ça des politiciens et il sentait qu’elle avait un certain différent plus ou moins politique avec son pays. Comme si elle s'exilait d’elle même de son pays en venant ici.

    Par la suite il sentait que la blague était sans doute aller trop loin ? Enfin dans un sens elle n’avait pas tout à fait tord la demoiselle. Il ne savait pas vraiment s’occuper de lui hors travail. En fait il ne vivait plus vraiment et n’avait pas de vie social en dehors de son travail. Tout ce qui l’importait était les résultats qu’il offrait à ses patrons alors le reste… Il s’en moquait pas mal. On le chariait souvent sur le sujet, disant que c’était pas bon de ne pas avoir de coupure avec le travail. Mais il n’en voyait pas vraiment l’intérêt au final. Alors il fit un petit hochement de tête, comme s’il disait qu’elle n’avait pas tout à fait tort dans le fond… Et il en avait même pas honte surtout.

    - Il est vrai que j’ai peu de vie social avec mon travail.

    Après il est vrai qu’il n’avait pas un système de nutrition très passionnant. Il ne savait pas vraiment cuisiner plus que le grand classique des pâtes alors lorsqu’elle lui dit qu’elle espérait le voir mieux manger il resta un peu couillon sur le coup. Il ne savait pas vraiment quoi lui répondre mise à part un léger sourire benais qui lui fit bien comprendre qu’il était une sérieuse quiche en cuisine, enfin pour le moment. Or son don pourrait sérieusement l’aider s’il fallait se mettre à la cuisine. Même s’il espérait sans doute sur les talents de la demoiselle pour s’occuper de ça… D’ailleurs pour simple réponse fut son sourire qui en disait long sur la situation.

    Car parlons de son don justement. Hamich perdait patience et les provocations de la jeune fille fit qu’il lui offrit de quoi pouvoir lui faire un petit dessin. Même si elle ralait pour son repas il s’en foutait. Elle l’avait cherché alors il fallait qu’elle assume. Alors qu’il dégustait un instant son repas en terminant le premier sandwich il avait eu le temps qu’elle réfléchisse à une idée. L’observant alors faire il resta comme hypnotisé par les tracer de son crayon. Lorsqu’elle mit fin à son église elle posait fièrement son dessin et le crayon. Hippolyte affichait un petit sourire narquois au visage et il prit alors le crayon ainsi qu’une feuille totalement neuve, afin qu’on ne l’accuse pas de reprendre les tracés du précédent dessin. Prenant un peu son temps il fermait doucement les yeux afin qu’elle puisse bien comprendre ce qu’il allait se passer. Ouvrant ces derniers il en eu les yeux totalement blanc, sans pupille ni rien. Ce fut à ce moment là qu’il refit exactement le même dessin comme s’il était dans une sorte de transe. Bien sur avec son don il ne pouvait pas faire autre chose que ce qu’il avait vu. Mais il pouvait combiner plusieurs connaissances. En exemple en dessin il pouvait ajouter l’église plus un personnage s’il voyait comment on le dessin. Mais il ne pouvait pas vraiment créer d’autres personnages ou structures sauf s’il s'entraînait comme un humain lambda au dessin. Bien sur si durant cette transe elle lui posa des questions il pourrait répondre, il n’était pas totalement robotisé non plus. Une fois le travail fini il reprit des yeux normaux et observa la jeune blonde avec un léger sourire en coin.

    - Voila comment j’ai eu les meilleurs notes en Self Défense et sport à mon école de Police. J’espère que ça ne t’effraie pas trop…
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MessageSujet: Re: Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte)   Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte) - Page 2 EmptyMar 27 Sep - 22:21

