Noël - event - groupe 3

noël, tout feu, tout flamme.  

Aujourd’hui était une de rares journées de repos que Maxence se permettait. Entre les cours à la fac, les patients au sein de son cabinet et maintenant le suivis des agents du SHIELD.. La journée comme ça se faisaient vraiment de plus en plus rare. C’est donc avec une joie non dissimulée qu’il se dirige vers le marché de Noël. Il songea même à se faire un liste pour d’éventuel cadeau. Sa secrétaire, Graham, Niall et Al’ya. Même si, il faut avouer, il savait que pour Al’ya, ce n’est pas tout de suite qu’il la verrait.. Il aurait aimé y aller avec elle mais les choses sont différentes maintenant. Il soupira pour se soulager, tentant de rester positif. Le marché était sympathique, l’atmosphère féérique. Tout du moins, si on ne faisait pas attention à la tonne de personne qui s’y trouvait. C’était vraiment sympathique. Jusqu’au bruit sourd qui fut suivis d’une flambée d’une étole. Maxence resta figé devant l’évènement puis il entendit une voix : « Héhé, l’alcool et le feu ne sont jamais très amis vous savez.. » Un fantôme d’un grand brûlé s’approcha de lui, riant. Il était.. Ivre. « Je suis désolé, j’ai un peu trop bu et pouf ! Héhé, c’était mortel. » Maxence grimaça et tenta de s’avancer malgré la foule de personne. Il vit une jeune femme enceinte parterre. Un vilain coup sur la tête. Se posant à ses côtés, il prit son rythme cardiaque tout en observant les personnes fuir. « Merde, ça craint ici.. » Souffla-t-il en remarquant que le feu se propageait à une vitesse monstre.

Pour résumer, même si c'est court xD:

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noël, tout feu, tout flamme.  

L’état de la jeune femme était préoccupant. Elle de réagissait pas aux appels de Maxence. « Bonne nouvelle », son pouls n’était pas ralentit, mais pas de quoi sauter de joie tant qu’elle n’était pas sortie de ce feu. Et puis tout ce bruit, ses cris, Maxence, favorisant largement le silence, n’était pas à son aise. Néanmoins, il garda son calme, restant aux côtés de la jeune femme. Il sortit son téléphone, et appela les secours. Il faut dire qu’il n’avait pas vu Allen le faire, et donc, il était plus qu’important de le faire. Il fut rassurer d’entendre que des secours étaient déjà en route,, ça lui retirait une sorte d’épine dans le pied. Rangeant son téléphone dans sa poche, une jeune femme lui adressa la parole. Sa voix était forte, calme et celle qui vous rassure en toute situation. Maxence et la jeune femme allaient prendre la blessée pour la transporté quand un enfant débarqua, furieux.

« Qu’est-ce que vous avez fait à ma maman ? » Dit-il entre deux sanglots de peur et de colère.  Maxence s’approcha de l’enfant avec un sourire qui se voulait rassurant. Il s mit à son hauteur. Alors qu’il allait parler, Poor prit la parole. Elle avait tout dit. Ce à quoi Maxence rajouta. « Ne t’en fait pas, je suis médecin, et on va bien s’occuper d’elle, d’accord ? »  Le psychologue – et non médecin, mais si un mensonge peut aider… - ébouriffa les cheveux  de petit garçon avant de se relever. Il regarda autour de lui. Mise à part voir des fantômes, et probablement des morts de cet incendie, Maxence ne pouvait rien faire.. Si, affirmer que autre personne venait de perdre la vie. Pendant cette petite seconde d’observation, il laissa un tic d’inquiétude sur son visage. Merde alors, la ville de New-York ne sait pas gérer des câbles électriques ? Enfin, c’est très étrange comme incendie.. Terrorisme ? Maxence l’ignorait, et préférait largement éviter cette situation, ça va, des morts, il en voit suffisamment pendant ses journées de boulot. Il soupira avant de se tourner vers la femme enceinte. Son pouls était plus lent qu’auparavant, ce qui n’était pas un bon signe. Allen, qui n’était qu’un inconnu aux yeux de Maxence, l’aida à porter cette pauvre mère. Quant à Poor, elle avait le jeune enfant sous son aile.

Quelques pas se firent avant de voir quelque chose tomber sur eux. Le grand sapin du marché. Et en plus de ça, il est aussi en feu, super ! Poor arriva à esquiver avec l’enfant pendant que Maxence vit Allen les quitter. Dans le mouvement d’esquive, il fut déstabilisé par le contre poids, manquant de chuter avec la mère. Dans sa chute, il eu comme un silence, comme un moment d’absence. Comme un ralentit qui passa comme un claquement de doigt. Revint « l’action » et le jeune homme se rattrapa de justesse. Il mit la femme enceinte sur son dos et entendit les secours. Il jeta un coup d’œil derrière lui. Poor et l’enfant avait l’air en vie.. Et Allen, comment a-t-il pu être à l’autre bout du marché ? C’est un mutant, mais là n’est pas le plus important.. Et surtout, c’est inconscient, surtout en ce moment. Les gens sont de plus en plus mutanphobe, s’il venait à se faire remarquer par les gens du marché, à coup sur, il sera accusé comme on blâmait les femmes médecin de sorcellerie.. Et ça, le Parti Collectif ne louperai pas cette occasion de nous blâmer, encore.

