The sharp claws of HYDRA [Pv Avalon]

Accompagné par Tony Stark

Les aurores l'avait appelé se matin pour une petite mission de la plus haute importance, dormant tranquillement, mais tiré de ses rêveries planante aux environs de six heures du matin par le petit bruit tracassant de son portable jetable. Les yeux ouvert, s'étirant. Un petit rythme habituel pour la jeune femme qui n'avait pas regarde rune seule seconde son portable, elle connaissait le message ainsi que la provenance. Cela ne pouvait venir que de l'organisation qui n'allait lui cesser de lui rappelé son rendez-vous d'aujourd'hui en tant que journaliste. Sa couverture bien entendu. Disons que son véritable métier était d'une pratique assez jouissif lors des missions d'infiltrations, de reconnaissance. S'habillant d'une jupe en tailleur simple, pas trop haute. Un chemisier banc en soie. Bref tout dans la simplicité, laissant ses cheveux détachés, retombant sur le long de ses épaules. Son reflet dans le miroir projetant une très gracieuse féline qui maquilla ses yeux bleu d'un noir luisant rendant ses yeux attractif. Ne maquillant cependant pas sa bouche qui resta naturelle. Un peu de poudre sur le visage, la voilà parfaite. Un sourire de charmeuse, attrapant ses escarpins, ses grands talons noir. Sa pochette. Oui il était très tôt, mais avant de ce rendre sur le lieux dit, la demoiselle avait sa véritable embauche qui l'attendait à 9 heures, le temps de s'y rendre, le temps de se préparer il lui fallait quelques heures d'avances oui.

Récupérant d'un coup de main ses affaires projeté dans son sac a main qu'elle mit sur l'épaule en bandoulière, vérifiant qu'aucun défauts n'était à ressortir sous ses traits fins. Non rien, pas même une mèche volante, ou des oreilles de chats. Heureusement, aujourd'hui elle ne devait laisser aucune erreur transpercer sa mission, lui faire échoué sa couverture. Une fois la vérification faite, l'air satisfaite elle marcha claquant de ses talons jusqu'au sous-sol pour entrer dans sa petite voiture. Déjà sept heure et demie. Démarrant le contact elle fonce sans plus attendre dans les rues du Queens pour se rendre à son travail qui lui se situe prêt de Times Square dans les rues de Manhattan. Ses pensés divaguant, elle remarqua après quelques secondes qu'elle approchait assez vite de son lieux dit. Se garant, descendant rejoignant la petite boutique. Un homme a l'air trapu, assez vieux l’accueille à bras ouvert. De sa voix rauque fatigué. « Te voilà déjà ma chérie ! Il n'est que huit heures tu sais ! » souriante assez gêné, passant sa main dans sa chevelure brune, châtain. Plantant ses yeux dans ceux de son patron. « Oui je sais bien Monsieur Kingsley, mais je voulais prendre un peu d'avance vous comprenez,  j'ai quand même deux articles a rédigé avant de reprendre la route pour l'interview de Monsieur Stark. » il hocha de la tête en venant claquer de ses mains, puis les posa sur ses hanches, retirant ses lunettes, pour venir la regarder droit dans les yeux. « Il faudra quand même que tu m'expliques comment tu as réussis. Monsieur Stark a toujours refuser de ce faire interviewé par nos locaux, puis tu arrives, voilà qu'il t'accordes une dizaine de minutes pour parler ! Incroyable cette enfant ! INCROYABLE ! » dit-il en tournant les talons se dirigeant vers son bureau tout en s’exclamant fier de la jeune femme qui eut un rougissement, gêné sur les joues avant de s'installer devant son ordinateur.

Son patron était un homme adorable qu'elle connaissait depuis maintenant 4 ans. Elle l'adore, il est tellement adorable avec elle, la prenant parfois un peu comme sa fille. Après tout, il l'a embauché alors qu'elle ne connaissait rien au journalisme, mais c'est lui lui a tout apprit. Maintenant elle décroche sa fierté avec cette entre-vue qui promets d'être intéressante se dit-elle un sourire mauvais sur les lèvres. Fermant quelques instants les yeux, les rouvrant laissant ses pupilles de félin prendre leurs couleurs. Ses sens en alerte, elle devait surveiller. Car si elle était venue si tôt c'était pour se documenter quelques heures avant son rendez-vous. Ne prendre aucun risque sur l'ennemi. Les documents internet ne manquaient pas à son sujet : Afghanistan, Sokovie, New York, Son passé, son présent. Tout y était. Mais rien de concret et c'était pour cette raison que la jeune femme se rendait au milieu des résidences ennemis : le quartier général des Avengers, qui ne sont plus qu'un semblant de poussière depuis cette drôle de guerre entre le Captain et Iron Man. Une déchirure suite à un morceau de papier. Mais tout cela arrangé les affaires d'HYDRA.