Fear follow me everywhere. #Luly
Hippolyte Fearghus & Lucine Smirnov
Au départ, il s’agit simplement d’une blague qui devient soudainement très sérieuse quand elle se rend compte qu’il est réellement inapte à s’occuper de sa propre personne. Comment voulez vous faire confiance à quelqu’un qui n’est même pas capable de prends soin de lui ? C’est vrai qu’il ne s’agit pas de la même chose mais ce n’est pas un détail très rassurant quand même.  Il confirme presque ses propos sans même ressentir le moindre embarras. Cela ne semble pas le déranger le moins du monde de ne pas être sociable. Etrange mais pas inenvisageable. Elle n’a rien à dire à cela mais elle se dit qu’il doit parfois en avoir marre non ? Quoique, le personnage à l’air assez spécial quand on y réfléchit bien. C’est un drôle d’oiseau. Du coup, difficile de ne pas s’inquiéter pour les jours à venir. Encore plus avec ce navrant sourire qui en dit long sur ce qu’il compte manger d’ici là. Elle suppose donc qu’il n’a jamais vraiment cuisiné puisqu’il est tous les jours planté dans son boulot et qu’apparemment les sandwichs font sa vie. Désespérant. Elle ne cache pas son regard vraiment navrée sur la situation et cède donc « … je vois. Je vous amènerais de quoi vous restaurer correctement alors. » Il lui arrivait de cuisiner avec sa mère quand elle était enfant. Du Bortsch…Elle se souvient mélancoliquement de ces moments qu’elle passait avec sa mère, comme si c’était hier. Disparu en si peu de temps. Elle a préféré abandonner son passé parce qu’ils ont trahi ses espoirs, en ne respectant pas ses choix. Sa mère lui manque souvent. Elle a bien des photos mais rien ne peut remplacer l’absence d’une mère… elle s’en rend compte mais elle ne retournera pas en arrière. Sa sœur aussi lui manque et sans doute lui en veut-elle aussi. Parfois ça rend Lou’ très triste. Elle mord dans un morceau de sandwich, un peu moins enthousiaste. Elle n’ajoute donc rien de plus, plongée dans son passé.

Heureusement que l’ambiance n’est pas longuement pesante ici avec lui. Elle en vient même à faire du dessin mais parce qu’il a insisté. Elle termine ce croquis assez travaillé. Encore un souvenir de sa terre natale. Elle est nostalgique et parfois certains peuvent se demander comment elle a pu quitter la Russie, si elle l’aimait. Elle a toujours voulu voir le reste du monde, malgré tout et puis surtout, vivre dans un pays qu’on aime mais en étant comme enchaînée ? Non merci. Elle lui tend la feuille, n’étant pas parfaitement sure de ce qu’il compte faire mais ayant quand même une petite idée derrière la tête. Elle n’a pas repris son repas, elle fait une pause tandis qu’il ferme doucement les yeux. Elle se demande pourquoi. Elle fait un bond hors du canapé quand elle le voit rouvrir ses yeux, devenus entièrement blanc. Autant dire que ça fait assez peur à voir. Elle reste figée, plus impressionnée par son apparence soudaine que par le dessin qu’il est en train de reproduire avec une facilité déconcertante. Elle se tient debout à distance, impressionnée mais surtout elle ne sait pas quoi penser de lui. Il lui a fait peur, elle ne peut pas le nier. Sans doute n’est-ce pas en lien avec ce qu’il est puisqu’elle est mutante aussi mais tout bonnement à cause du fait qu’elle ce soit fait agresser il y a peu et qu’elle n’aurait jamais imaginé que cela aurait des conséquences sur son comportement. Elle est beaucoup plus marqué que ce qu’elle a voulu laisser voir, bien plus soucieuse quant à sa relation avec autrui. Elle n’a jamais eu peur en compagnie des autres même si elle ne s’est jamais sentie en sécurité à cause de son don mais là, elle est encore susceptible à chaque geste, chaque détail. Elle a même l’impression qu’elle va se mettre à pleurer, sans savoir pourquoi. Le pire dans tout ça c’est que le fait qu’il soit comme elle n’amuse pas du tout, mais vraiment pas Luci’, qui se dit qu’il risque de remarquer plus facilement qu’un autre qu’elle n’est pas que humaine. Pire, elle va honteusement lui mentir pour le rapport et donc s’il le comprend, lui qui est si attaché à son job, que dira-t-il ? Tout cela empêche qu’elle se calme et donc qu’elle se rassoit. Elle a presque envie de tourner les talons, franchir la porte et s’enfuir mais elle va se perdre si elle fait ça et puis après, elle aura vraiment très peur… Sur le moment ce n’est pas ce qui lui vient à l’esprit, elle est pratiquement prête à faire les pas qu’il faut. Est-ce qu'elle réagit à l'extrême ? Sans doute mais elle est encore sous le choc, c'est tout. Elle ne fait même pas attention à ce qu'il lui dit.
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MessageSujet: Re: Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte)   Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte) - Page 2 EmptyMer 28 Sep - 15:17

    Elle lui dit qu’elle ramène de quoi se restaurer. Donc elle ne comptait pas rester ici plus que cette nuit ? Du moins c’est ce que compris Hippolyte. Or si la jeune fille ne restait pas là alors lui même il rentrait chez lui. A quoi bon rester ? Il avait choisi ce lieu afin qu’elle ai un lieu neutre dans lequel elle pourrait s’en servir de sas de décompression après cette agression. Sauf que si elle ne comptait rester ici alors il ne verrait pas pourquoi lui il ferait de même. Il sentait la nostalgie chez la demoiselle. Sans doute de vieux souvenirs dont il ne voulait pas s’en mêler. Du moins cela ne le regardait pas alors il n’osait pas dire quoi que ce soit la dessus.