Arrivant vers l’entrée du marché, les ambulances et pompiers étaient sur le point d’arriver. « Tenez bon… » Souffla-t-il comme si cette jeune femme et son enfant pouvaient l’entendre. Il déposa la jeune femme sur un brancard et expliqua la situation. « Elle est enceinte.. Je dirai de 6 à 7 mois, son pouls est lent et n’a pas repris conscience. Son fils est encore là-bas.. »
Malgré l’interdiction des pompiers, Maxence fonça à nouveau dans le marché, des personnes auraient besoin de lui, ça n’a pas de doute. Derrière lui, un autre sapin tomba, bloquant à nouveau l'entrée du marché. Cette fois, il se dirigea vers les cabanes, certaines en feu, d’autres non. « Il y a quelqu’un ? » entendant des gémissements dans une des cabanes, il entra devant, et vit une femme, d’une quarantaine d’année, coincée à cause d’une poutre – en partie consumée. La jeune femme était paniquée, et sa jambe, en morceau. Le jeune homme tenta de garder son calmer, de réfléchir à la situation. Le toit allait céder. Rapidement, il poussa le morceau de bois sous les contestations et les hurlements de douleur de la commerçante. Sa jambe était au moins brisée deux fois.. Et l’autre avait une magnifique fracture ouverte. L’idée pour marcher. Il tenta de la mettre sur son dos, mais une partie du  toit céda et tomba sur son pied. Il tenta de contenir sa douleur mai quelque chose l’inquiétait plus Il ne pouvait plus sortir de cette cabane qui prenait de plus en plus feu. Et c’est précisément à ce moment que Maxence regretta d’être trop gentil, et pas assez égoïste.  

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noël, tout feu, tout flamme.  

« Merde, c’est pas mon jour, putain.. » Gromela Maxence, coincé dans sa prison enflammée. Heureusement pour lui et la blessée, Poor arriva bien plus vite que prévu. Il n’a jamais été aussi heureux de voir une inconnue débarquer ainsi. De plus, son pied n’était pas sans douleur, mais il pouvait marcher. Boiter, mais marche quand même. Après tout ce n’était que quelques métacarpiens de cassés. En sommes, rien de vilain. Et puis, pas le temps de se plaindre, il y avait pire que lui, il lui suffisait de baisser les yeux pour le remarquer. Au passage,  Il était étonné de voir Poor éclater un passage avec la simple force de son épaule, mais, soyons honnête, ce n’était pas sa préoccupation première. Il fallait sortir d’ici avant de ressembler à une saucisse knakis trop cuite. Il avança, la commerçante s’accrochant à lui. Pour l’effet un peu plus dramatique, une fois dehors, le toit céda complètement. Le jeune homme, avec l’aide de Poor, déposa la commerçante dans une zone ou le feu n’avait pas encore prit. Ses jambes étaient affreuses, et là, il n’y avait pas grand-chose pour l’aider.. Enfin, il y avait les ambulances, mais la chance n’était guère de  leur côté puisque le passage venait d’être à nouveau bloquer.

Maxence, assis aux côtés de la commerçante leva les yeux. Du feu, encore. Du feu, partout. Merde, même les pompiers galéraient à calmer cette danse macabre. Il grimaça et lança un regard inquiet vers Poor. Une vague sensation de retour à la case départ s’écoulait de son esprit. Un retour à la case départ, mais en pire. Allen avait l’air épuisée, lui avait un pied en miette Et Poor.. Poor, elle avait l’air en bonne santé. Fallait-il poser les uniques espoirs sur elle ? C’était une bonne question, mais Maxence n’avait pas la réponse car il ne savait pas qui elle était. Cependant, il n’aurait pas étonnée d’apprendre qu’elle avait des pouvoirs ou une nuancé de ce genre…
Le jeune homme se leva avec difficulté mais ainsi, il avait une meilleure visibilité sur le reste de terrain non enflammé. Le terrain avait drastiquement diminué, et bordel, le feu, lui avait pris des airs de buchers moyenâgeux. A y réfléchir, était-ce un attentat ? Un coup contre des commerçants potentiellement mutants ? Les événements de ce genre n’étonneraient pas du tout, malheureusement… Quand on ne tolère plus, on devient violent… Et puis, il faut dire que là, tout est bons pour faire un nombre importants de victimes. Pourtant, une petite voix souffla au psychologue que ce n’était pas ça. Après tout, rien de certifie que ni des commerçants ni des visiteurs soient des mutants, des inhumains ou encore des êtres venus d’ailleurs.

Maxence avait beau regarder autour de lui, mise-à-part voir des victimes et des flammes, aucune issue, aucune solution. Il se tourna vers Poor. « Rassurez-moi, vous maitrisez l’eau, vous êtes une sorte de femme aquatique qui n’ose pas utiliser ses pouvoirs.. Hein ?  Parce que là, ça serait vachement utile…» Plus que de voir des morts, songea-t-il par la suite.  

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