Après quelques heures, elle termina néanmoins l'écriture d'un article, regardant l'heure. 10H30. Valait mieux partir de suite avant d'arriver en retard pour son rendez-vous. Se serait très mal vus, surtout au niveau d'un homme tel que lui. Se relevant, s'excusant au prêt de ses collègues elle partit avec hâte, tout un dossier dans les mains, puis son attirail de journaliste. Remontant a bord de sa voiture, elle file d'une volée en direction du QG ennemi. Sur la route ses pensés dérivent sur le déroulement de l'entretient. Elle ne doit pas s'emporter, son identité ne doit en aucun cas lui être révélé réellement, il ne doit savoir en aucun cas son appartenance à l'organisation sinon tout sera fichu. Avalon a pour mission de récolter des informations sur les technologies, les armures de Monsieur Stark. Lui faire du charme, le faire avouer. Trouver des faiblesses quelconque. Si possible s'introduire dans des zones cachés du bâtiment. Puis pourquoi pas, le tuer après qu'elle n'en ai plus besoin. Cette mission lui allait parfaitement, elle aimait ses genres de moments bien que stressant pour la jeune femme qui avait parfois du mal à géré ses cellules animales de resurgir. Une vingtaine de minutes s'écoulent, la voilà enfin a destination. Restant quelques minutes dans sa voiture, regardant le bâtiment avec impression, donc ils se cachent tous ici, la petite vermine. Sourire carnassier, air menaçant elle sort de son véhicule, toute confiante. Claquant des talons sur le sol, la voix mécanique de l'accueil réputé de Stark retentit en l'accueillant et la dirige au second étage pour attendre le patron.

Regardant autour d'elle, impressionné. Un QG ressemblant à une véritable maison luxueuse. Une cuisine grande ouverte avec des canapés non loin, une table basse. Des appartement dispersé ici et là. Pour le moment aucune trace des armures. La voix retentit de nouveau faisant tourner la jeune femme, se retrouvant face à lui. Il était néanmoins bien moins impressionnant sans son armure de super héros, ne se laissant pas déstabiliser, d'un sourire, elle hocha la tête en salue respectif. « Ravie de vous rencontrez monsieur Stark. » sa voix cristalline résonnant dans les pièces ouvertes, s'installant lorsqu'il l'invita à le faire, proposant un verre. « Non merci je ne bois pas pendant mes rendez-vous professionnels, dans d'autres circonstances j'aurais bien sûr accepté. » dit-elle sans le lâcher du regard, ses iris bleu flamboyant dans celui de l'homme qui tourna cependant vite les talons pour se servir lui même. Cynique et moqueur tranchant le silence des murs. Faisant sourire la jeune femme qui croisa alors des jambes, posant ses deux mains dessus, gardant son sac à côté d'elle, replaçant une mèche de cheveux. « Si je vous aies demander de m'accorder une audience se n'est pas pour parler de votre régime quotidien. A vrai dire, ça ne m'intéresse pas. Mais... J'aimerais qu'on parle plus tôt de l'homme a l'armure. Iron man. » dit-elle appuyant sur ses mots.

Croisant de nouveau ses iris, qui était a la fois provocateur, enflammé. Elle jouait la carte de la malice et de la séduction devant cet homme de poigne, car il était également réputé pour être coureur de jupon enfin plus ou moins maintenant. Mais elle était a peu prêt sûr de pouvoir allumer une certaine flamme.

Accompagné par Tony Stark

Anthony Stark. Tony Stark. Monsieur Stark ou encore bien Iron Man, un nom sous toutes les coutures qui ne représente néanmoins la seule et même personne. Cet homme arrogant, tant détesté par les journalistes, tant détestés et adulé par les populations. Tout dépend de quel point de vue on se place, certains le considère souvent comme dangereux avec ses machines, d'autres le considère comme un meurtrier pour son passé en tant qu'ingénieur dans l'industrie nucléaire. D'autres l'admire pour son courage de toujours se battre sans jamais avoir froid aux yeux sous le menace grondante. D'autres... D'autres le trouvent beau, merveilleux, intéressant à suivre dans ses quotidiennes. D'autres le respectent, puis il y a cette jeune femme maintenant aux côtés de l'homme fortuné qui fait souvent la une des journaux, tout comme la plus part des super héros de cette ville qui écœure au grand combien de la jeune femme toujours avisé de les tués. Si elle est là se n'est pas pour le plaisir, ni pour le travail, bien que se soit sa couverture. Pour beaucoup, c'est une chance qu'elle a. Pour d'autres c'est une malédiction ! Beaucoup déteste Tony dans le monde du journalisme. Son côté supérieur, arrogant est insupportable pour beaucoup, il faut avoir la tête froide, bien accroché sur les épaules pour le supporter plus de deux minutes. Mais oui, la jeune femme est prête supporter tout ça, tout ça pour la réussite de sa mission. Dénicher des informations qui pourraient être utile dans le futur de l'organisation d'Hydra. Elle n'avait pas le droit à l'échec. Son précédent échec dans le parc de New York face a l’homme aux griffes de fer était une grosse honte, et humiliation pour cette jeune tueuse alors hors de question de décevoir une fois encore ses employés qui ne manquerait pas de lui faire payer cet affront à leurs sociétés.