    En revanche le repas et la soirée avancer. De fil en aiguille il perdit patience et demandait alors à la demoiselle de faire un dessin afin de lui prouver qu’il était en mesure de la défendre. Malheureusement les choses ne se passèrent pas vraiment comme il l’espérait. Voilà qu’elle se mit alors à paniquer. Il est vrai que son don pouvait faire peur, un regard de la sorte n’était pas vraiment quelque chose de super rassurant. Mais il sentait qu’il y avait autre chose dans son regard. Hippolyte fit même preuve d’empathie. Il vit plus d’une fois ce regard que ce soit sur des victimes ou des personnes manifestants contre le genre mutant. Il se leva alors doucement en gardant les mains bien ouverte vers elle. Une techniquement purement psychologique qui tentait de prouver qu’il ne lui voulait aucun mal. Alors qu’il tentait de la rassurer du mieux qu’il pouvait.

    - Oui je suis un mutant mais je ne te veux aucuns mal… D’accord…? Alors s’il te plait reste.

    Cela semblait sans doute fonctionner, qui sait ? Car lorsqu’elle se rassoit à ses côtés le jeune homme fit de même et ne savait plus vraiment ou se mettre ni quoi faire tout à coup. Si elle partait dehors dans ce genre de quartier alors il avait peur qu’elle se fasse encore une fois agresser. Il faut dire que la planque était bien loin de la grande ville et tout était possible dans ce genre d’endroit loin de toute surveillance policière. Il ne fallait surtout pas qu’elle prenne la fuite. Si elle le désirait il pourrait la déposer chez elle. Ou même un peu plus loin que chez elle si vraiment elle ne voulait pas qu’il connaisse son adresse. Mais toujours est il que ce souci de déposition resterait alors en suspen. Le jeune homme fixait un instant le repas comme s’il cherchait une solution. Pour le moment il n’avait rien mis à part qu’il lui montra délicatement de la main son repas.

    - Mange ca te fera du bien…

    Ce qu’il ne pensait pas sur le moment fut des excuses. Oui il lui en devait après une frayeur pareil. Alors il prit un peu une bouchée de son repas et but une gorgée de son soda. Cherchant comment bien employer ses mots il reprit alors.

    - Je suis désolé si je t’ai fais peur. Je ne voulais pas. Je souhaitais juste te faire comprendre que ce don me permettrait de t’offrir la sécurité que tu mérite.

    Cherchant encore ce qu’il pouvait bien lui dire pour la rassurée il eu soudainement un petit souvenir qui lui revint à l’esprit. Il était un mutant oui. Un mutant qui avait accepté d’avoir cette puce en lui afin de pouvoir continuer son travail. Cette idée n’était pas vraiment très amusante pour lui mais il n’avait pas le choix s’il voulait atteindre son but. Son but qu’était de mettre un terme à la vie des dirigeants de ce monde. Il lui est même arrivé une fois de laisser passer un mutant avec son binôme. Ils pensaient tous les deux que ce régime était trop strict et qu’il fallait plus faire confiance en la nature humaine. Alors il cherchait sa manière de formuler ses mots et finalement il tentait une petite approche verbale.

    - Tu sais en tant qu’agent de police et mutant c’est pas souvent facile. Surtout que je ne suis pas fan des politiques malgré mon travail et il nous est arrivé de laisser passer quelques mutants sans les rapporter aux plus hautes autorités que nous… Je pense que cette loie est un peu strict. Mais je te fais confiance pour garder ça pour toi ok ? Si jamais ca se sait ma façon de pensée je risque gros…

    Hippolyte devrait faire confiance à un autre personne que son collègue de toujours. C’était une grosse nouvelle pour lui et surtout un challenge de taille. Il ne savait pas vraiment s’il avait raison de lui avouer ce genre de choses. Mais elle avait donc des informations qui pourraient faire enfermer Hippolyte voir pire encore, car ce n’est pas vraiment du genre à Hippolyte de se laisser capturer aussi facilement…
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MessageSujet: Re: Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte)   Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte) - Page 2 EmptyDim 9 Oct - 21:45

Fear follow me everywhere. #Luly
Hippolyte Fearghus & Lucine Smirnov
L’ambiance se ternit rapidement quand l’agent décide finalement de partager cette fameuse démonstration. Lucine a une réaction démesurée pour une mutante mais c ‘est surtout cette étrange vision de pupilles blanches qui lui a fait peur. Même pour une personne dotée du gène X, voir un tel spectacle peut surprendre un peu. Un peu, pas de quoi vous faire avoir une frayeur pareille mais Lou ne contrôle pas sa peur sur le moment. Elle est en pleine panique et le voir doucement se lever n’arrange pas grand-chose parce qu’elle fait un pas en arrière mais il lève les mains en l’air, comme un innocent. Elle se ressaisit et essaie de ralentir consciemment sa respiration, s’efforçant de ne pas fuir, de se souvenir qu’il n’est pas celui qui l’a agressé précédemment. Il a même tout fait pour calmer une crise d’angoisse et pour continuer à veiller sur elle un peu le temps qu’elle se remette de ses émotions. Il a même posé des vacances du coup et elle n’a aucune raison de craindre un mutant qui ne lui témoigne aucune méchanceté. Au contraire. Oui, c’est vrai, il ne lui veut aucun mal. Elle acquiesce en se forçant à redevenir sereine. Il lui demande poliment de rester… elle jette un regard à la porte et à son sac pas bien loin. Elle peut partir mais elle finit par prendre la décision de se rassoir sans pour autant oser bouger. Elle le fixe, épiant chacun de ses gestes sans dire un mot pour le moment. Elle vient de le mettre mal à l’aise et elle n’est pas mieux. Elle ne veut pas qu’il croit que c’est à cause du fait qu’il soit mutant mais elle n’ouvre pas la bouche pour le lui dire. Elle reste là, à fixer cet homme. Elle n’a pas touché au repas depuis qu’elle s’est réinstallée, ne sachant plus du tout comment se comporter avec lui. C’est parce qu’il lui suggère de manger qu’elle laisse échapper une très légère approbation et prends doucement une bouchée timide. Elle le laisse s’excuser et au fond, elle comprend sa démarche. Elle réalise effectivement qu’il peut apprendre plus facilement des choses lui permettant de protéger autrui. Simplement la démonstration n’est pas très rassurante. Il faut dire que la jeune russe n’est pas très habituée avec ses congénères.  Elle n’en connaît pas vraiment et comme elle tente de ne pas trop se faire repérer alors elle ne cherche pas tellement plus loin. Elle l’écoute parler alors qu’aucun mot ne vient de sa bouche à elle. Elle veut bien croire que sa situation n’est pas des plus simples. Elle a plus de mal à le croire quand il dit avoir laissé passer des mutants sans en référer … Elle est vraiment sceptique et surtout que répondre ? Il risquerait de comprendre qu’elle n’est pas humaine. Il fait mine de lui confier ce secret, de lui dire qu’elle ne doit pas en parler. Elle en est parfaitement capable, elle n’ira pas en parler à ses camarades d’études ni à qui que ce soit d’autre. Aucun intérêt, elle sait tenir sa langue. Elle se doute qu’il risque de perdre gros si jamais ça se sait. Son travail notamment. « Désolée… d’avoir réagi ainsi. » Il n’a pas l’air blessé dans son orgueil. Elle n’a pas froissé son côté mutant en montrant ce rejet des choses. Elle n’en a pas l’impression. C’est déjà un point rassurant pour elle mais elle a quand même honte d’avoir eu une peur aussi catégorique alors qu’il ne lui veut aucun mal. « Ce n’est pas moi qui irait dire quoi que ce soit sur votre façon de travailler. Vous étiez là au bon moment dans cette rue… je vous dois au moins le silence. » Certes il n’a pas eu à intervenir mais il a fait son boulot, il n’a pas exigé toute suite sa déclaration, la laissant derrière avec ses angoisses. «Je n’ai rien contre les mutants. C’est juste que … vos pupilles sont totalement blanches… » Pour Lucine, c‘est soit symbole de mort, soit signe d’une personne malhonnête alors oui cela lui a fait un choc. Elle est mutante, elle sait que des histoires un peu surprenantes, ça arrive. Du coup, elle croit aussi à des tas d’autres trucs. «  Vous pouvez apprendre ce que vous avez vu alors… ? Vous savez vous défendre, vous battre. »  La dernière phrase est plus une évidence, une constatation. Pas une question. Elle essaie de comprendre ce qu’il peut faire, continuant de manger. Un peu nostalgique et soucieuse.
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MessageSujet: Re: Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte)   Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte) - Page 2 EmptyLun 10 Oct - 23:34

    Il est vrai qu’Hippolyte paniquait au début. Mais avec le temps il semblerait qu’elle puisse reprendre ses esprit et revint se poser auprès de lui. Il fut soulagé qu’elle puisse déjà se poser sans vouloir fuir à nouveau. Il se passait de longues minutes avant qu’elle puisse sortir un mot. Hippolyte sentait son regard sur lui mais il essayait de ne pas faire quelque chose de mal, alors il continuait à manger, comme si il voulait passer inaperçu dans l’histoire. Alors qu’elle se décidait enfin à manger l’agent Fearghus se confondait en excuses pour essayer de rattraper la bonne ambiance de tout à l’heure. Il aurait dû lui prévenir ou alors simplement lui expliquer son don. C’était très maladroit la manière dont il s'était entrepris jusqu’à présent. Il se passait déjà quelques secondes après avoir pu sortir tout ce qu’il avait afin de pouvoir remonter la pente. Il ne savait plus où se mettre sur le moment et un simple son de sa voix pourrait au moins soulager sa conscience.