Beaucoup l'avaient mise en garde, notamment ses collègues sur le comportement odieux de son hotte du jour. Oui, il était connu pour être imbu de sa personne, narcissique, mais surtout déstabilisant. Moqueur aussi peut-être, n'hésitant pas à tourner les figures de styles dans son sens pour déstabiliser la demoiselle, même la gêner leurs de leurs entre-vues, mais non, rien ne pourrait lui défaire de ses idées. Si elle devait jouer des charmes face à lui pour inverser la situation à son avantage elle le ferait ! Surtout qu'après les rumeurs courants sur lui serait que sa précieuse petite amie, fiancée ou épouse, elle n'en a aucune idée, ne se trouverait vraiment pas à côtés. Elle a donc le terrain tout a fait libre, pour le plier à ses jeux de séductions, de quoi la satisfaire complètement ! Remettant une de ses mèches rebelles en places dans ses cheveux, elle le regarde servir son verre pendant qu'elle prendre place comme il l'invite à le faire. De face, en réalité, hors des gravures sur les murs ou les photos des journaux, il s'agit d'un homme assez impressionnant, mais néanmoins plaisant a regarder. Dans d'autres circonstances, ils auraient peut être put faire connaissance en toute amitié, mais elle n'était pas là pour s'attirer sa sympathie.

Comme la jeune demoiselle s'y attendait, il n'hésite pas utiliser la moquerie dans ses répliques parfois cynique. Parlant de lui même pour désigner Iron Man, arrachant un sourire d'amusement à notre agent infiltré d'Hydra , le regardant prendre place a son tour sur le sofa, le verre d'alcool entre les doigts, le tournant, jouant avec. S'installant confortablement, défiant la journaliste droit dans les yeux. Cherche-il a la tester ? Il n'est pas sortit de se mauvais pas. Avalon avant tout d'être journaliste ou tueuse, est une joueuse aguerrie depuis son retour parmi les vivants, elle a était éduqué, entraîné dans le but de rendre ses ennemis fous. Il ne dérogera pas à la règle qu'on lui a enseigné c'est une certitude. Il parle sans s'arrêter, se vantant lui même de son style, que personne ne pourrait lui arriver à la cheville. Une moue presque de pitié arrachant le visage mélodieux de la petite brune qui l'écoute attentive, prenant note sur son calepin en tant que journaliste professionnelle, relevant ses iris bleus sur lui lorsqu'il lui indique que tout ça, elle doit le savoir. Qu'elle doit savoir qu'il est unique ? Génial ? Parfait c'est bien de ça qu'il parle ? Retenant un petit rire de sa gore. Elle le regarde droit dans les yeux, d'un ton tout d'arrogance comme il entreprend de le faire avec elle. « Désolé de vous contredire Monsieur Stark, mais si de vous on retient l’authenticité, c'est pour votre arrogance, votre costume de super-héros, ou votre fortune. Dans l'esprit des gens, vous n'êtes rien de plus qu'un milliardaire vaniteux, qui se croit incroyable, ou invincible parce qu'il sauve des vies. Dois-je vous rappelez qu'il y a encore des années vous causiez la mort de milliers de personnes avec vos activités nucléaire ? » ça c'était de la répartie signé Avalon.

Elle détestait l'hypocrisie en règle général, autant être franche avec lui des entrés de jeux. Elle ne l'appréciait pas c'était un fait, elle ne s'en cacherait pas. Replaçant une fois de plus ses cheveux, sentant une certaine pression sur ses épaules, elle se racla la gorge avant de reprendre cristalline et frêle, bien que prête à sortir les griffes en cas de dérapage. « Si je suis ici c'est justement pour rétablir l'image de votre personne. Vous réconciliez avec la population, qui pour une partie ne ressent que de la pitié. Ou de la haine. Beaucoup s'interrogent sur vos capacités, sur votre passé et votre avenir d'ailleurs. Si l’événement d’Afghanistan n'avait pas eut lieux, auriez-vous été cet homme qui sauve les populations, ou auriez-vous continuer à massacrer les autres par vos constructions ? »