    Chose promise chose dû. Il entendit enfin le doux accent de la belle russe. Il souriait systématiquement à ce moment là. Comme si ça le soulageait d’entendre enfin sa voix. Puis il ne fallait pas qu’elle s’excuse. Dans le fond c’était entièrement de sa faute si elle avait réagi ainsi. Il n’avait pas fait assez attention à ce qu’il faisait. Il aurait pu au minimum prévenir ! Mais non… Il était tellement absorbé par ce qu’il devait faire. Après tout la prévoyance était un atout primordial dans son travail. Alors ce n’était pas à elle de s’excuser mais lui.

    - Ne t’excuse pas, j’aurais dû te prévenir…

    Pour le coup c’était lui qui avait envie de s’enfuir. Comme si sa connerie était si grosse qu’il ne voulait surtout pas l’assumer. Fuir dans un pays lointain où personne ne le connaissait. Ca c’était un rêve. Partir du jour au lendemain, tout plaquer. Et disparaître dans l’anonymat. Parfois il avait du mal à se regarder dans la glace. Et ces jours là étaient souvent les plus pénibles pour lui. Faire face à des mutants comme lui et être dans l’obligation de leurs mettrent les menottes pour la seule raison qu’est que leurs existences étaient un fardeaux trop lourd pour le Gouvernement. Ils avaient sans doute peur. Tout comme Lucine venait d’avoir peur en voyant les pupilles d’Hippolyte disparaître sous l’activation de son don. Il se sentit surtout mal à l’aise de lui avoir fait autant peur sur le moment. Mais quand même largement rassuré lorsqu’elle lui signala qu’elle n’irait jamais dire à qui que ce soit son petit secret avec d’autres mutants. Si jamais ça se savait alors il serait cuit.

    - Je te remercie pour ton silence, enfin ta discrétion sur le sujet... Oui je sais, voir mes pupilles ainsi ça à fait un sacré choc à ma mère la première fois….

    Ses parents, encore un sujet dont il préférait éviter en espérant qu’elle ne lui posera pas trop de question la dessus. Cependant il semblerait qu’elle souhaitait enchaîner sur sa manière d’apprendre à se battre. Elle avait vu juste pour son don et cela le fit sourire, enfin quelqu’un qui comprenait vite, ses collègues de patrouilles n’étaient pas vraiment des lumières. Ca lui faisait plaisir de discuter parfois avec quelqu’un de plus vif d’esprit et ne pensant pas qu’aux donut’s et aux poster de femmes de playboy. Alors il lui sourit doucement en sirotant son soda.

    - Bien sur. C’est comme ça que j’ai pût être major de ma promo’ !

    Il en était fier de ça et ça se voyait. Mais il tenait tout de même à ajouter une petite précision.

    - Par contre ce don a des limites. Je ne peux pas reproduire les dons des autres mutants. Je peux faire uniquement ce qui est humainement possible.

    Humainement ? Piètre choix de mot Hippolyte.
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MessageSujet: Re: Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte)   Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte) - Page 2 EmptyJeu 20 Oct - 19:40

Fear follow me everywhere. #Luly
Hippolyte Fearghus & Lucine Smirnov
Si Lucine se force à se rasseoir, c'est en partie pour être moins tentée par l'envie de fuir qui guette encore un instant ses pensées. Elle est encore un peu nerveuse, intimidée et se sent terriblement maladroite. Dans un sens, elle se dit qu'elle peut l'avoir offensé et dans un autre, elle se dit qu'il devrait se méfier de ce qu'il montre aux autres, que la réaction qu'elle a eu est légitime. Légitime si on considère qu'elle est humaine. Ce qu'elle n'est pas. L'événement crée un froid entre eux, si bien que ni l'un ni l'autre ne parle vraiment. Elle finit par lui parler de nouveau, débloquer un peu le dialogue avec lui. Ce n'est pas comme si elle ne pouvait pas comprendre la situation après tout. Simplement elle ne montrerait pas son don comme une démonstration : pas comme il a fait. Cependant c'est vrai qu'elle n'a pas un pouvoir très facile à présenter, qu'elle n'a aucune envie d'en faire l'étalage et surtout qui peut effrayer pas mal de personne. Elle s'excuse auprès de l'agent parce qu'elle se sent un peu gênée de se dire qu'il est comme lui et qu'elle a réagi brusquement mais aussi qu'elle lui tait ce qu'elle est. C'est vrai qu'il aurait pu, qu'il aurait du la prévenir. Pas pour son don mais surtout pour les pupilles parce que ça fait un choc. Elle ne répond pas à ces paroles car ce n'est qu'une simple constatation et elle ne voit pas quoi dire. Il serait inutile de confirmer ses dires à moins de vouloir manquer de tact. Elle aurait pu le faire involontairement mais pas aujourd'hui. Elle a du mal à complètement se détendre, un simple bruit pourrait l'angoisser omme si elle était sur le qui-vive en permanence. Elle a repris un peu d'appétit mais il est évident qu'elle reste fragilisée par cette journée. La journée de cours de demain sera longue et fastidieuse, voire un peu effrayante. Elle préfère ne pas songer à ce genre de détails.

Elle le rassure quant à son secret, ce n'est pas elle qui ira parler à qui que ce soit de ce qu'elle a vu. Elle n'a aucun intérêt à le faire. Elle acquiesce doucement. "Je vous le dois." Pour la présence actuelle dont il fait preuve. C'est au moins ça. Cela lui semble correct comme façon de voir les choses. Lou marque une pause dans son repas en entendant le mot mère. Elle se souvient de la réaction de cette dernière quand elle a appris que sa fille est une mutante.Elle l'a protégée et conseillée car elle l'est également. Elles ont été complices à ce moment là. Heureusement, il s'avère en fait que toute leur famille possède ce gène X et est apte à l'utiliser.  Parler de famille lui fait bizarre, la sienne est si loin. Elle soupire doucement. " Elle a du s'inquiéter pour vous, peut-être." C'est ce que font beaucoup de mères pour leur progéniture. Ce n'est pas une science exacte car il y a toujours des familles plus ou moins spéciales mais Luci' a grandi avec une mère aimante et elle ne peut s'empêcher de penser tout le mal qu'elle lui fait en les ayant abandonné, en ne leur donnant aucune nouvelle. Sa mère a perdu une fille... C'est difficile pour la russe qui se sent attachée à cette femme qui l'a porté pendant neuf mois, qui l'a élevée et lui a appris à faire un bortsch excellent. Ce lien, maintenant qu'elle l'a brisé, elle ne le retrouvera sans doute jamais. Comme celui qu'elle avait avec sa petite sœur. Ces souvenirs ternissent un peu plus l'humeur de Lou mais elle a fait un choix et elle doit l'assumer pleinement. C'est elle qui a voulu partir, fuir, en leur promettant de rentrer à la fin de ses études alors qu'elle les prolongera indéfiniment et qu'elle ne compte pas remettre les pieds là-bas en Russie. Est-ce qu'elle les reverra un jour au moins ? Elle préfère ignorer cette mélancolie et se pencher sur ce fameux pouvoir que possède l'agent Fearghus. Si elle comprend vite son don, c'est sans doute parce qu'elle est comme lui... Il semble sourire à ce moment et lui explique qu'il a donc eu plus de facilités que ses collègues. Elle écarquille les yeux : ah bah oui, d'ailleurs, ça "C'est un peu comme tricher en fait... Méritez-vous vraiment le titre de major de votre promo du coup ?" Elle tente de se montrer plus détendue, tente de blaguer car il n'y a rien de sérieux dans ses propos. Elle ne lui reproche pas réellement de se servir de son don, elle sait pertinemment que ça fait partie de lui. Elle est bien placée pour en être consciente mais ça évidemment il ne le sait pas. Elle l'écoute soudainement parler de limites. Est-ce bien raisonnable pour un fli de préciser où sont ses limites ? Elle reste bouche-bée et le regarde un peu comme s'il venait de dire une grosse énormité. Pas pour le humainement possible puisque ça elle ne l'a pas vraiment relevé. "Vous ne comptez pas me parler de vos faiblesses tant qu'on y est. Histoire que je sahe absolument toutes les possibilités et lacune de votre don ? Vous vous rendez compte de ce que vous racontez à une parfaite inconnue ?" Elle n'a pas tellement besoin de savoir ses faiblesses, elle pourrait tout simplement tenter de fouiller dans ses frayeurs ou creuser dans tout ce qui le stresse. Elle aurait donc une vague idée de ce qui pourrait le déstabiliser. Voire le neutraliser...
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MessageSujet: Re: Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte)   Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte) - Page 2 EmptyJeu 10 Nov - 21:55