Accompagné par Tony Stark

Monsieur Stark. Que pouvait-elle en pensée de manière personnelle ? A part sans doute une haine qu'elle ne pouvait contrôler dus a son statue de femme parcourant les couloirs d''élite de l'organisation la plus dangereuse, Hydra. Terroriste, tueur, espion. Ils étaient craint, mais également moqué par les autres qui les prennent souvent pour des imbéciles de basse cours. Souvent des marionnettiste, mais Avalon se ferait un plaisir personnelle à leurs faire ravalés ses moqueries, ses insultes. Elle se souvient même avoir lus un jour dans le journal de sa propre maison un article traitant sur l'organisation, elle était devenu folle et enragée. Mais elle ne pouvait pas taper un scandale sur son lieu de travail, afin de n'éveiller aucun soupçon sur sa personne, ne devant jamais griller sa couverture précieuse , qui lui permettait de s'approcher de ses pseudos héros en toute discrétion. Alors se jour là, elle avait agit malgré tout mais sous son apparence d'animale. Elle avait attendu son collègue a la sortie, dans les alentours de dix neuf heures. L'avait suivit jusque dans les rues les plus sombres et dangereuse de la grande ville illuminé, l'avait traqué comme un chasseur le fait avec sa proie. L’avait tué sans remord. Emporté par cette rage d'avoir lus et entendu nombre critique sur ses créateurs, ses maîtres. Car ils étaient comme une famille pour la jeune brune qui ne connaissait rien d'autres qu'eux. Alors elle ne supportait pas le critique dessus. Mais lui, que pouvait-elle en pensé ? Pouvait-elle le détester sans le connaître ? Oui sans hésitation.

La première fois qu'elle l'avait vus cette tour Stark, sans me^me pensé à tuer les hommes se dit héros, elle avait détesté le personnage imbu, égoïste du milliardaire. Son caractère, sa fougue lui échappait complètement. Il était irrespectueux des autres, et ça elle déteste. Donc elle comptait se faire un plaisir en l'égorgeant doucement mais sûrement, voulant lui répondre le sang dans des grandes marres. Le vidés de son sang pour le détruire lentement. Mais avant cela, elle voulait également le détruire de l'intérieur, s'amuser avec son esprit faible d'apparence. Mais elle ignorait qu'elle force mentale était-il capable d'adopter, mais avec ses nombreux renseignements et les documents que la jeune femme avait réussit à récolter des informations qui lui permettraient de le faire plonger dans un enfer qu'il a déjà vécus au par-avant. L’Afghanistan. Une époque sombre pour le milliardaire qui ne semblait guère apprécié l'énonce de la journaliste. Qui ne pouvait s'empêcher de sourire intérieurement fière d'elle et de ses mots, destructeurs.

Regardant ce dernier sans rien dire de particulier, l'écoutant donner ses explications sur la première question, néanmoins intéressante pour le coup. Notant alors sur son carnet de note de son crayon, reportant chacun de ses mots. Puis il prit alors un exemple d'une journaliste pour lui montrer que tout le monde ne semble pas pensée se qu'elle venait de lui dire. Enfin c'était son interface. Une journaliste qu'elle connaissait très brièvement de nom pour lui avoir déjà fait face, et malgré qu'elle soit plus vielle, la force de caractère dont faisais preuve la brune dépassait n'importe quel autre personne. La preuve face à cet homme que beaucoup craignent ou détestent interviewer. Elle non. Mais si elle était ici se n'était pas simplement pour faire un détails de sa vie en tant qu'Héros, c'était surtout pour récolter des informations. Le regardant, regardant ensuite l'hologramme apparaissant, souriant amusé alors qu'elle le traité d’égoïste, d'imbu bref toutes les insultes. Il coupa alors l'image se plaignant ne pas avoir prit le bon exemple et lui demanda même de ne pas vivre de la même manière que se serait sans doute des plus ennuyeux. Relevant les yeux dans sa direction presque indifférente.

Clairement, il lui demandait les pensés de la jeune femme sur l'image qu'il renvoie. Le déteste t-elle comme toutes les autres personnes de la population ? Enfin comme une partie de cette population. Soupirant plus ou moins déjà fatigué par le commençant de cette entre-vue. « Monsieur Stark, je ne vais pas vous dire que je vous détestes ou vous méprises. Mais a mes yeux, des personnes qui se prétendent héros alors qu'ils ont autant de sang sur les mains que les personnes de l'organisation Hydra ou autre, réputé pour ses meurtres a répétition, actes terroristes et j'en passe, ne peuvent pas être surnommés héros. Vous êtes un danger pour la communauté, vous feriez mieux de ne pas exister, mais ici ce n'est pas mon avis personnelle qui compte. Je suis envoyé ici par mon supérieur pour vous réconciliez avec le monde extérieur qui vous craignent, ayant peur de voir une nouvelle ville décollé du sol par votre incapacité de protégé l'humanité, alors que vous... Un héros. »