    Le silence était réellement pesant pour Hippolyte. Il ne savait pas vraiment ou se mettre pour le moment et essayer d’engager la conversation mais rien ne fait. Cependant lorsqu’il la remerciait de s’être remise en place elle prit enfin la parole. Intérieurement il en était fortement soulagé par cette nouvelle et soufflait un peu devant tout ça. Elle lui devait qu’elle disait. Mais dans le fond il ne le voyais pas ainsi. Hippolyte voyait surtout que c’était lui qui allait lui devoir quelque chose en retour. Du moins c’est ce qu’il pensait pour sa part. Il ne voulait pas qu’elle sente avoir une dette envers lui. Il ne voulait pas qu’elle se sente redevable en quoi que ce soit. Puis il vient un peu à se confier à elle, sur sa mère. Un sujet dont il parlait rarement aux autres, ses parents, car pour lui leurs disparitions était encore trop douloureuse malgré le temps qu’il séparait de cette sombre époque. Il ne se sentait pas encore sorti d’affaire dans tout ça. A ce moment là il ressentait une légère nostalgie dans le visage de la jeune fille. Il faut dire qu’elle semblait bien éloignée de toute sa famille. Alors il affichait également un léger sourire nostalgique lorsqu’elle dit qu’elle a dû s'inquiéter pour le don de son fils. Alors qu’en réalité.


    - Non pas vraiment, mes parents sont deux mutants. Elle a surtout sursauté en voyant mon regard pour la première fois, mais elle le connaissait, mon père avait le même effet secondaire !


    Il était fier de ses deux parents mutants, il pourrait en parler pendant des heures mais il n'osait pas vraiment le faire. Ce n’était toujours pas très intéressant pour les autres et surtout ça allait sans doute donner un brin de nostalgie à l’ambiance qui était déjà bien assez tendu ainsi. Puis si elle le souhaite tant que ça il abordera plus tard le sujet de la mort de ses parents… Car quand bien même il ne se retient absolument pas d’en parler au passé.


    Il observait cependant une même nostalgie chez elle alors il essayait de changer de sujet, parler d’autre choses ! Ce fut au moment ou il était en train de mastiquer un morceau de burger qu’elle lui demandait avec une pointe d’humour si ce n’était pas de la triche pour son don par rapport aux autres élèves de l’époque. Sur le coup il faillit s’étouffer avec son repas. Toussant un peu et avalant cette fois ci le morceau correctement il en avait les yeux légèrement noyé dans des larmes suite à son étouffement soudain. Et qui plus est gardait quand même le sourire, miracle.


    - Pas du tout ! J’ai juste quelques limites… Donc ça passait pour eux. Puis plusieurs fois des agences plus importantes m’ont voulu dans leurs rangs sans succès. Je voulais commencer au plus bas perso’.


    Il est vrai qu’il reçut pas mal de demande du FBI ou la CIA. Mais ce n’était pas son genre. Puis il n’avait pas confiance en ces constitutions qui n’étaient que trop secrète à son goût. Lui il voulait être au plus proche du peuple, de la rue. Être sur le terrain et voir des agressions comme il en fut le témoin aujourd’hui. C’est alors qu’elle lui demandait ses faiblesses. Il ne savait plus où se mettre sur le coup mais il se devait d’en parler. S’il voulait sa confiance il devrait alors s’exposer à elle. Se mettre à nu, enfin au sens figuré bien sur, quoique.


    - Je peux reproduire ce que mon corps est capable de faire. Si je n’est pas assez de masse musculaire pour un exploit physique comme celui du célèbre Capitaine américa. Et je ne peux pas reproduire des dons des autres mutants, comme des rayons laser des yeux et autre choses dans le genre. Sinon je pense que c’est à peu près tout…


    Il l’a fixait un instant, ne sachant pas quoi ajouter de plus et surtout espérant un signe de satisfaction de sa part ? En attendant il essayait de siroter timidement son soda à la paille mais il faisait surtout plus de bruit qu’autres choses…
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MessageSujet: Re: Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte)   Fear follow me everywhere (ft. Hippolyte) - Page 2 EmptyDim 13 Nov - 16:59

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Hippolyte Fearghus & Lucine Smirnov
Elle sait qu’il est rare qu’une mère ne s’inquiète pas pour son enfant alors elle ne pense sincèrement que celle de l’agent s’est fait du souci en découvrant la nature de ce dernier. Non pas parce qu’elle a su qu’il est mutant mais plutôt parce qu’elle aurait voulu le protéger des autres. Quand Lucine a manifesté son don la première fois, en présence de sa mère, elle se rappelle qu’elles n’ont rien dit à père. Ni l’un ni l’autre ne se sont jamais avoué entre eux être des mutants. C’est quand il a découvert pour sa fille qu’ils ont tous pu en parler, librement et ça a débloqué quelque chose entre eux tous. Ils lui ont appris à contrôler son don mais sa mère a toujours eu peur pour elle. ‘Tout le monde ne peut pas comprendre que tu es différente’, lui a-t-elle souvent dit. Son pouvoir n’a jamais rien eu de très marrant en plus. Dire qu’elle les a lâchement abandonnés ! Lucine regrette mais ne reviendra pas en arrière. Elle écoute un autre qu’elle parler de sa famille et elle sent une boule dans sa gorge tandis qu’il parle du passé. Elle ressent tout l’amour qu’il a envers eux quand il en parle. Partager un lien fort avec ses parents, c’est un point de repère dans la vie. A l’entendre ainsi raconter si simplement ce qu’il est et des choses qui touchent à son entourage, Lucine aimerait pouvoir lui dire qu’elle est comme lui mais si la confiance était si simple à obtenir cela se saurait. Elle se contente de sourire un peu. « Je suppose qu’une part d’eux devaient se douter que vous seriez peut-être comme eux dans ce cas. » C’est vrai qu’il s’agit d’une chance car combien d’enfants mutants naissent dans une famille dont les parents n’ont aucun don et sont alors, parfois, traités comme des monstres. Ce n’est pas une généralité mais cela arrive. Elle ne sait pas ce qu’il se serait passé si ses parents n’avaient pas été comme elle. Avec un don tel qu’elle a, les choses auraient sans doute pu être dramatiques ! Elles peuvent toujours l’être ceci dit. En observant le policier, elle constate à quel point il semble nostalgique, comme si cette époque est révolue. Sans doute parce qu’elle-même est loin des siens… C’est spontanément qu’elle lui dit « Ils vous manquent ! » Ce n‘est pas une question. Elle est certaine que c’est le cas mais il est rare qu’elle ne dise pas ce qu’elle pense. En général quand elle ne dit rien c’est qu’elle a eu le temps de réaliser que cela peut faire de la peine à la personne mais ce n’est pas toujours le cas.

Elle reprend doucement un air moins effrayée, moins crispée. Elle mange très lentement, un peu perdue tout de même. Elle parle un peu, à propos de son don mais elle sait le sujet bancal, dangereux pour elle. Elle ne s’attend pas à ce qu’il s’étouffe avec son burger… « Oh pardon… ! » Elle le regarde reprendre contenance et afficher un sourire. Elle se demande vraiment si c‘est si simple pour les autres d’accepter les mutants ainsi. Elle voit bien qu’actuellement le sujet est sensible alors qu’il semble n’avoir pas eu beaucoup de problèmes d’acceptation. Lou n’a jamais eu à se confronter à cela puisqu’elle n’a jamais vraiment fait état de son don auprès d’autrui. Pas clairement en tout cas. « Vous semblez parfaitement assumer qui vous êtes et rester simple. … Enfin je ne dis pas que c’est un défaut ! » Elle ne sait vraiment pas quoi penser de lui au final. Il a l’air relativement honnête mais son métier fait qu’elle se méfie encore plus que de nature. Elle songe toujours dans un coin de sa tête au rapport qu’il va devoir écrire et elle a peur que les choses coincent à ce moment de la conversation. Elle lui pose des questions, se disant qu’il ne répondra peut-être pas. Il le fait pourtant même si elle pense qu’il ne devrait pas parler si légèrement de ce dont il est capable et d’où sont ses limites. Elle comprend très bien le fonctionnement de ses capacités et acquiesce doucement. Elle lui sourit. « Je vois… Vous en parlez avec tellement de simplicité. N’avez-vous pas peur que je puisse vous causer du tort par la suite ? Je veux dire, bien sûr je n’en ai pas l’intention mais si vous parlez à tout le monde comme vous le faites actuellement, vous vous mettez en danger. Je n’ai aucune colère, haine ou antipathie envers les mutants mais qui sait à qui vous tenez ce genre de discours. » Elle s’imagine très mal en faire de même mais sans doute est-ce parce que son pouvoir lui paraît autrement plus dangereux parce qu’elle n’a pas un contrôle complet de celui-ci et elle pourrait faire des dégâts importants. « Désolée si je vous semble pessimiste. Il me semble juste clair que le monde n’est pas encore près à accepter les gens tels que vous. »
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